Crise du covid-19 : quels impacts potentiels sur le système économique mondial ?, par le Cercle Jean Bodin (Lyon).

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Aujourd'hui, nous présentons tout notre soutien au personnel médical qui va se battre jour et nuit pour notre pays pour un salaire de misère.
Nous présentons également notre soutien aux pompiers et militaires qui seront actifs durant le confinement.
Derrière ce sacrifice de ces corps de métier, il en va de la survie de nos anciens et des personnes les plus fragiles de notre société.
Il est donc impératif que nous soyons soudés et que chacun veille à ses responsabilités.
L'Action française soutient la nation grecque, actuellement soumise à un chantage à l'invasion migratoire orchestré par le nouveau sultan islamiste Erdogan. Par Romain Bertrand, responsable AFE Lyon.
Extrait tiré de l'émission "Bercoff dans tous ses états" (Sud Radio) du 16 mars 2020.
- Lundi 16 mars : Peu de révoltes, et pendant peu de temps...
- Mardi 17 mars : Le limes, frontière de l'Empire, au IIème siècle...
- Mercredi 18 mars : Lutèce...
- Jeudi 19 mars : La fin de la Gaule romaine (I) : les Barbares...
- Vendredi 20 mars : La fin de la Gaule romaine (II) : Attila...
lafautearousseau
Petit-fils du roi Louis-Philippe et arrière-petit-fils de Philippe-Égalité, Philippe d’Orléans, comte de Paris (1838-1894), naît au palais des Tuileries. Passant son enfance entre Paris et le château d’Eu en Normandie, il doit quitter la France avec sa famille à la suite de la proclamation de la Seconde République.
Un destin hors du commun l’attend : il réalise un voyage au Proche-Orient puis intègre les rangs nordistes lors de la guerre de Sécession.
Revenu en France après la guerre de 1870, il tente de réaliser l’unité monarchique en rendant visite au comte de Chambord en 1873. L’échec du projet de restauration l’éloigne de la politique et l’amène à se retirer au château d’Eu, dont Viollet-le-Duc assure la restauration.
Dix ans plus tard, la mort de son cousin le désigne en héritier de la couronne. Travailleur acharné, il s’implique dès lors activement dans la vie du parti royaliste en vue de la conquête du pouvoir.
Après le vote de la loi d’exil en 1886, il redessine les contours de la doctrine monarchique, conciliant les héritages orléaniste et légitimiste. Ses écrits témoignent de son souci de l’adapter à la société de son temps. Les soubresauts politiques de la fin des années 1880 le conduisent à tenter de détourner le mouvement boulangiste en faveur de la monarchie.
Cependant l’échec électoral de 1889 et le ralliement d’une partie des royalistes à la République sonnent le glas de ses espérances. Il s’éteint prématurément en Angleterre en septembre 1894.
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
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Oui, il faut faire preuve de civisme, oui, il faut respecter les consignes gouvernementales, oui, il faut que chaque Français, et plus particulièrement les patriotes conscients que nous sommes — ce qui ne nous rend pas a priori meilleurs, car la responsabilité personnelle est d’un autre ordre que politique, mais peut tout de même y contribuer —, prenne sa part du fardeau imposé à l’ensemble du pays, jusqu’à ce que cette épidémie ne soit plus qu’un (très) mauvais souvenir. Ce qu’elle ne deviendra pas pour tout le monde, car il faut également penser à ceux que le deuil aura frappés à l’occasion de cette catastrophe sanitaire.
Avant la crise du Covid-19, des dizaines de millions de jeunes africains voyaient l’Europe comme une terre à prendre peuplée de vieillards repus ou épuisés, d’hommes mentalement castrés par les groupes de pression féministes, de femmes n’enfantant plus et dont les dirigeants étaient soumis au diktat de l’émotionnel… Encore plus merveilleux, au nom des « anciennes vertus chrétiennes devenues folles » (Chesterton), le pape « François » les encourageait à s’introduire par effraction dans cette Europe gavée.
La France a vécu depuis une semaine à peine comme si brusquement au monde réel, habituel, s’était substituée une autre réalité. Il y avait une épidémie menaçante, et il y avait des élections municipales. Le pouvoir en place, en grande difficulté dans l’opinion, emberlificoté dans la réforme des retraites qui accentuait l’hostilité d’un grand nombre de Français à son encontre, semblait vouloir faire de la réponse au risque sanitaire l’occasion d’une remontée dans les sondages. Les aveux étonnants de l’ex-ministre de la santé, Mme Buzyn, parus dans Le Monde d’hier, jettent à la fois une ombre sur le comportement de l’exécutif et de la clarté sur la chronologie de cette étrange période.
L’immense crise actuelle, nationale, européenne, mondiale, impose d’ores et déjà des révisions radicales qui sont notamment d’ordre politique. Celle qui concerne les frontières nationales s’impose au premier chef.
Le président de la République remarquait, dans son allocution de lundi soir, que l’épreuve que nous subissions ne nous laisserait pas intacts et qu’il nous faudrait en tirer toutes les leçons. Qui ne pourrait adhérer à une telle invitation, que l’on soit partisan ou adversaire du pouvoir actuel et de son principal détenteur ?