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Les clins d’oeil présidentiels à des personnalités dites «populistes» relèvent d’une stratégie politique millimétrée, analyse la sondeuse Chloé Morin. Emmanuel Macron craint l’émergence d’un outsider qui devienne le champion du camp «anti-système».
J’avoue m’être beaucoup interrogée sur cette application. Quand il s’agit de la santé de nos concitoyens, on ne peut pas voter à la légère, sans peser le pour et le contre. Mais certains arguments m’ont décidée. En voici les principaux. Tout d’abord, aujourd’hui, les études démontrent que seulement un maximum de 70 % de la population pourrait (encore faudrait-il que tout le monde le souhaite) y avoir accès notamment à cause de la fracture numérique en France. Par ailleurs, cette application ne peut être installée que sur des appareils type « smartphone ». Tout le monde n’a pas ce genre de téléphones, à commencer par les populations à risque, qui sont d’abord les personnes âgées et qui, par ailleurs, savent le moins faire fonctionner le bluetooth, condition sine qua non pour que l’application fonctionne.
C'est Pierre Debray qui a raison, lui qui a prononcé ces mots, lors d'un des Rassemblements royalistes de Montmajour : la Royauté était "la flèche du progrès...", et c'est pour cela que nous voulons la ré-instaurer aujourd'hui, pour en finir avec ce Système idéologique de décadence ininterrompue, qui déclasse inexorablement la France, dans tous les domaines, la fait reculer sans cesse, et dilapide le magnifique héritage que nous ont laissé les "quarante Rois qui, en mille ans, firent la France"...
Au nombre des ces rois, bien sûr, l'immense Louis XIV, à qui la magnifique émission d'hier soir a rendu l'hommage qu'il méritait...
Imaginerait-on aujourd'hui une France sans le Roussillon, la France-Comté, l'Alsace, la Flandre ? C'est-à-dire (entre autres) sans Perpignan, Besançon, Strasbourg, Valenciennes, Dunkerque, Lille ? Sans le Canal du Midi ou les cent soixante forteresses de Vauban ?
Réhabilitons le racisme humaniste tant qu’il en est encore temps !
(Avec la collaboration de M.H)
« A l’époque où les Blancs se considéraient comme supérieurs, dit-il, le racisme n’était pas dangereux. Pour les colons, les missionnaires, les instituteurs laïques du 19ème siècle, le Nègre était un gros animal pas très méchant, aux coutumes distrayantes, une sorte de singe un peu plus évolué. Dans le pire des cas on le considérait comme une bête de somme utile, déjà capable d’effectuer des tâches complexes ; dans le meilleur des cas comme un âme fruste, mal dégrossie, mais capable par l’éducation de s’élever jusqu’à Dieu – ou jusqu’à la raison occidentale.
Du Haut-Empire libéral au Bas-Empire confiné et confinant, l'État avait peu à peu envahi la société romaine. On sait la chute de l'histoire. Est-ce ce chemin que prend notre civilisation ?
La crise mondiale provoquée par la pandémie du coronavirus constitue-t-elle le prélude à un changement de civilisation ? Les bouleversements qu’elle provoque dans tous les aspects de la vie des individus et des peuples donne à le penser. Pour notre part, nous inclinons à comparer cette mutation, encore à l’état de genèse, à celle qui fit passer la civilisation romaine, durant l’antiquité tardive, du Haut-Empire, florissant, prospère et brillant, au Bas-Empire, marqué par le déclin, la crise du pouvoir, la ruine de l’économie, la décadence culturelle, et l’insécurité permanente, tant celle des personnes que celle de l’empire lui-même, menacé puis miné par les invasions.
