Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
C'est un scandale d'État que l'affaire du jeune délinquant Merzouk, mis hors d'état de nuire par la Police :
M'Bappé qui parla d'un "petit ange", les journaleux hurlant - comme LFI - à "la police qui tue", l'Assemblé nationale se déshonorant (en admettant qu'elle ait un "honneur" !!!) en observant une minute de silence pour un vulgaire délinquant, et, le pire, le président de la républiquouille en personne qui, le jour-même, bafouant la présomption d'innocence, parla d'un acte "inexplicable" et inexcusable, faisant ainsi le procès avant même la manifestation définitive de la vérité...
"Jeté aux chiens", comme aurait dit Mitterand, le courageux policier Florian fit six mois de prison !
Les excuses publiques, la réhabilitation et les réparations s'imposent envers lui !
Aujourd'hui, cette manifestation de la vérité est enfin définitivement établie, et elle est accablante pour le Système, son Président, ses journaleux, sa gauche moraline :
• Le JDD titre :
EXCLUSIF - Affaire Nahel Merzouk : l’effondrement d’un récit mensonger (extrait) :
https://www.lejdd.fr/societe/exclusif-affaire-nahel-merzouk-leffondrement-dun-recit-mensonger-149577
• Et Police et Réalités :
Affaire Nahel Merzouk : l’effondrement d’un récit mensonger, complaisamment relayé par les médias (article complet ) :
"Mort d'un pourri" est le titre d'un excellent film de Georges Lautner...
C'est ce qui nous est immédiatement venu à l'esprit lorsque nous entendîmes, hier, qu'Israël avait tué Ibrahim Akil, l'assassin des 58 Parachutistes français du Drakkar, au Liban,, en 1983.
Le 23 octobre 1983 à l'aube, cinquante-huit militaires français sont tués à Beyrouth, victimes d'une attaque à la voiture piégée contre l'immeuble Drakkar. Membres des 1er et 9e RCP, ils y avaient pris leurs quartiers depuis moins d'un mois, dans le cadre d'une mission internationale de maintien de la paix...
BRAVO, TSAHAL !
1. De Philippe de Villiers, sur Michel Barnier et son nouveau gouvernement :
L’Europe nous regarde en riant. Nous fonçons toutes voiles dehors vers la crise de la dette. Notre modèle social nous coûte 300 milliards d’euros de plus par an par rapport à nos voisins européens, et nous sommes aussi le pays le plus taxé. Nous avons, ces dernières années, dépensé sans vergogne 50 milliards d’euros de plus par an, creusé le déficit public, mais, au lieu d’annoncer des listes d’économies, nos chers décideurs sont tous en train d’imaginer des augmentations d’impôts tous azimuts.
Pourrait-on organiser parmi nos parlementaires le concours Lépine de la baisse des dépenses plutôt que le feuilleton convenu de la hausse des impôts avec les vieilles recettes vues et revues : ISF, taxer le capital comme le travail, taxer les rentes, les super-riches, les superprofits… ? De vieilles recettes moisies qui n’ont jamais marché pour résoudre notre équation…"