Le « quoi qu’il en coûte » a encore quelques beaux jours devant lui, par Iris Bridier.
Même si le “quoi qu’il en coûte” aura permis aux entreprises de traverser la crise, « un entrepreneur est fait pour vivre de ses clients, pas des aides » rappelait à juste titre François Asselin, directeur de la CPME à l’AFP, ajoutant « mais s’il y a des décisions prises que vous ne maîtrisez pas et qui impactent directement l’activité de votre entreprise, il est tout à fait normal que vous soyez soutenu ».