En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Après le Non à Maastricht (en 2005) suivi par l'imposition du Traité de Lisbonne (en 2007), ou le fait que l'abolition de la peine de mort n'ait pas été soumise au peuple (majoritairement "contre"), faut-il d'autres exemples que nous ne sommes ni en république ni en démocratie ?
En voici un, tout récent : il date de dimanche dernier :
(ndlr : à cela, il faut ajouter les 3 millions de "non inscrits" : ce qui fait un total de 19 millions de Français qui ne sont pas prononcés ! Pour des gens comme Méluche qui prétendent "avoir gagné", cela devrait tempérer quelque peu l'enthousiasme, et rendre plus modeste, ou moins "braillard" - le mot est de... Danton - non ? )
• le nombre d'électeurs RN & alliés est 44% supérieur au nombre d'électeurs du Nouveau Front Populaire;
• les Français s'étant abstenus ou ayant voté blanc ou nul s'élève à 16.046.417, soit :
- 1,6 fois le nombre d'électeurs RN & alliés,
- 2,3 fois le nombre d'électeurs NFP,
- 2,54 fois le nombre d'électeurs macronistes...
Conclusion : "Ça", une république ? "Ça" une démocratie ?
Ou, plutôt, une gigantesque farce ?
Une énorme, et très mauvaise, blague ?
Comme pourrait le dire Godefroy de Montmirail, dans un nouvel épisode des "Visiteurs" :
L'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :
"Emmanuel Macron a joué notre pays aux dés et c'est la France qui a perdu... Un ressentiment énorme va sédimenter chez les électeurs du RN qui se sentent floués, chez les centristes qui ne veulent pas d’une coalition avec le NFP, chez l’électeur de droite qui ne voulait pas du RN et se réveille ce matin avec Hollande, Sandrine Rousseau, Raphaël Arnault..."
Sans trop chercher à faire bien, faisons mieux : faisons court...
La semble-victoire du Pays légal, qui a réussi à étouffer une fois de plus l'indéniable réveil et sursaut populaire et patriotique, n'est qu'une victoire négative; c'est-à-dire qu'en fait elle pose et ouvre plus de problèmes que ce qu'elle croit en résoudre, dans l'immédiateté la plus immédiate.
Vent de panique après les Européennes, et peur du siècle après le premier tour des Législatives : les Patriotes avaient de réelles chances d'accéder au pouvoir !
C'était assez pour que ce qu'il reste de "la droite la plus à gauche du monde" appelle à voter communiste à Nice (Estrosi) ! Pour que ce qu'il reste de la "macronie" (?) appelle à voter pour Louis Boyard en région parisienne ! Pour que le soi-disant front popu se ridiculise en faisant voter Borne (la reine, l'impératrice, la papesse du "49.3" dans le Calvados) ! Bref, pour que le front républicain se reformât...
Et donc, une fois de plus, une fois encore, cela a marché. Et "ils" ont cru avoir gagné. Sans toutefois empêcher l'inexorable marée montante du sursaut national (143 sièges).
Mais : et maintenant ? Qui va faire quoi, et avec qui ?
"Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans les jambes. Maintenant on va voir comment ils s’en sortent" a dit Macron, après la dissolution.
Une fois de plus, il n'a rien compris aux enjeux : ce n'est pas des partis et des privilégiés qu'il s'agit, et dont il faut se préoccuper, mais de la France.
Et, avec cette Assemblée totalement ingouvernable, c'est la France qui entre dans une zone de turbulences, ou - plutôt- qui s'y enfonce encore un peu plus...
Le pouvoir est à nous !", clame Mélenchon, sorte de ré-incarnation du Robespierre de la Terreur, jouant - comme l'explique Jacques Bainville - sur l'agitation et l'excitation permanente pour motiver et tenir ses troupes. Mais, pourquoi le pouvoir reviendrait-il à une coalition de quatre partis qui n'atteignent même pas les 200 sièges à l'Assemblé ? Ce qui ferait une moyenne de 50 élus par partis, si le Parti communiste n'était devenu "résiduel", avec sa malheureuse toute petite dizaine de députés ?
La vérité est que, à moins d'invraisemblables tours de passe-passe et autres fourre-tout hétéroclites non moins invraisemblables - mais qui se briseront/se briseraient au premier écueil - il ne sera pas possible de constituer une coalition, par exemple pour voter le budget à l'automne (et, l'automne, c'est demain !)...
