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Actualité France - Page 469

  • Sectaire, mais quand même pas jusqu'au portefeuille!...

              Ultra gauchiste, soutien indéfectible de Ségolène Royal pour l'élection présidentielle, Ariane Mnouchkine vient de refuser sa nomination au Collège de France car, croit-elle à tort, cette nomination vient de Sarkozy : ce qui serait pour elle l'horreur absolue !

              Pourtant cette dame ne refuse pas les subventions, même quand elles viennent de la droite, appliquant à la lettre, pour ce qui est de l'argent, le précepte de l'Empereur Vespasien: "Non olet !".

              Belle illustration du sectarisme déplacé et de la mauvaise foi de certain(es) à gauche et à l'ultra gauche: on caquette, on jacasse, mais dès qu'il s'agit de belles et bonnes espèces, sonnantes et trébuchantes, on ne fait plus tant sa difficile, et on va à la soupe.... Pitoyable ? Minable ? Les deux à la fois, et plus encore !....

  • Bête et méchant...

              Noël Mamère n'aime pas Nicolas Sarkozy; il n'aime pas non plus Cécilia. C'est son droit le plus strict. On a eu cependant du mal à comprendre le sens de son intervention sur LCI, le jour de la libération des infirmières bulgares.

              Il est apparu la mine plus renfrognée encore que d'habitude (mais pourquoi donc adopte-t-il si souvent cet air courroucé et fulminant ?...), et s'est lancé dans une virulente critique de l'action de Cécilia Sarkozy: il a reproché au Président d'avoir fait de son épouse "un ministre des Affaires Étrangères de substitution"; mais, surtout, le plus grave pour lui c'est que Cécilia "n'a pas reçu l'onction du suffrage universel !".

              Mais qu'est-ce que le suffrage universel vient faire là dedans ? Il serait aberrant de ne réserver qu'aux seuls élus les missions de bon offices et la bonne volonté ! Quelle mouche l'a donc piqué pour réagir ainsi ? Et d'une façon qui se voulait peut être ironique et mordante, mais au final  tellement vindicative que la haine n'était pas loin de déformer les traits de son visage !...

             Il faudraitt qu'il apprenne à se calmer, et à maîtriser ses nerfs. En fait Noël Mamère n'est pas beau joueur : plutôt que de se réjouir de ce qui est -qu'on le veuille ou non- un succès, il préfère prendre les choses par le mauvais bout de la lorgnette, et mettre la (mesquine) politique politicienne là où elle n'est pas. C'est nul...

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  • La république danse sur un volcan...

              Lu dans "La Provence" du lundi 16 juillet (1): "Des voitures retournées en flammes, en guise de remparts. Des grappes d'individus, le visage sous une cagoule ou une capuche, armés de cocktails Molotov dans une main et de pierres dans l'autre. Des barrages de poubelles incendiées....Dans plusieurs quartiers marseillais, samedi soir, la Fête nationale avait des allures de "révolution urbaine" avec un goût amer de déjà vu...En milieu de nuit, vers 3 heures du matin, une quarantaine de véhicules et quelques 150 poubelles avaient été incendiées. Les marins-pompiers ont en outre traité 200 feux d'herbe et 13 feux de détritus..." L'article évoque les 602 appels et 585 interventions concernant les pompiers, victimes d'une trentaine de "caillassage", les cinq feux urbains, les 12 arrestations opérées par les 200 policiers, appuyés par 96 "municipaux", tandis que les CRS, pour la troisième année consécutive, ont dû intervenir à la Cité Air Bel "pour calmer et refroidir les esprits" (sic!). Voilà pour Marseille...

