Les Français ont peur du péril jeune : mais de quels jeunes parle-t-on ?, par Marie d'Armagnac.

Paru il y a quelques jours, un article du Figaro rapporte les données du dernier Baromètre sécurité Fiducal-Odoxa : 84 % des sondés ont peur que « les problèmes touchant les nouvelles générations se traduisent par une hausse de la délinquance et de la sécurité ». Problèmes d’emplois, plus grande fragilité psychologique, peu de relations sociales seraient parmi les causes de l’augmentation de la violence juvénile. Mais sont-elles toutes dues au confinement ?