Voilà où nous en sommes, après cette victoire négative des malfaisants, qui ne résout aucun problème (à part celui de leur confort personnel à eux, les privilégiés du Système) mais qui, au contraire, en ouvre davantage, et de plus graves...
En attendant, laissons la marée monter et continuons, inlassablement, à ne pas perdre de vue le Nord que nous a fixé Léon Daudet : mener à temps et à contre-temps
"une action réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime !"
NFP : 7 millions de voix, 180 sièges. RN : 10 millions de voix, 143 sièges.
-------------------------
"Le" lot de consolation...
Dans la 13ème circonscription des Bouches-du-Rhône, le candidat du Rassemblement national est élu avec 52,87 % des voix (taux de participation du 2nd tour : 65,33 %).
• Emmanuel Fouquart (RN) : 52,87 %
• Pierre Dharréville (député sortant - Nouveau Front populaire, PCF) : 47,13 %
Le conseiller municipal de Martigues s'impose dans toutes les villes de la circonscription, sauf à Port-de-Bouc (la 13ème circonscription est composée de Martigues, Fos-sur-Mer, Port-de-Bouc, Saint-Mitre-les-Remparts, Port-Saint-Louis-du-Rhône et d'une partie de la ville d'Istres).
Les résultats commune par commune :
• Martigues : Emmanuel Fouquart (50,48 %), Pierre Dharréville (49,52 %). 65,79 % de participation.
• Istres : Emmanuel Fouquart (54,20 %), Pierre Dharréville (45,80 %). 65,28 % de participation.
• Port-de-Bouc : Emmanuel Fouquart (45 %), Pierre Dharréville (55 %). 61,46 % de participation.
• Fos-sur-Mer : Emmanuel Fouquart (62,78 %), Pierre Dharréville (37,22 %). 62,38 % de participation.
• Saint-Mitre-les-Remparts : Emmanuel Fouquart (60,61 %), Pierre Dharréville (39,39 %). 69,72 % de participation.
• Port-Saint-Louis-du-Rhône : Emmanuel Fouquart (50,72 %), Pierre Dharréville (49,28 %). 66,96 % de participation.
Dimanche dernier, Emmanuel Fouquart (RN) était arrivé en tête avec 47,53% des suffrages exprimés, suivi par Pierre Dharréville (36,02%), candidat du Nouveau front populaire.
Emmanuel Fouquart (RN) est élu député : bravo à lui ! lafautearousseau - qui souhaitait très fortement son élection - s'en réjouit, et ne manquera pas de prendre contact avec lui et ses équipes pour lui expliquer notre point de vue sur "l'affaire de la Bastide du Chemin de Paradis". Et - s'il le souhaite - pour se mettre à sa disposition, non pas pour lui faire visiter la dite Bastide - puisque cette bourrique d'équipe municipale interdit tout accès au lieu - mais au moins, depuis la rue, lui en expliquer tout l'intérêt et la beauté... Sa victoire partout dans la circonscription (sauf à Port de Bouc) est, en outre, prometteuse pour les prochaines municipales de 2026 : Martigues libérée ? Enfin libérée ? On y croit ! On fera tout ce qu'on peut "pour" !...
Dans Le Figaro, extrait de l'article de Jean-Marc Leclerc :
Des CRS déployés à Paris. MIGUEL MEDINA / AFP
L’inquiétant visage de la délinquance en France sur les douze derniers mois...
DÉCRYPTAGE - Selon les tout derniers chiffres, Beauvau recense chaque jour un millier d’agressions, 1500 actes de vandalisme, 600 cambriolages. Et une attaque avec arme par heure.
Discrètement publiées ce 4 juillet, les dernières données produites par le ministère de l’Intérieur avant le scrutin législatif ponctuent une séquence bien difficile. D’emblée, le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) précise que, « suite à un problème informatique, un nombre significatif d’infractions enregistrées par les services de la police nationale entre le 20 mai et la date de (cette) publication (…) est absent à tort du système d’information statistique des forces de sécurité intérieure ».
N’y retrouvera-t-on que partiellement ce qui a pu, par exemple, se passer en Nouvelle-Calédonie, archipel frappé par des heurts tragiques et des destructions massives ? Ils ont justifié, rappelons-le, l’envoi d’un dispositif sans précédent de 35 forces mobiles sur place, pour tenter de rétablir la paix publique… qui n’est toujours pas revenue..."
"On s'étonnera d'un président qui a voulu redonner la parole au peuple juste après qu'il a parlé, et qui ensuite manœuvre de toutes ses forces pour que cette parole n'ait aucun écho...."