              En France, on n'a recensé "que" la bagatelle de 199 véhicules incendiées et 76 arrestations, autant dire rien, puisque la république nous a donné l'habitude de vivre habituellement avec des choses que nos ancêtres n'auraient pas admis à leur époque, et nous non plus il y a une vingtaine ou une trentaine d'années: mais on s'habitue à tout, n'est-ce pas? surtout lorsque l'opinion, à qui l'on ne dit pas tout -quand on ne lui ment pas carrément- est quotidiennement anesthésiée par les mensonges de la "vérité officielle" et le bourrage de crâne opéré par le parti immigrationniste...Et pendant ce temps là, l'arbre des délinquances et des Mafias pousse ses racines, silencieusement mais inexorablement; il prend toute sa place et s'installe confortablement et efficacement; il prospère, et la république accepte l'inacceptable; elle tolère l'intolérable; elle "gère la délinquance", elle n'y répond absolument pas: comment le pourrait-elle, d'ailleurs, puisque c'est elle qui, en trente ans, a opéré ce prodigieux transfert de population qui est directement à l'origine de l'apparition de ces cités, dangereuses aujourd'hui, explosives demain....

    (1): page 4: "Le 14 juillet, prétexte pour mettre le feu dans les cités."

  • Encourageant et prometteur ?...

              François d'Orcival, dans Le Figaro Magazine du 30 juin, rapporte un mot de Nicolas Sarkozy: "Ma seule idéologie, c'est le pragmatisme".

             La formule est sympathique et prometteuse, pour peu, bien sûr, que les faits, et la politique menée, la confirment: après les douze années de Chirac, qui s'est voulu le "gardien du temple" de la religion républicaine, allons-nous assister pour de bon à une vraie rupture, à "la" vraie rupture: une tête de l'État qui répudierait la conception républicaine idéologique -et sectaire- de la France; et qui renouerait au contraire avec la vision traditionnelle de ses mille ans d'Histoire et de ses deux mille ans d'héritage chrétien (d'ailleurs évoqués plusieurs fois lors de la campagne électorale...) ?

             Gardons-nous, certes,  des illusions, et gardons-nous de prendre nos désirs pour des réalités; mais gardons nous aussi de ne pas voir ou de ne pas savoir interpreter de possibles signes: il en est des idéologies comme des virus et des épidémies, qui finissent toujours par faiblir et disparaître.

             Seul l'avenir, bien sûr, dira ce qu'il en est finalement, mais on peut noter certaines inflexions, certains changements dans les discours officiels; et il n'est pas interdit de penser que les conséquences qui pourraient en découler pourraient réserver d'heureuses surprises...

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    Un candidat au Mont Saint Michel....
  • D'un "TSS" l'autre...

              Ainsi donc, le Parti Socialiste est passé du 'Tout sauf Sarkozy" au "Tout sauf Ségolène"...

              Dans les deux cas, un Parti qui en est réduit à cette formulation de "tout sauf..." est un parti aux abois, qui n'a pas grand'chose -voire rien du tout- à proposer, et qui se condamne lui-même, en étalant et en reconnaissant son vide intellectuel aux yeux de tous; il ne propose plus rien, il ne suscite plus aucun enthousiasme, il se contente de tâcher d'aller de ce qu'il croit être un moindre mal à un autre moindre mal: ce n'est pas très reluisant...

              Quant à la principale intéressée, elle confirme qu'elle est bien et pleinement socialiste: en effet, comme tout socialiste qui se respecte, elle refuse absolument d'être responsable ou coupable de quoi que ce soit; c'est la faute des autres, tout est toujours de la faute des autres: de Sarkozy bien sûr, mais aussi des machos, des éléphants, du PS...

               Bref c'est la faute de tout le monde, sauf d'elle; tout le monde l'a trahi, attaquée, desservie, mais, elle, elle n'a rien a se reprocher: esprit et attitude typiquement PS, perinde ac cadaver...

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  • Le summum de l'immoralité?...

