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Ses 33 tués ont donné le prétexte qu’Erdoğan attendait pour attaquer de nombreuses positions de l’armée syrienne : artillerie lourde, drones et même aviation depuis le territoire turc, le sultan n’a pas lésiné sur les moyens pour se venger.
Les pertes syriennes sont sûrement inférieures à ce qu’il annonce (2.000 soldats hors de combat) mais elles sont certainement non négligeables. De plus, deux avions syriens ont été abattus par des missiles sol-air ; les pilotes ont eu la chance de pouvoir s’éjecter et de tomber du bon côté du front !
Pour se survivre à lui-même, le «Système» algérien fait du neuf avec du vieux. Propulsé au premier rang par feu le général Gaïd Salah, le président Abdelmadjid Tebboune fut en effet plus de dix fois ministre d’Abdelaziz Bouteflika dont il ne cesse désormais de dénoncer le bilan...
Trente-trois militaires turcs ont été tués, jeudi 27 février, par un bombardement que la Turquie attribue à l’aviation syrienne, comme le rapporte Le Monde. C’est le gouverneur de la province turque d’Hatay qui en a fait l’annonce, ajoutant que plusieurs dizaines d’autres soldats avaient été blessés.
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Dans la reconquête de son pays sur les islamistes, Bachar El Assad vient d'engager le dernier combat, contre la ville même d'Idlib.
Erdogan, condamne, accuse et dit qu'il va riposter.
Mais, de quel droit ?
De quel droit occupe-t-il une partie d'un pays souverain ? Comme, du reste, 30.000 de ses soldats le font à Chypre ?
Erdogan, dictateur "à la Hitler" et agissant exactement comme lui, avant 39, par "avancées" et provocations successives et constantes, intervient aussi en Libye, et ne se cache pas de vouloir restaurer dans les faits l'Empire Ottoman.
Heureusement, il est vieillissant; il vient de perdre les élections municipales, notamment dans les deux grandes villes du pays (Istanbul et Ankara, où, même en ayant fait revoter la population - ce qui est en soi un scandale démocratique - il a perdu également lors du second vote !); il est rejeté, et de plus en plus, par la grande majorité de la jeunesse du pays, c'est-à-dire par la Turquie de demain...
L'orgueilleux Erdogan de naguère, se rêvant nouveau Sultan, peut encore donner, ci et là, quelques méchants coups de pattes et de griffes, comme un vieux lion. Il semble bien que son temps soit en train de passer; soit, très prochainement, du passé...
Née en Chine comme la plupart des pandémies qui ont ravagé le monde, depuis la fameuse grippe de 1918 injustement appelée « grippe espagnole » parce que les Espagnols ont été les premiers à en signaler le danger, passant par le SRAS ou le H1N1, la propagation du coronavirus Covid-19 met en relief tous les effets pervers de la mondialisation.
Au vu des crises sociales qui ravagent une partie du monde ( notamment le vieux monde de l’Europe et des pourtours méditerranéens) on savait que, contrairement à ce que prétendent les niais la mondialisation n’est pas « heureuse » ; on savait aussi que les délocalisations entreprises par des sociétés (des fabricants de chaussettes aux fabricants d’aspirateurs ou d’ordinateurs), qui n’ont que le profit pour idéologie et ont cherché par tous les moyens à faire fabriquer au plus bas prix, ont précipité le chômage et la misère des classes moyennes, en particulier dans les pays industrialisés.
Le sujet déborde les limites des pays musulmans et influenceurs, les communautés islamiques installées en Occident.
Compte tenu de cette importance, il a été divisé en deux parties. Vous trouverez la première dans la Petite Feuille Verte n ° 68 (texte complet ci-après), la suite sera traitée dans la prochaine, qui portera le n ° 69...
ISLAM ET BLASPHÈME
Plusieurs affaires récentes défrayant la chronique ont mis en évidence l’importance que l’on accorde au blasphème dans le monde musulman.
