Sur Front Populaire, "Accords & Désaccords" : le débat Onfray- Zemmour.
Retrouvez le grand débat entre michel Onfay et Eric Zemmour en direct du Palais des Congrès.
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Retrouvez le grand débat entre michel Onfay et Eric Zemmour en direct du Palais des Congrès.
Depuis quelques jours et quelques sondages, l’élection présidentielle apparaît plus ouverte qu’annoncée auparavant : durant quatre ans, les médias ont entretenu l’idée que le second tour ne serait rien d’autre que la répétition (à défaut d’être la revanche) de celui de la précédente élection de 2017, condamnant ainsi l’électorat à un choix peu motivant entre Mme Le Pen et M. Macron :
Depuis l’annonce du décès de Bernard Tapie, radios et télévisions rivalisent sur l’évocation d’un personnage hors du commun, cumulant les talents, les performances ainsi que les ambiguïtés.
Invité par Sonia Mabrouk, le 30 septembre, sur Europe 1, Michel Onfray a déploré l’impossibilité de reconnaître, dans certains médias, le mal-être actuel de la société. Il a notamment fustigé le « climat de terreur intellectuelle » qui règne, selon lui, chez France Inter.
OPINION. 2022 approche et les attentes et inquiétudes des Français en termes de sécurité sont immenses. Conseiller en sécurité, notre contributeur présente les mesures à prendre, selon lui, pour redresser la barre. Mais avant tout, petit point dans cette première partie sur les défis à relever.
Budapest, quatrième Sommet pour la démographie, les Premiers ministres slovène, tchèque et serbe, Mike Pence (vice-président de Trump) et bien d’autres (y compris dix-sept femmes) se réunissent autour de Viktor Orbán pour discuter sans langue de bois de sujets que d’autres n’abordent que du bout des lèvres :
La Constitution est bonne fille, et le Conseil d'État bon garçon. Fermement appuyé sur l'idée que nous sommes en guerre, il justifie toutes les mesures extraordinaires inventées par un gouvernement enivré par la liberté qu'il se donne, qu'on mesure à celles qu'il nous ôte.
Nous apprenons la fin prévisible de celui qui fut une espèce de condottière du libéralisme sauvage, il eut été flibustier ou boucanier, s’eut été Barberousse plutôt que Jean Bart, tant il était connu pour être impitoyable. Mais il apparaissait régulièrement dans les médias, à la façon d’un feuilleton, dans des affaires flamboyantes où l’argent coulait à flot et où il avait un sens inné pour se mettre en scène, (car il était aussi cabotin à ses heures) et grâce à lui beaucoup de petites gens se retrouvèrent sans boulot.
Pour aller plus loin :
Pierre Yves Rougeyron échange dans le cadre du Cercle Aristote avec Philippe Guillemant, physicien, spécialiste en intelligence artificielle au CNRS sur l'identité numérique, ses pièges, son rapport avec l'Intelligence artificielle et la 5G.
Nous vous retrouvons pour une nouvelle édition de l'émission galère.com avec Loïc MRT :
https://www.youtube.com/channel/UCrnq...
"Un taliban à visage humain, ça n’existe pas... Si l’on ne réagit pas, l’Afghanistan deviendra ce laboratoire de l’obscurantisme qui n’a pas vu le jour en Irak et en Syrie... Les femmes qui, depuis vingt ans, sans s’en plaindre, au contraire, ont appris à vivre à l’occidentale seront réduites à néant, renvoyées à l’âge de pierre...".
Ces propos sont extraits d’une tribune publiée par Chékéba Hachemi dans Paris-Match juste après la reconquête de Kaboul par le mouvement islamiste, qui avait été chassé d’Afghanistan par les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN en 2001, en réaction aux attentats du 11 septembre (1).