              On se souvient de la colère feinte et forcée de Ségolène Royal lors de son débat télévisé avec Nicolas Sarkozy, juste avant le premier tour de l'élection présidentielle: dans ce qui se voulait une sorte d'éclat, mais qui était manifestement préparé à l'avance, qui sonnait faux et qui fut "sur-joué", Sarkozy se vit accusé d'être "immoral" et d'atteindre "le summum de l'immoralité": excusez du peu ! le temps d'une tirade de mauvais goût et de mauvaise foi -qui du reste, de l'avis unanime, l'a desservi...- Ségolène devint, ou du moins crut devenir, une sorte de Dieu le Père (pardon, de Déesse la mère...), faisant le Jugement Dernier le jour du "Dies Irae"; et décrétant souverainement, et bien sûr sans appel, qui était et où était le mal ("lui"...) et le bien ("elle"...bien sûr!). 

              Or voilà que, quelques semaines à peine s'étant écoulées, Madame Royal "tombe le masque", en quelque sorte, et nous asséne tout de go qu'elle a défendu au moins deux idées dans son "pacte présidentiel" qui n'étaient pas les siennes! auxquelles elle ne croyait pas! (sic!), tout simplement parce que ces idées n'étaient pas crédibles! (re-sic) (ces deux idées étant le Smic à 1.500 euros et la généralisation des 35 heures). La gauche réagit sèchement: pour Claude Bartolone (courant Fabius), Ségolène Royal est tout simplement un danger pour le PS ! Jean-Luc Mélanchon l'accuse de "duplicité" et de "provocation" et parle d'or: si réellement, dit-il, Ségolène Royal pensait que ces mesures n'étaient pas crédibles, pourquoi les a-t-elle défendues ? Le député communiste JP Brard, qui a pourtant soutenu à fond Ségolène..., a le sentiment d'avoir été trompé: bref, "ca barde" à gauche, et ce n'est probablement pas fini...

              Mais là n'est pas l'essentiel pour nous: laissons la gauche à ses lamentations et à ses convulsions d'après-défaite, et réfléchissons quelques instants à cette déclaration et à ce qu'elle signifie: les candidats ont-ils tous les droits et peuvent-ils tout se permettre ? est-il normal, est-il acceptable, qu'un(e) candidat(e) "tente le coup" et essaye de se faire élire à tout prix, fût-ce en mentant ? (car c'est bien ce qu'a fait Madame Royal, en proposant au moins deux mesures -et pas n'importe lesquelles, en importance- dont elle savait pertinemment qu'elles ne seraient pas applicables...). Et si on cherche à défendre Madame Royal à tout prix, si on ne pense pas que ce soit un mensonge, alors ce ne peut être que de la légèreté et de l'approximation, qui à ce niveau là s'appellent de l'incompétence: ce n'est guère mieux ! Ou, troisième et dernière hypothèse possible, si ce n'est ni du mensonge, ni de l'incompétence, ce ne peut plus être que de la faiblesse: ne pas arbitrer, ne pas être capable de "faire un choix", alors que précisément "gouverner c'est choisir"....

              On voit bien que, de quelque façon qu'on aborde le sujet, les conclusions sont toujours défavorables à Ségolène Royal. Et pourtant, inconscience ou mépris souverain des autres, celle-ci annonce, presque dans la foulée, qu'elle sera très probablement candidate en 2012 !: "J'ai envie de continuer !" dit-elle: mais de continuer à quoi? à mentir effrontément? à étaler au grand jour son incompétence? sa faiblesse? Tout cela par simple ambition personnelle ? Et s'il était là, en réalité; et s'il était de son fait "le summum de l'immoralité" dont elle a cru, un jour, pouvoir accuser son concurrent ?.... 

  • Il vaut mieux entendre ça...

                                          affaire borrel.JPG   ....que d'être sourd ! La justice française "n'est plus indépendante", estime -offensé !- Djama Souleiman procureur général de Djibouti, à propos de "l'affaire Borrel".

              Le propos prête à sourire, et vaut son pesant d'or, venant d'un régime que l'on ne peut qualifier ni d'angélique ni de transparent; et qui a tout fait pour entraver la justice. Mais on ne peut oublier qu'il s'agit d'un assassinat, longtemps nié, et camouflé en suicide par un régime corrompu, avec le soutien, curieux et permanent, des autorités françaises et de l'ex président Chirac.