L’une d’elles a particulièrement retenu l’attention car elle s’est déroulée en France en janvier 2020.
Les propos tenus par une adolescente prénommée Mila, qui avait crûment exprimé son aversion pour l’islam, lui ont valu de nombreuses menaces de mort, menaces que le délégué général du Conseil Français du Culte musulman (CFCM), Abdallah Zekri, a semblé approuver. « Cette fille sait très bien ce qu’elle fait. Qui sème le vent récolte la tempête » (Le Figaro, 30 janvier 2020).
Ce responsable se situe donc du côté des musulmans pour lesquels le blasphème est passible des plus graves sanctions, tandis que d’autres appellent à la tolérance dans ce domaine.
Erdoğan tente de sortir de l’impasse dans laquelle il se trouve à Idleb, en Syrie, dernière province tenue par les islamistes et qu’il occupe conjointement. Sa reconquête progressive par l’armée syrienne a entraîné des affrontements à l’artillerie entre Turcs et Syriens, faisant plusieurs morts de chaque côté : 17 chez les Turcs, reconnus par Ankara, un nombre indéterminé chez les Syriens, qui ne communiquent jamais sur leurs pertes.
Dans le monde entier : Plus la couleur est foncée, plus l'esclavage moderne est présent...
A lafautearousseau, on est très loin d'êtres des "fans" de Jean-Marc Morandini, et de son émission du matin sur C8.
Cependant, on se doit de jeter régulièrement un oeil par-ci, par là, un peu partout, pour dénicher telle ou telle chose à dire, à redire ou à préciser/rectifier : et donc, lors d'une de ces émissions matinales, on a vu Morandini revenir sur une méchante affaire entre Babette de Rozières, qui était "furieuse" contre Mimie Mathy, et cette dernière, traitée par la première de "conne et imbécile".
Pour le lecteur non averti, tout est parti d'un épisode de la série "Joséphine, ange gardien" dans lequel Mimie Mathy remontait le temps, et atterrissait en Martinique en 1830, d'où la présence du thème de l'esclavage...
Bon, on n'entrera évidemment pas, ici, dans ce débat entre dames (?), qui relève du caniveau; par contre, on s'intéressera au "fond" du problème - l'esclavage et sa condamnation - qui, lui, va nous permettre de... remettre les choses au point...
Depuis plus de 2 mois, le coronavirus, dérivé du SRAS, envahit l’espace médiatique à mesure qu’il contamine un peu partout sur la planète. Les chiffres fournis par la Chine sont incertains et l’évolution des contaminations reste particulièrement difficile à prévoir. Le gouvernement français comme à son habitude fait une démonstration de légèreté. Contrôles inexistants dans les aéroports, principe de précaution inconnu, les mesures de restriction pour éviter la prolifération du virus dans notre pays ont été plus que légères. Et si l’impact sanitaire pour l’Europe reste encore inconnu, la réalité de l’impact économique s’impose avec évidence. Le prix du pétrole chute et la mise à l’arrêt forcé des usines chinoises frappe de plein fouet le monde entier. Une démonstration des problématiques de la mondialisation.
Alerte : encore un livre à charge contre Trump, écrit cette fois par un anonyme. Avec toujours les mêmes reproches et les mêmes sarcasmes. Qui dissimulent un combat idéologique de fond.
C’est devenu un genre en soi. Avec ses règles, sa logique, jusqu’à ses tics d’écriture, qu’on reconnaît du premier coup d’œil. On pourrait en rédiger à la chaîne. D’ailleurs, c’est ce que les Américains font. Le livre sur Trump est devenu en peu de temps ce qu’en jargon journalistique on appelle un marronnier. D’habitude, c’est un grand journaliste qui s’y colle ; ou un haut fonctionnaire viré par Trump. Cette fois, nous varions les plaisirs avec ce haut fonctionnaire qui ne révèle pas son identité.