Au Cinéma : Barbie, par Guilhem de Tarlé
A l’affiche : Barbie, un film américain de Greta Gerwing, avec Margot Robbie dans le rôle-titre et Ryan Gosling (Ken).
« Je suis une poupée de cire, une poupée de son (…)
Sous le soleil de mes cheveux blonds (…)
Je vois la vie en rose bonbon ».
Les « poupées Barbie », les vraies, en chair et en os, ne sont pas mon type féminin, tandis que celles « de cire et de son » (et de plastique) n’ont jamais fait partie de mon univers de Dinky toys ou de Norev.
Je ne serais donc pas allé voir ce long-métrage (1h55) sans l’apostrophe d’une de mes nièces attendant « avec impatience » ce que j’allais en dire. Il est vrai qu’Oppenheimer et Barbie font la une de l’actualité cinématographique, et que je ne pouvais peut-être pas me défiler… j’ai donc relevé le gant malgré les précédents Lady Bird et autres filles du Docteur March de la même réalisatrice, que j’aurais déjà pu ne pas voir.
Je le regrette, très chère nièce, et mon commentaire vous décevra sans doute. Deux heures d’ennui à bailler devant un film qui se veut engagé avec, par-ci, par-là, pour qui ne s’endort pas, des propos « féministes », que j’ai vaguement entendus, contre le « patriarcat », absolument sans intérêt.
Ce « Barbie land » de Mattel, Barbie (Barbara Millicent Roberts) et Ken, m’est absolument inconnu, et le restera.
De rose, d’ailleurs, je n’aime que celui du Rosé.