              Sans entrer dans les méandres d'une affaire très compliquée, on ne peut que se réjouir de voir la veuve du Juge reçue à l'Elysée, et l'affaire requalifiée en "affaire criminelle". Madame Borrel déclare que cette nouvelle approche des faits l'a réconciliée avec son pays: espérons que la "rupture", souvent revendiquée, et que l'on voit se dessiner heureusement à propos du Juge Borrel, s'appliquera de la même manière dans de nombreux autres domaines...

    (lire: "Mon mari, juge, assasiné", Flammarion, 384 pages, 21 euros).

  • Ségolène Feydeau et François Courteline...

              On n'en est même plus au niveau zéro de la politique: le PS de Ségolène et François c'est un bathyscaphe, c'est le Titanic ! Profondeur: quatre mille mètres ! Même les membres du parti sont exaspérés: Manuel Valls n'a pas mâché ses mots pour dire ce qu'il pensait des démêlés tragi-comiques du maintenant ex-couple Royal-Hollande...

              Il est certain que le dernier avatar de ce duo -qui se sera plus apparenté à une étoile filante qu'à autre chose- tient plus de Feydeau ou de Courteline que de la Politique avec une majuscule !

              Passée de l'obscurité de ses débuts, quand elle n'était qu'une simple collaboratrice de Mitterand, à une certaine notoriété en tant que présidente de Région, Ségolène Royal a largement déçu pendant sa campagne -avec ses bourdes et ses gaffes - pour finir enfin par étaler au grand jour ses déboires intimes, dont du reste tout le monde se contrefiche...

              Elle fait penser à ce Ginguené dont parle Chateaubriand, qui le croque ainsi: "...tombé de la médiocrité dans l'importance, de l'importance dans la niaiserie, et de la niaiserie dans le ridicule...": n'est-ce pas tout Ségolène ?...

  • François Bayrou récupéré par le Système...

              Il était sympathique au début de la campagne, François Bayrou: sa posture et sa position représentaient en effet l'espoir de quelque chose de nouveau, dans un monde politique très conformiste, voire sclérosé dans son opposition répétitive, lassante et finalement assez stérile entre deux blocs antagonistes, toujours les mêmes; chacun répétant presqu'inlassablement les mêmes choses, excluant à priori tout ce qui n'était pas lui, rejetant d'avance dans les ténèbres extérieures toute personne ou toute idée proposée par "les autres"...: de ce "jeu" politique là, François Bayrou s'est démarqué nettement et, en le critiquant vertement, il a trouvé un écho véritable dans l'opinion; il s'est attiré la sympathie de bon nombre de nos concitoyens; il a porté pendant quelques semaines un projet qui semblait à même de dépasser ce clivage stérile des partis et de proposer à un plus grand nombre de citoyens des objectifs fédérateurs en dehors du sempiternel affrontement "bloc conte bloc"....

              Ce faisant, il rencontrait, en même temps qu'il lui donnait des arguments, une part non négligeable de l'opinion qui, depuis quelque temps, se méfiait et se détournait de la classe politique. Oui mais voilà: nous sommes dans un système donné et, comme nous l'avons dit souvent, ce ne sont pas (ou pas forcément...) les hommes ou les femmes qui sont sont mauvais, c'est le système qui les empêche de donner leur pleine mesure et qui les stérilise. Ainsi en fut-il de François Bayrou: son parcours, commença dans le sillage et le souvenir volontiers évoqué d'Henri IV, autre béarnais, autre rassembleur fameux; Bayrou souhaitait lui aussi rassembler, et guider vers les sommets. Noble ambition, et fort sympathique; mais n'est pas Henri IV qui veut; il ne suffit pas de vouloir, il faut aussi pouvoir; et c'est là que les chaînes politiques du système auquel appartient Bayrou -et qu'il n'a pas remis en cause-  le retinrent et le ramenèrent violemment au sol, d'où il avait tenté de s'extraire; autour des maisons qu'ils protègent, on voit ainsi parfois de grands chiens de garde, attachés à des chaînes assez longues, qui semblent prendre leur envol et se ruer sur quelqu'un qui passe à proximité; à peine ont-ils fait quelques mètres, la chaine brise net leur élan...!