Vincnet Trémolet de Villers a raison, dans son éditorial du Figaro : "Emmanuel Macron, caméléon de la République..." (extrait) :
"On pensait avoir épuisé la plasticité du macronisme. Avant-hier c'était balle au centre, hier c'était à droite toute, aujourd'hui c'est cap à gauche...
De Jupiter à Jospin. Du dépassement au retour de la gauche plurielle avec, comme en 1997, Jean-Luc Mélenchon sur le motif. On pensait avoir épuisé la plasticité du macronisme, on découvre que ce caméléon peut prendre toutes les couleurs du Rubik's Cube ? Avant-hier, c'était balle au centre, hier c'était à droite toute, aujourd'hui c'est cap à gauche. Cela fait longtemps que ces projets de coalition échouent sur les rives de l'Assemblée, mais cette fois, puisque le RN est en face, l'Élysée rêve d'une forme nouvelle du Conseil national de la Résistance. Un CNR sans guerre, sans occupation, sans nazis, c'est quand même plus confortable…
...L’électeur RN qui a gagné le premier tour voit se dessiner une majorité composée de Hollande et Sandrine Rousseau. L’électeur du centre qui a voté contre les extrêmes se retrouve partenaire de LFI. L’électeur de gauche votera une fois encore à contrecœur pour sauver Macron..."
Dans Marianne, le cas d'Aymeric Caron, mi-enragé/mi-dément...
"Menaces contre une prof : le député Aymeric Caron prend fait et cause pour l'élève...
L’affaire se passe dans une école parisienne. Mi-mars, A., un garçon de 10 ans, aurait lancé une menace caractérisée à son enseignante : « Sur le Coran de La Mecque, je vais ramener mes frères pour te décapiter. » Il venait d’être puni pour avoir participé à une bagarre. Il est changé de classe puis d'école dans la foulée. À la demande de la famille, Aymeric Caron a pris contact avec l’inspection, pour protester. Ces propos n’auraient jamais été prononcés, assure le député de Paris.
Visiblement, Aymeric Caron a quelques soucis avec les écoles primaires. On se souvient qu’en septembre 2023, il avait été accusé d’avoir forcé les grilles de l'école de sa fille, à Versailles, pour l’accompagner jusque dans sa classe, ce qui était interdit par le règlement de l’établissement. Il avait alors dénoncé une « instrumentalisation politique ».
La nouvelle affaire se passe cette fois à Paris, dans une école de la rue Championnet (18e arrondissement, soit la circonscription d'Aymeric Caron) sur fond de menace de mort d’un élève envers une enseignante. Aux yeux de l’Éducation nationale, en intervenant dans cette histoire, Aymeric Caron a outrepassé son rôle de député..."
Il est tout simplement dans son rôle de "revenant de la section des piques de 1793" : héritier assumé de ceux qui ont perpétré le Génocide vendéen, ceux qui ont promené des têtes au bout des piques dès 89, installé la guillotine à demeure dans la Capitale? imposé la Terreur...
Dimanche, contre le Front popu qui pue, contre La France islamiste, contre l'islamo-gauchisme, fourrier de l'armée barbare d'invasion...votez pour elles, votez pour eux... et pour les autres !
Pour dire : on ne vous a pas oublié, on ne vous oublie pas...
Le tout dernier assassiné en date : Antonin, 20 ans, poignardé avec l’un de ses amis à la sortie d’une boîte de nuit aux Sables-d’Olonne par cinq jeunes de type maghrébin et africain dans la nuit de vendredi à samedi...
Un pseudo journaliste mais vrai militant de gauche, violent et terroriste, qui confond "Carte de Presse" et "Carte de parti politique"...
Dimanche soir, sur "X", Benjamin Bernard, soi-disant "journaliste", qui travaille (?) à Bein Sports a osé publier ce message honteux et qui le disqualifie à vie :
"12 millions de fils de p...".
Il prétend qu'il voulait ainsi laisser éclater sa colère après les résultats du RN aux élections législatives : ben, voyons !
Pour qui se prend-il, et de quel droit, avec quelle légitimité autre que Sa Suffisance et Sa Fatuité se permet-il d'injurier aussi gravement douze millions de citoyens ?
Ce type déshonore le journalisme, et doit être immédiatement viré de toute chaîne, selon nous, pour faute professionnelle grave !
