Les États-Unis à nouveau « prêts à guider le monde », dit Biden, qui n’en a plus les moyens, par Antoine de Lacoste.
Le futur président des États-Unis, élu dans des conditions douteuses mais qui seront sans doute validées, nage dans l’euphorie. Il se croit revenu au temps de la domination écrasante de son pays sur le monde, de « la destinée manifeste » que l’Amérique s’est auto-attribuée pour guider l’humanité et assurer son bonheur.