              Ainsi en fut-il pour François Bayrou, qui commença sous les auspices d'Henri IV, mais finit assez piteusement comme Iznogoud, le héros de bande dessinée qui "voulait être calife à la place du calife": ce qui au début représentait vraiment quelque chose de positif fut peu à peu absorbé et comme recouvert par les intérêts de groupe et de parti, puis par les intérêts personnels tout courts; on passa des grandes visions et des grands projets aux querelles personnelles de préséance, les rancoeurs et les inimitiés refirent surface: bref, très vite le système récupéra et "recycla" (qu'on nous pardonne l'image...) celui qui avait eu l'audace de vouloir faire autre chose, de vouloir être différent, et qui finit tellement semblable à ce qu'il dénonçait la veille, tellement conforme à la pratique habituelle de l'intérêt partisan avant l'intérêt général. Sic transit...mais quelle tristesse tout de même, quelle dérision ! c'est une leçon à méditer....

  • Contradictions de la République idéologique...

              Louis Schweitzer vient d'autoriser les femmes voilées à accompagner les élèves lors des sorties scolaires; il veut même les imposer là où elles se proposent, et obliger les professeurs à les accepter. Alors qu'un loi interdit le port du voile dans les écoles !...

              C'est là une décision propre à créer  du trouble, des oppositions, des tensions, bref de la guerre civile, dans un monde qui devrait justement être préservé de ce genre de choses. On sait ce que représente le prétendu voile islamique pour les tenants purs et durs d'un Islam rigoriste: il institutionnalise l'infériorité et la dépendance de la Femme par rapport à l'Homme et, dans une religion qui mêle et confond le spirituel et le temporel, il constitue en outre, de facto, un signe religieux distinctif.

              Deux façons de contredire et violer des principes déclarés fondamentaux par la République ! amusant ? non: révoltant ! Pourquoi celle-ci est-elle si sourcilleuse et si "laïque" lorsqu'il s'agit du christianisme, élément constitutif de la Nation Française, et si permissive lorsqu'il s'agit de l'Islam ? Combien de temps fera-t-elle le grand écart ?

  • Aux cuistres et pédants, qui prolifèrent...

              Ne semblent-elles pas écrites d'hier ces quelques phrases assénées par Chateaubriand dans ses "Mémoires d'Outre-Tombe" (Pléiade, Livre Treizième, chapitre 10, pages 463 et 464) ? Et ne semblent-elles pas s'adresser, par exemple, à un Dan Brown, et répondre à son "Da Vinci Code" ? Mais aussi à Michel Onfray, ou encore à tous leurs semblables ?...:

              "...Les diverses combinaisons abstraites ne font que substituer aux mystères chrétiens des mystères encore plus incompréhensibles...; le ton tranchant dont quelques uns parlent de tout cela révolterait, s'il ne tenait au défaut d'études: on se paye de mots que l'on n'entend pas, et l'on se figure être des génies transcendants.

              Que l'on se persuade bien que les Abailard, les Saint Bernard, les Saint Thomas d'Aquin ont porté dans la métaphysique une supériorité de lumières dont nous n'approchons pas; que ce que l'on nous donne pour des progrès et des découvertes sont des vieilleries qui traînent depuis quinze cents ans dans les écoles de la Grèce et dans les collèges du moyen âge...".

             

  • Attitude minable d'un type minable...

              On hésite entre les mots: choquant ? écoeurant ? scandaleux ? lamentable ? ou tout cela à la fois....!

              Mis en examen pour violence sur son ex compagne, Cheb Mami "n'a plus confiance en la justice française". C'est pourquoi il a quitté la France, en violation du contrôle judiciaire auquel il était soumis; il veut être jugé en Algérie !

