Le national et le l’international (Coronavirus), par Gérard Leclerc.

L’immense crise actuelle, nationale, européenne, mondiale, impose d’ores et déjà des révisions radicales qui sont notamment d’ordre politique. Celle qui concerne les frontières nationales s’impose au premier chef.
Le président de la République remarquait, dans son allocution de lundi soir, que l’épreuve que nous subissions ne nous laisserait pas intacts et qu’il nous faudrait en tirer toutes les leçons. Qui ne pourrait adhérer à une telle invitation, que l’on soit partisan ou adversaire du pouvoir actuel et de son principal détenteur ?