Ajoutant la lâcheté au scandale, et n'ayant même pas le cran d'assumer ses propos honteux et dégradants, qui ne déshonorent et ne disqualifient que lui, ce type a "courageusement" supprimé son message, pensant peut-être, ainsi, clore l'affaire.
En somme, il "fait le kéké", comme disent les ados, mais il n'y a rien derrière : minable et misérable jusqu'au bout, quoi !
Les "djeuns" de cité, qu'il adore, appellent "ça", dans leur langage, un "bouffon", non ?
Quel titre donner à cette mise en scène grotesque et ridicule du "gamin" (dixit Ferry) du Touquet, un jour de débâcle électorale ? Il fut un temps où, au sommet de l'État on avait de grands Rois et de grands serviteurs de l'État : Richelieu, Sully, Suger...
La République idéologique nous a vraiment fait tomber bien bas !
Presque 12 millions de voix et 38 élus ou réélus au premier tour, c'est plus qu'une adhésion à un parti, c'est, de toute évidence, un cri, un sursaut, un mouvement populaire de fond.
Le Peuple français se réveille, bien tard mais pas trop tard, et le Rassemblement national et ses alliés LR/Ciotti traduisent ce mouvement par un slogan simple, mais juste : "remettre de l'ordre dans la rue, remettre de l'ordre dans les comptes".
Ce slogan, notre originalité est de l'élargir au Régime, et de proposer aux Français une remise en cause (du Système) pour une remise en ordre (des esprits et de la Nation : une véritable remise en ordre politique).
Mais, dans l'immédiat, nous n'en sommes pas là.
Nous sommes - hélas - "dans" le Système, sans être, bien sûr "du" Système. Et, dans la situation d'aujourd'hui, nous constatons, pour nous en réjouir, que notre Pays vit un moment majeur, en attendant plus et mieux, c'est-à-dire le vrai changement, par la révolution de la Révolution, la révolution royale : oui, nous pensons que ce coup de tonnerre du premier tour des Législatives, dans le cadre malfaisant du pays légal, c'est le Pays réel qui se met à faire entendre sa voix et bouscule ce qu'il convient de bousculer et d'abattre...
•nous constatons avec plaisir l'effacement de la macronie et de ses nuées mortifères (européisme anti-France et mondialisme tout autant anti-France) : 250 députés sortants, 100 au grand maximum dimanche ?... Bon débarras !
•nous constatons la poursuite de l'effacement de "la droite la plus à gauche du monde" : 61 députés sortants, une quarantaine dimanche ?... Bon débarras aussi !
• nous constatons aussi un tassement des enragés du Front popu, cet assemblage hétéroclite et invraisemblable, bric-à-brac abracadabrantesque créé à la hâte, en mariant les carpes et les lapins; des gens d'accord sur peu de choses, en désaccord fondamentaux sur beaucoup, mais surtout soucieux de se faire élire... D'ailleurs, la première réaction de Mélenchon, à la télévision, juste après l'annonce des résultats, ne trompait pas : on avu et entendu un Mélenchon terne et ennuyeux, rien à voir avec le tribun battant et agressif que l'on connaît habituellement : il encaissait le coup d'un "non succès", qui est loin d'être une déroute, mais qui est un vrai échec... Le bloc des "revenants de la Section des piques de 1793" a pris un mauvais coup, et c'et tant mieux ! Par contre, très peu de temps après, on a retrouvé tout ce bloc des enragés Place de la République où, là, Mélenchon est redevenu ce qu'il était : enragé menaçant et vociférateur... Cela promet !
• nous constatons enfin l'apparition d'un Bloc national, Patriote, qui raisonne en terme de Nation, et pas d'Europe ou de Monde, ou d'on ne sait quelle chimère ou niaiserie. Un Bloc qui considère que le cadre national est le seul qui tienne; qu'il est celui qui protège les Français, et surtout les plus faibles. Le cadre national, et non les nuées européistes et mondialistes...
Le choix est donc clair pour le second tour : sans illusion aucune sur l'élection d'une Assemblée qui sauverait la France (ce n'est que par un changement de Régime qu'on la sauvera, par la révolution de la Révolution), nous devons saisir toute opportunité qui se présente pour lui éviter le pire (macronisme, mélenchonisme...), et donc
Très juste, une fois de plus, l'édito de Vincent Trémollet de Villers, sur Europe 1 :
"Ces dénis oui-oui qui font le jeu du RN...
