Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

L'arroseuse arrosée, ou "Allô, maman, bobo !..."
Lettre ouverte de lafautearousseau à Barbara Butch
Madame,
Lors de votre prestation durant la cérémonie d'ouverture des Jeux, vous avez heurté, scandalisé, blessé des millions et des des millions de personnes, en France et dans le monde. Vous avez craché au visage de deux milliards de chrétiens, tourné en dérision et moqué, insulté ce qu'il y a de plus sacré pour eux, à un point tel que même Jean-Luc Mélenchon a désapprouvé cela : c'est dire !
Sans tomber dans vos excès de mauvais goût, nous nous sommes contentés de critiquer fermement votre soi-disant "tableau", non seulement insultant mais laid, moche, hideux. Nous ne vous avons pas pris à partie en tant que personne : c'est "le fond" de votre outrance que nous avons jugé pour ce qu'elle était : odieuse, infecte, abjecte, ignoble, immonde; misérable et, pour le dire tout net, "dégueulasse".
Or, nous apprenons que vous déposez plainte, maintenant, parce que vous auriez reçu des menaces de viol, torture et mort.
Nous n'approuvons évidemment pas ces menaces, si elles existent vraiment, et nous ne les reprenons évidemment pas à notre compte.
Cependant, vous nous permettrez de vous trouver bien légère, et de penser que vous avez manqué grandement de jugeotte. Franchement, vous ne vous êtes pas dit, un instant, qu'en insultant ainsi deux milliards de personnes, il risquerait fort de vous revenir, en retour, un effet boomerang quasiment obligé ?
Vous n'avez pas imaginé, une seule seconde, que des gens allaient réagir à cette odieuse et ignoble mascarade à laquelle vous vous êtes prêtée ?
Alors, maintenant, après avoir scandalisé une part importante de la population mondiale, vous viendriez pleurer et dire que, finalement, c'est vous la victime ?
La ficelle n'est-elle pas un peu énorme ?
Quand on ne veut pas d'histoires, madame, le mieux - et la première des choses à faire - est de ne pas les chercher !
En somme, vous avez craché en l'air, et votre crachat immonde vous est retombé dessus. De quoi vous plaignez-vous ? Il ne fallait pas cracher !
Pensez-y, dorénavant, pour qu'il n'y ait pas de "prochaine fois", ni pour nous, ni pour vous. Et dites-vous bien que l'on a toujours, au final, les conséquences de ses actes; qu'on finit toujours par récolter ce que l'on a semé...
LAFAUTEAROUSSEAU