Jacques Bainville, un Cassandre si actuel, par Eric Zemmour.

Nous sommes en 1919. L’encre du traité de Versailles est à peine sèche. Un livre intitulé Les Conséquences politiques de la paix déplore ses faiblesses dans une formule qui restera célèbre: «Une paix trop dure pour ce qu’elle a de doux ; trop douce pour ce qu’elle a de dur.»