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La mort de l’écrivain Denis Tillinac nous renvoie à son œuvre singulière, marquée par un ancrage profond dans un enracinement provincial et national mais aussi par un souci universel. Ce libre hussard était traversé par une sourde angoisse.
Donald Trump a fait son choix et l’a annoncé solennellement, ce samedi, depuis la roseraie de la Maison-Blanche : la juge conservatrice Amy Coney Barrett a été désignée pour remplacer Ruth Bader Ginsburg à la Cour suprême des États-Unis.
Il est ainsi fait que la gravité d’une crise est proportionnelle à sa capacité à révéler les maux d’un système aux yeux du plus grand nombre. Alors que les cris du personnel qui le fait vivre au quotidien ne semblaient suffire à alerter sur la lente agonie de l’hôpital public français, la pandémie actuelle inverse les tendances. Il est donc d’intérêt général de s’intéresser aux raisons de ce déclin, que l’on peut résumer sous le terme général de guerre des finances.
Depuis la crise de 2008-2009, la France, comme d’autres pays, s’inquiète de son niveau d’endettement public. Il a effectivement explosé sous la pression de nos déficits, devenus hors de contrôle, passant de l’étiage de 60 % à plus de 90 %, à la fin de l’ère Sarkozy, chiffre que Hollande n’a pas pu faire baisser par la suite. Le brillant technocrate, qu’une majorité a élu en 2017 avec la promesse d’une réduction de ce fardeau, l’a gaillardement porté à environ 100 %.
L’ancienne porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye. Jean-Christophe Marmara/JC MARMARA / LE FIGARO
Dans les mots des gouvernants se cache un mépris implicite pour les gouvernés, analyse Elodie Mielczareck. Selon la sémiologue, le gouvernement ferait mieux d’adopter une posture plus humble lorsqu’il communique avec les français.
L’erreur est humaine, persister dans l’erreur est un crime. Et ça l’est d’autant plus quand l’erreur en question tue des innocents. À chaque attentat, ce sont toujours les mêmes constats qui sont dressés : les terroristes sont connus des services de police, quand ils ne sont pas fichés S ou bénéficient d’aménagements de peine de prison (comme l’assassin du père Hamel) ou des réfugiés de fraîche date venant de pays où règne un islam très rétrograde.
Le Cercle Aristote avait l'honneur de recevoir le 14 septembre 2020 l'essayiste Jean-Paul Gourevitch, spécialiste des migrations et de l'Afrique pour une conférence sur son dernier ouvrage intitulé "La France en Afrique 1520-2020 : vérités et mensonges".
"Samedi, j'ai annoncé ma candidature à l'élection présidentielle de 2022 pour une France libre, forte et juste. Merci pour tous vos messages d'encouragement !
"L'islam a fait des blanches de l'hyper-classe les ennemies des mâles blancs", "On devrait vivre en permanence les yeux écarquillés tant la réalité est stupéfiante", "Nous sommes tous des petits-bourgeois planétaires"... voilà pêle-mêle un aperçu de la pensée de Bruno Lafourcade, romancier, essayiste et chroniqueurs à la revue "Eléments". Dans son ouvrage "Les cosaques et le Saint-Esprit", en référence au dernier mot de Bloy à la fin de son journal, l'auteur dresse le portrait de la France et de sa situation politique, sociale et culturelle en s'attaquant aux "horsolistes", aux "terroristes de proximité" qui saturent les écrans de télévision et inondent les réseaux sociaux.
Après le « pacte républicain » et la « tenue républicaine », voici les « salutations républicaines » J’avoue que ce rajout républicain systématique, me plonge dans une grande perplexité républicaine... Ça frise le ridicule républicain. Allez, bisou républicain...
Il est un terme qu’affectionnent certains médias, plutôt de sensibilité de gauche ou progressiste, c’est celui d’icône. Ce terme qui appartient au vocabulaire religieux s’est trouvé transposé sur le terrain politico-idéologique. Une icône, aujourd’hui, c’est une personnalité incontestable, un modèle, une référence qu’il serait malvenu de contester. Le plus souvent, il est attribué à une figure féministe, qui a joué un rôle dans l’évolution de la condition de la femme.
Où l’on découvre la duplicité de la pseudo-égalité qui n’est qu’égalitarisme.
Où l’on montre que la monarchie est le miroir de la Famille.
Certes, c’est l’affectueux respect et la fidélité à la Famille Royale de France qui justifient en partie mon propos, mais c’est surtout la constatation qu’une monarchie héréditaire est le symbole permanent de la Famille humaine.
La crise sanitaire actuelle ouvre la porte à de nombreuses autres crises, et le cycle infernal dans lequel nos pays semblent entrés sans savoir où se trouve la sortie n’est pas pour rassurer nos concitoyens :