...Pour le parti du déni, l’insécurité est un sentiment, l’immigration une illusion. Il traque les « violences symboliques » les « micros- agressions » qu’il impute généralement à la bourgeoisie, mais il ne trouve aucune signification sociale ou politique aux violences réelles...
..."Les faits divers sont des faits qui font diversion" disait Bourdieu qui s’en prenait alors à France Info. Les enfants de Bourdieu disent la même chose et plutôt que de s’attaquer aux causes profondes du succès de Marine Le Pen, ils préfèrent nier tout simplement leur existence..."
Bref, à la fois "le parti des déni-oui-oui" et des "déconnectés/hors-sol" !
La honte soit sur Macron, sur Borne et sur tous les anti-France qui ont voulu et qui réalisent en ce moment la destruction du bel outil qu'était Fessenheim...
"NE M'APPELEZ PLUS JAMAIS "FRANCE"..." chantait Sardou en une autre occasion...
Symbole du sabotage du nucléaire français - sabotage qui a finalement et heureusement échoué, puisque notre nucléaire "repart", et de plus belle - les images de Fessenheim en démantèlement symbolisent à merveille la fin de règne de Macron, dont elle sont une parfaite allégorie : lui aussi se démantèle et disparaît, sous nos yeux :
Excellente nouvelle pour le nucléaire français : Framatome obtient un financement pour remplacer le nucléaire russe en Europe de l’Est... (Source : Framatome)...
Depuis Jospin, Premier ministre, qui a laissé les escrolos massacrer et ruiner notre magnifique Superphénix et l'a abandonné en 97, jusqu'à Macron qui a tout simplement "arrêté" notre autre magnifique "Projet Astrid; en passant par Borne qui avait acté - au nom de la candidate Royal - la fermeture de l'ultra moderne centrale de Fessenheim et qui fut autorisé à exécuter son sale boulot par Macron, Président, "ils" s'y sont tous mis, à gauche, contre notre nucléaire. Qui était l'une de nos fiertés nationales, l'un de nos pôles d'excellence, l'un des garants de notre indépendance nationale; et qui nous plaçait loin devant la Chine et les États-désunis, largement en tête et loin devant tous les pays du monde en ce domaine stratégique s'ile en est, plaçant la France - comme dirait de Gaulle - à la place qui doit être la sienne : la première...
Tous ces coups de couteau dans le dos - portés par des traîtres à la Nation - ont bien failli avoir la peau de notre nucléaire. Et pourtant, il va revivre. Enfin, Flamanville est en activité et d'autres sont programmés. Surtout, d'autres pays (comme nos ennemis allemands) ont commis la folie que la hideuse alliance politicarde "escrolos/socialos" a failli nous imposer : l'abandon pur et simple du nucléaire. Enfin, les anciens pays de la monstrueuse URSS sont bien obligés de rénover/redéfinir/repenser leur nucléaire stalinien : vers qui se tourner, sinon vers... la France, bien entendu !
C'est dans ce contexte, enfin redevenu favorable à notre filière d'excellence du nucléaire, que Framatome, filiale d'EDF, vient d'obtenir un financement de 10 millions d'euros de l'Union européenne afin de poursuivre le développement d'un combustible adapté aux réacteurs russes (VVR) exploités en Europe : c'est v raiment l'occasion de se souvenir que... le Phénix renaît de ses cendres !
Vue 3D d’un dessin d’assemblage combustible VVER 440 de Framatome
Extrait de l'article d'Elsa Bembaron, dans Le Figaro :
DÉCRYPTAGE - L’Union européenne octroie une aide de 10 millions d’euros à l’entreprise française.
Bonne nouvelle pour la filière nucléaire française mais aussi pour la souveraineté énergétique européenne. Framatome, une filiale d’EDF, vient d’obtenir un financement de 10 millions d’euros de l’Union européenne afin de poursuivre le développement d’un combustible adapté aux réacteurs russes (VVR) exploités en Europe. La filière nucléaire russe a échappé aux sanctions mises en place par l’Europe depuis le début de la guerre en Ukraine.
Ce qui n’empêche pas les pays européens de tenter de trouver des solutions pour réduire leur dépendance aux produits russes dans ce domaine. Les plus exposés sont les anciens pays du bloc de l’Est, dont les centrales nucléaires existantes sont de technologie russe, VVR donc ; elles fonctionnent avec un combustible sensiblement différent de celui utilisé dans les centrales de technologie française. Dans l’Hexagone, tous les réacteurs destinés à la production d’électricité sont des réacteurs à eau pressurisés (REP).