              En somme, ce monsieur aux moeurs violentes fait comme beaucoup d'autres: il vient chez nous, profiter au maximum de notre pays pour faire du fric et, dès qu'il a un problème à cause de son comportement, il bave sur nous et nous insulte. Car c'est une insulte que de dire "J'ai confiance en la justice de mon pays" en parlant de l'Algérie, alors qu'il vient de dire qu'il n'a pas confiance en celle de la France.

              Qu'il soit logique, alors, et qu'il reste vivre là bas; qu'il abandonne sa nationalité française (puisqu'il a la double nationalité), à moins que nous ne la lui retirions, ce que devrait faire tout gouvernement ayant un minimum de dignité....

             "Quousque tandem....!" s'écriait Cicéron, à propos des intrigues de Catilina: nous pouvons reprendre l'expression et l'exaspération: jusques à quand la France sera-t-elle salie et injuriée par des individus de cette espèce ?...

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  • Le silence est d'or...

              Mauvais perdants, et ne digérant pas leur défaite, Jean Luc Mélanchon et Mouloud Aounit ont franchi les bornes de la bêtise et du mauvais esprit.

              Le premier a déclaré, en parlant de la droite: "...ils ont tellement collaboré...!" et le second s'est carrément écrié: "C'est la France de Pétain !". Pas étonnant, avec des raisonnements (?!) pareils, que ces messieurs perdent les élections...!

              On leur rappellera simplement que c'est la Chambre du Front Populaire qui a déclaré et perdu une Guerre qu'elle n'avait pas préparée: elle est donc directement et seule responsable de la défaite, de l'Occupation et des horreurs effroyables qui en ont découlé, matériellement et moralement. Cette Chambre s'est ensuite enfuie, en un sauve qui peut déshonorant, non sans avoir au préalable voté les pleins pouvoirs à Pétain, qui devait, par la suite,  trouver dans la gauche socialiste et communiste de nombreux soutiens à la politique de Collaboration: Doriot (ancien maire communiste de Saint Denis), Laval et Déat (tous deux anciens députés socialistes), Simon Sabiani (vrai maître de Marseille pendant des années)...

              Les gens honnêtes et instruits savent que l'héroïsme et la trahison ont été présents dans les deux camps: Mélanchon et Aounit non.... Quoi qu'il en soit, leur inculture et leur mauvaise foi leur ont fait perdre une bonne occasion de se taire..... 

  • Un sondage...

              Sans commentaires, ce sondage BVA publié par France Soir (8/03/07):

             17% des Français seraient favorables à ce que la fonction de Chef de l'Etat soit confiée à un Roi, et 20% pensent que la présence d'un Roi aurait des conséquences positives ( les mêmes 20% pourraient voter pour un candidat royaliste à une élection présidentielle).

             Seraient favorables à la ré-instauration de la monarchie: 30% des commerçants, 25% des ouvriers et 28,9% des catholiques pratiquants.

              Seraient prêts à voter pour un candidat royaliste: 31,4% des jeunes de 18 à 24 ans et 46,5% des agriculteurs.... 

  • Pour qui se prend José Bové ?...

              Hier il fauchait des champs de maïs; aujourd'hui il "envisage" (sic !) d'inciter les citoyens à démonter les pylônes de la ligne à très haute tension alimentant le futur EPR, à Flamanville. Se croit-il investi d'une mission divine, pour se mettre régulièrement en dehors des lois ?

              Ce n'est certes pas le suffrage universel ni son score ultra confidentiel qui l'autorisent à agir ainsi. Où allons-nous si chacun des 62 millions de Français, sitôt mécontent, incite ses concitoyens à la violence et à l'illégalité ? Si on laisse impunément chacun "envisager..." à tout propos, comme le fait José Bové, montrant par là un exemple détestable, on sera vite surpris des "actions" "envisagées" !

             Soyons sérieux, un grand pays ne pourrait vivre dans la paix civile en tolérant des comportements pareils ! José Bové, auto-proclamé "Je sais tout", c'est l'exemple type d'une certaine perversion intellectuelle, que Talleyrand résume assez bien avec sa formule, Aussi suffisant qu'insuffisant.....

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