Sur le Cercle Aristote, Pierre-Yves Rougeyron : l'option "reset".
Pierre-Yves Rougeyron revient sur l'option "reset" mise en avant par le FMI et la BCE.
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Pierre-Yves Rougeyron revient sur l'option "reset" mise en avant par le FMI et la BCE.
Source : https://fr.aleteia.org/
En rétablissant le statut de mosquée à Sainte-Sophie, le président turc Erdogan entend imposer l’identité et la supériorité musulmanes au monde chrétien. Un choix qui devrait sceller l’arrêt définitif du processus d’intégration de la Turquie dans l’Union européenne.
Source : https://sfrpresse.sfr.fr/
A croire que la guerre de Sécession fait toujours rage. Elle n’est pas seulement la toile de fond du roman-fresque de Margaret Mitchell, paru en 1936, elle vient de resurgir après le meurtre, aux Etats-Unis, de George Floyd – une tragédie qui a provoqué dans ce pays, et dans le monde entier, une flambée de manifestations antiracistes.
Source : https://www.politiquemagazine.fr/
De la conquête inspirée du monde au repli prudent, les États-Unis ont fini par douter de leur rôle historique. Mais aucune nation ne peut vivre isolée : d'autres impérialismes émergent et menacent le Nouveau Monde.
Depuis la création de leur pays par des protestants européens rigoristes, les Américains sont convaincus d’être missionnés pour une « destinée manifeste ». Dieu leur a donné un rôle particulier, celui d’être le nouvel Israël. L’Angleterre, entre autres, avait décidé de se débarrasser de ces encombrants illuminés et leur avait demandé, dès le XVIIe siècle, d’exercer ailleurs leurs talents messianiques. C’est ce qu’ils firent dès leur arrivée sur la nouvelle terre promise.
L'animateur Stéphane Bern qualifie de "vision de l'histoire totalement anachronique" le déboulonnage de statues de personnages liés à l'histoire de l'esclavage.
Source : https://www.bvoltaire.fr/
Le Liban s’effondre. Crise économique, crise financière, crise bancaire, tout arrive en même temps et, au fond, ce n’est pas une surprise. Le « miracle libanais » était un mirage. Un mirage construit sur un château de cartes qui s’est effondré.
Aucune issue ne semble pour l’instant possible. L’inflation galopante détruit ce qui reste de pouvoir d’achat, le chômage est devenu massif, la livre libanaise s’effondre et la classe politique reste honteusement passive.
Thomas Klingenstein du Claremont Institute (comment, vous n’êtes pas encore abonné à The Claremont Review of Books ? Mais qu’est-ce que vous attendez ?!) a publié récemment un essai fort intéressant. Cet essai porte sur la mission que devrait, selon lui, se donner la droite américaine. Mais ce qu’il dit est tout à fait pertinent pour nous aussi, moyennant de très légères transpositions. Je n’insulterai pas votre intelligence en vous indiquant lesquelles.
Certes, la plupart du temps, la radicalisation est en réalité un signe de faiblesse : Erdogan a vieilli, il n'est plus le fringant meneur d'autrefois, par la loi de la simple nature; il a aussi perdu les élections dans les deux principales villes du pays (Constantinople et Ankara); la crise économique lui a fait perdre la confiance d'une bonne part de la population - qui lui était acquise - alors qu'elle a renforcé l'opposition de celle qui lui reste hostile, malgré la féroce dictature de fait et la répression à outrance qu'il mène depuis des années contre le peuple...
Source : https://lincorrect.org/
Oignez vilain, il vous poindra, avertissait le sage Ancien Régime. Libérez les masses de leur servitude, elles vous réduiront bientôt en esclavage. En vérité, rien de neuf, il y plus de deux cents ans, la première révolution, la française, la nôtre, avait déjà démontré combien à renverser un ordre, même pour partie injuste, on courait le risque de la violence sans but, de la libération des chaos mimétiques que René Girard a si bien décrits, après le pressentiment qu’en avait de Maistre ; deux cents ans de révolution comme processus, comme idéologie, ont semé le meurtre, le sang, l’horreur, le saccage, la sédition, le massacre, et l’extermination, culminant dans le stalinisme et l’hitlérisme.
Source : http://www.monarchiesetdynastiesdumonde.com/
«La Grèce ne peut prétendre à avoir des droits sur [la basilique de] Sainte-Sophie». La charge est venue de la bouche même d’un descendant de Mehmet II, ce sultan qui s’est emparé de Constantinople en mai 1453. Symbole de la puissance chrétienne orthodoxe, les turcs s’empresseront un siècle plus tard de lui rajouter des minarets et de la coiffer d’un croissant. C’est la république d’Atatürk qui décide finalement de désacraliser «AyaSofia» et d’en faire un musée.
Pierre-Yves Rougeyron analyse le résultats des élections municipales 2020, le remaniement ministériel qui a suivi et décrypte l'actualité internationale récente.