Hier, une algarade contre l’attitude actuelle de l’Église qui serait incapable d’avoir une parole originale et qui bouscule, m’a fait réagir. Non que je refuse par principe qu’il y ait controverse entre chrétiens, mais parce que je ne voulais pas laisser sans réponse des accusations qui finissent par faire mal, dès lors qu’on les prend à la lettre et que l’on ne se décide pas à ouvrir une franche discussion. Je reconnais qu’en mettant en cause finalement une sorte de déviation gnostique, j’ai un peu sorti la grosse artillerie, et que j’aurais dû donner plus d’explication.
Alors que nous prônons l’écologie intégrale (ni droite ni gauche mais locale et enracinée dans nos régions), nous nous devons de dénoncer l’hypocrisie de l’écologie partisane.
A ce titre nous ne pouvons que regretter les tractations et basses manœuvres de Julie Laernoes, candidate EELV aux municipales de Nantes (19,58 % au premier tour). Celle-ci souhaite en effet une alliance des forces de gauche avec Margot Medkour [Nantes en Commun LFI 8,95 %] et Johanna Rolland [PS 31,36 %] ».
Nous vous avons annoncé hier le lancement d'une revue trimestrielle d'inspiration chrétienne. Son nom est “Le Monde d'après...” et la consultation du n° 1 est gratuite sur le lecteur Calameo.
Il est aussi possible de télécharger le fichier en PDF.
On nous apporte l'information suivante, que nous vous transmettons aussitôt : la revue sera disponible en papier à Paris dès le 2 juin à la librairie Téqui 8, rue de Mézières 75006 Paris et à la librairie Gay-Lussac/Fenêtre sur l'Asie, 49, rue Gay-Lussac 75005 Paris.
Mercredi 22 mai, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Jean-François Kesler sur le thème “Faut-il supprimer l'ENA ? ”. A l’issue du « Grand débat », Emmanuel Macron a annoncé la suppression de l’École nationale d’administration. Depuis les années soixante du siècle dernier, l’ENA fait l’objet de critiques virulentes : considérée comme le foyer de la technocratie, elle est dénoncée comme une fabrique de fonctionnaires coupés du réel dont les réseaux dominent l’État. Dès lors, “faut-il supprimer l’ENA ?”
Pour répondre à cette question qui va être débattue dans les prochains mois, nous avons demandé à Jean-François KESLER de nous donner un avis qui est très bien informé : ancien élève de l’ENA puis administrateur civil au ministère de la Santé, il est ensuite entré au CNRS pour mener des recherches sur l’administration. Nommé directeur-adjoint de l’ENA en 1983, il a notamment publié « L’ENA, la société, l’État » (Berger-Levrault, 1985), « Les Hauts Fonctionnaires, la politique et l’argent, Grandeur et décadence de l’État républicain » (Albin Michel, 2006), et « Le Pire des systèmes à l’exception de tous les autres, De l’énarchie, de la noblesse d’État et de la reproduction sociale » (Albin Michel, 2007).
On pourrait peut-être remonter un peu la chaîne des responsabilités et citer à la barre les concepteurs et réalisateurs des calamiteuses « 35heures », qui ont été un désastre sans mélange pour l’économie française en général et pour l’hôpital en particulier – désastre dont il ne s’est jamais relevé.
On pourrait donc aller arrêter Martine Aubry au bistrot du coin pour lui demander des comptes. On tirerait Lionel de son abri côtier de l’Ile de Ré pour l’amener à la barre. Et on exigerait des explications de Dominique Méda, auteur de l’immortel « Le travail : une valeur en voie de disparition » et dont les « travaux » (manifestement effectués en moins de 35 heures) ont tant influencé les susnommés.
Le plus grand paradoxe du régime actuel repose sur la contradiction entre son apparence qui est d’avoir prétendu réunir à l’origine des gens de gauche et des gens de droite, alors que, sans doute, rarement l’idéologie n’a autant investi et dominé la politique française. Le malentendu est venu de sa volonté apparente de mettre en avant la réussite économique, celle des individus, des jeunes qui devraient être plus nombreux à vouloir être milliardaires, celle des entreprises dont on a diminué les charges, celle du pays à qui l’on promettait des réformes.