«N’oublions pas l’Arménie!», par Jean-Christophe Buisson.
Tourné au Karabakh, un documentaire édifiant rappelle les souffrances que subit encore le peuple arménien, 106 ans après le génocide.
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Tourné au Karabakh, un documentaire édifiant rappelle les souffrances que subit encore le peuple arménien, 106 ans après le génocide.
Le magistrat tunisien Béchir Akrémi aurait dissimulé des preuves dans l'affaire de l'assassinat d'un opposant socialiste au pouvoir islamiste tunisien en 2013. Il est aussi à l'origine de la libération de 6 complices présumés au lendemain de l'attentat du musée du Bardo, le 18 mars 2015. Maître Philippe de Veulle, qui représente 5 victimes de l'attentat du Bardo alerte sur les accointances de ce juge très controversé en Tunisie.
André Bercoff avec Jean-Pierre Favre-Bernadac, Auteur de « Les damnés de la France » aux éditions de Paris - Max Chaleil.
L’Union européenne et la France n'ont ni su ni voulu voir l'émergence de l'Inde, ni raisonner la volonté hégémonique chinoise. Sommes-nous capables d'agir ou même simplement d'exister dans ce “nouvel” économico-politique ?
Voici quinze jours qu’Alger et ses relais idéologiques multiplient les attaques contre Paris. Alors que, le 8 avril dernier, l’Algérie réitérait sa demande à la France de lui livrer ses cartes des sites d’essais nucléaires du Sahara – afin de dépolluer la zone –, l’agence de presse du gouvernement turc, Anadolu, commentait : « La colonisation française de l’Algérie a duré entre 1830 et 1962.
L'UNEF va-t-elle être dissous ? Quelles sanctions pour la Chine et sa politique envers les minorités Ouïgours ? Le drame de l'insécurité à Rennes, voici les 5 infos qu'il ne fallait pas rater cette semaine...
Le policier Derek Chauvin a été déclaré coupable du meurtre de George Floyd par le tribunal de Minneapolis, aux États-Unis.
Au micro de Boulevard Voltaire, André Bercoff analyse le contexte de cette affaire et sa récupération par les promoteurs de la cancel culture qui « tombent dans le racisme le plus total ».
Nous sommes en 1919. L’encre du traité de Versailles est à peine sèche. Un livre intitulé Les Conséquences politiques de la paix déplore ses faiblesses dans une formule qui restera célèbre: «Une paix trop dure pour ce qu’elle a de doux ; trop douce pour ce qu’elle a de dur.»
Ce n’est pas nouveau, mais ça empire : dans des collèges fréquentés par des élèves d’origine turque, l’enseignement du génocide arménien ne peut être évoqué sans susciter de vives contestations, encouragées par des associations franco-turques. C’est ce que nous révèle un article du JDD. Erdoğan voudrait-il imposer sa loi jusque dans les écoles françaises ?
Ces dernières semaines, toujours marquées par la crise sanitaire et les controverses qui l’accompagnent, furent l’occasion, si besoin était, de nous rappeler, via les rapports Stora et Duclert sur l’Algérie et le Rwanda, l’importance de l’étude de l’Histoire.
Il y a bien longtemps que Russes et Syriens subissaient des coups de main islamistes venus du désert. Difficiles à repérer dans ces étendues caillouteuses parsemées de grottes et d’accidents de terrain propices aux caches, plusieurs centaines de djihadistes surgissaient tout à coup pour attaquer barrages ou convois de l’armée syrienne.