Actualité Monde - Page 27
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Jacques Bainville, un Cassandre si actuel, par Eric Zemmour.
Nous sommes en 1919. L’encre du traité de Versailles est à peine sèche. Un livre intitulé Les Conséquences politiques de la paix déplore ses faiblesses dans une formule qui restera célèbre: «Une paix trop dure pour ce qu’elle a de doux ; trop douce pour ce qu’elle a de dur.»
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Les zélateurs d’Erdoğan contestent, en France, l’enseignement du génocide arménien, par Philippe Kerlouan.
Ce n’est pas nouveau, mais ça empire : dans des collèges fréquentés par des élèves d’origine turque, l’enseignement du génocide arménien ne peut être évoqué sans susciter de vives contestations, encouragées par des associations franco-turques. C’est ce que nous révèle un article du JDD. Erdoğan voudrait-il imposer sa loi jusque dans les écoles françaises ?
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Histoire et Mémoire, par la rédaction de l’ASAF.
Ces dernières semaines, toujours marquées par la crise sanitaire et les controverses qui l’accompagnent, furent l’occasion, si besoin était, de nous rappeler, via les rapports Stora et Duclert sur l’Algérie et le Rwanda, l’importance de l’étude de l’Histoire.
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Sur Figaro Live, Zemmour : « Il n'y aura pas de traité d'amitié avec l'Algérie ».
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Syrie : 200 djihadistes tués par l’aviation russe, par Antoine de Lacoste.
Il y a bien longtemps que Russes et Syriens subissaient des coups de main islamistes venus du désert. Difficiles à repérer dans ces étendues caillouteuses parsemées de grottes et d’accidents de terrain propices aux caches, plusieurs centaines de djihadistes surgissaient tout à coup pour attaquer barrages ou convois de l’armée syrienne.
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Tchad : les clés de compréhension passent par la reconnaissance des fondamentaux ethno-claniques, non par les incantations démocratiques, par Bernard Lugan.
Dans l’incertitude actuelle, en dépit des rumeurs, des jeux politiques, des déclarations des-uns et des autres, des questions sur l’avenir du G5 Sahel, du jeu de plus en plus « clair » de la Turquie, de celui la Russie, de la Chine et de la navigation à vue de la France, l’essentiel est de voir que la question du Tchad est d’abord ethno-clanique.
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Génocide arménien : de plus en plus, les professeurs doivent faire face au négationnisme, par Laure Marchand.
Des professeurs témoignent d'une contestation croissante du génocide arménien. Photo d'illustration. (AFP)
Encouragées par des associations franco-turques, les contestations des élèves et de leurs parents du génocide arménien sont de plus en plus fréquentes, pendant les cours et en dehors. Des enseignants témoignent de leurs difficultés et de leur malaise.
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Billet d’humeur : L’hypocrisie de l’Occident à propos d’Alexeï Navalny, par Charles Saint-Prot.
Les médias occidentaux et les bonnes consciences de la pensée unique nous serinent que le dissident russe Alexeï Navalny serait menacé par le pouvoir russe. Tout cela serait plus crédible si on avait entendu ces mêmes donneurs de leçons antirusses sous Staline et le régime communiste (car c’est la même chose puisque le stalinisme est une forme de communisme comme le maoïsme, le polpotisme, la Corée du nord, etc.) qui n’a pris fin qu’en 1991 pour ce qui concerne l’URSS.
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Aristote est bien léger, par Charles de Meyer.
Le 25 mars 1821, la Grèce entamait la longue lutte qui la mènerait à se libérer du joug ottoman. Dix années de guerre allaient continuer cet engagement fondamental. L’empire de l’époque était imposant et les patriotes durent affronter des troupes venues d’Égypte, et d’autres limes de son extension.
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Bouleversement des puissances et déclin occidental, l'analyse de Raphaël Chauvancy, par Lauria Zenou.
Officier supérieur des Troupes de marine, Raphaël Chauvancy est chargé du module des stratégies de puissances de l’Ecole de Guerre Economique. Spécialiste des enjeux de puissance, il concentre ses recherches sur les nouvelles problématiques qui émergent en temps de guerre et de tensions. Dans son ouvrage, « Les Nouveaux Visages de la Guerre », Raphaël Chauvancy recherche et analyse les stratégies à mettre en place dans ces rapports de force. Il a accepté de décrypter avec nous l’attitude des grandes puissances confrontées à un monde en mutation.
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A qui profite le djihad ?, par Xavier Raufer.
Xavier Raufer est Docteur en géopolitique et criminologue.
Il enseigne dans les universités Panthéon-Assas (Paris II), George Mason (Washington DC) et Université de Sciences politiques et de droit (Pékin).
https://livre.fnac.com/a15602767/Xavier-Raufer-A-qui-profite-le-Djihad
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La Révolution racialiste et autres virus idéologiques, par Mathieu Bock-Côté.
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"La Révolution racialiste" avec Mathieu Bock-Côté, dans Le Grand Face à Face.
L’invité du Grand Face-à-Face est Mathieu Bock-Côté, sociologue et essayiste, auteur de « La Révolution racialiste et autres virus idéologiques » (Les Presses de la Cité).
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La France peut-elle laisser sauter le verrou tchadien ?, par Bernard Lugan.
Le 11 avril, au Tchad, au moment où se tenaient les élections présidentielles, une colonne rebelle venue de Libye a traversé le Tibesti, dans le nord du pays. Donnant le change, elle a laissé croire que son objectif était Faya, ce qui lui a permis d’y attirer les forces gouvernementales, l’ANT (Armée nationale tchadienne), dont une partie des meilleurs éléments se trouve actuellement au Mali en appui des forces françaises de Barkhane.