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lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Art et Essai : L’Odeur du vent, un film iranien de Hadi Mohaghegh, avec lui-même dans le rôle de l’électricien.
Si les films d’action se caractérisent par un rythme trépidant, je parlerais en l’occurrence d’un film d’inaction.
L’Odeur du vent… un titre énigmatique pour une heure et demie de contemplation, mais je ne suis pas un contemplatif ; un long-métrage sur le dévouement mais je n’ai ni l’empathie ni la charité pour y éprouver une quelconque émotion. L’acteur principal est la lenteur, le second, les ennuis, les obstacles, qui arrivent en rafale jusqu’à me faire rire – à tout le moins sourire, mais ce n’est pas une comédie. Sans doute faut-il citer un troisième personnage, à savoir le paysage iranien, qui ressemble parfois à un décor.
Si vous enfreignez encore davantage les Standards de la communauté, vous pourriez perdre Lafautearousseau Royaliste définitivement, ce que personne ne souhaite. Pour éviter cela, faites appel des infractions que vous contestez, mais surtout, veuillez à partager du contenu qui respecte les règles.
Mais, aucune indication concernant la durée de la sanction, ni son "pourquoi"...
Il nous est donc toujours impossible de "partager" sur nos groupes amis, et sans savoir combien de temps cette situation ubuesque va durer...
Tout a commencé le 23 Juin, avec la publication suivante :
Les Français, le Pays réel, ont voté jusqu'à la fin, avec leur argent et en respect et soutien à Florian, le policier de Nanterre : jusqu'à la fermeture de la cagnotte ouverte en aide à sa femme et à son fils.
Ce mardi à minuit, cette cagnotte lancée sur la plateforme en ligne Gofundme totalisait environ 68.000 dons, pour une valeur totale de 1,3 million d'euros.
"Soutien pour la famille du policier de Nanterre, Florian M. qui a fait son travail et qui paie aujourd'hui le prix fort", dit le texte accompagnant la cagnotte, créée par l'ancien porte-parole de la campagne d'Éric Zemmour, Jean Messiha.
P.S. : La cagnotte pour la mère de famille qui s'est donnée en spectacle indécent, reste loin derrière, à dix fois moins...
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Mais, aucune indication concernant la durée de la sanction, ni son "pourquoi"...
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Tout a commencé le 23 Juin, avec la publication suivante :
Un pompier de 24 ans meurt à Saint-Denis, en combattant le feu allumé par les pillards, importés chez nous par le Système, et pratiquant, CHEZ NOUS, l'antique razzia, "d'chez eux"...
Lors d’un entretien fait pour le Figaro en mars 1888, voici ce qu’Émile Zola disait de la république en France :
« Je n’en veux pas chercher d’autre preuve que dans le spectacle d’erreurs, de bêtises et d’impuissances que nous ont offert ces dix-huit dernières années et qui est bien fait pour désespérer un observateur, même indifférent et patient, bien fait surtout pour désespérer la foule. » (Émile Zola – Figaro le 29 mars 1888)
Il s’agissait à cette époque de la toute jeune Troisième république. Celle qui est née de défaite de 1870 pour finir dans la poche de Dunkerque en 1940 ! Qu’en est-il à ce jour de ce spectacle d’erreurs, de bêtises et d’impuissances ? Force est de constater que 135 ans après les propos d’Emile Zola, la république, qui arbore sa cinquième version, nous offre toujours ce même spectacle en bien pire…
Depuis quelques jours, la France revit le chaos qu’elle a connu en 2005, après le soulèvement des banlieues suite à la mort de deux adolescents, Zyed et Bouna, électrocutés dans l’enceinte d’un poste électrique, alors qu’ils cherchaient à échapper à un contrôle de police. Les banlieues s’embrasèrent un peu partout en France du 8 au 17 novembre 2005. Ce fut l’une des plus belles démonstrations de l’échec d’intégration des populations immigrées, mais également la conséquence du laxisme de la pseudo justice républicaine.
Qu’ont retenu les élites républicaines depuis ? Tout simplement RIEN ! Dix-huit ans plus tard, avec la mort du jeune Nahel, la république replonge la France dans le même chaos qu’en 2005, parce que l’oligarchie républicaine incarne toujours à ce jour, ce même spectacle d’erreurs, de bêtises et d’impuissances !
Imprégné de toutes ces idéologies néfastes, comme ce pseudo antiracisme qui empêche aux hommes politiques d’appeler un chat, un chat ! Toutes ces années à pratiquer un stockage de population immigrée (si possible africaine) dans des tours de cités, et les laisser pour compte, en y laissant s’y développer une délinquance qui est la seule à s’y être enracinée. Toutes ces années à interdire aux policiers d’intervenir dans ces cités, devenues des zones de non-droits pour la plupart. Toutes ces années à pratiquer un laxisme sans faille à l’égard des délinquants qui, au fil du temps, ont très vite compris qu’ils n’avaient plus rien à craindre, ni de la Police, encore moins de la « justice ».
Toutes ces années à financer des rappeurs qui chantent leur haine de la France. Toutes ces années à s’abstenir d’assimiler ces populations immigrées et leur enseigner l’amour de la France… Mais qu’attendre à ce niveau de la part d’une élite qui, elle-même, déteste la France et n’a de cesse de vouloir la détruire ?
Ce qui se passe à l’heure actuelle en France a été voulu. C’est le fameux Ordo ab Chao si cher aux mondialistes. Il ne faut rien attendre de la république en France. Les émeutes des banlieues n’ont rien à voir avec un phénomène qui se joue au détriment de la république. Ces émeutes, sont le résultat de ce que sont la république et ses élites. La haine anti-française qui s’exprime dans la violence des casseurs n’est que l’expression concrète de celle qui s’exprime dans la pensée de l’oligarchie, qui n’a que le mot « république » à la bouche, à défaut de la France.
Ils nous parlent d’« ordre républicain », hissant cet oxymore comme le fer de lance de la reconquête républicaine, d’une paix future, qui ne sera qu’une énième accalmie pour préparer le terrain à des futures émeutes, qui seront de plus en plus virulentes au fil des années.
Non ! Pour que cesse définitivement ce spectacle d’erreurs, de bêtises et d’impuissances qui se joue sur tous les niveaux de la politique, il faut mettre un terme définitif à la Vè république. De toutes les républiques que la France dut subir depuis l’avènement de ce régime en 1792, la Cinquième est de loin, la plus destructrice de notre civilisation multiséculaire. Destruction de notre agriculture, de notre système d’éducation, de notre indépendance, de notre identité, de la famille et du mariage, de notre architecture, du monde du travail, de notre histoire et même de notre futur !
Nous devons mettre un terme à cette Vè république destructrice de notre civilisation. Hors de question d’envisager une VIè ou VIIè ou VIIIè république, car tant que le système de valeurs sur lequel repose ce régime ne changera pas, le résultat sera toujours le même : la destruction de la France et des Français !
Nous avons conscience que l’avenir n’est pas serein avec un tel régime destructeur. Nous ne pouvons que souhaiter vivement son abolition, et tout faire dans la mesure de notre possible pour doter la France de son seul régime viable et salvateur. Agissons plus que jamais, pour Dieu, la France et le Roi !
Art et Essai : Le Grand chemin, un film français de 1987 (reprise en août prochain), de Jean-Loup Hubert, avec son fils Antoine Hubert (Louis). Anémone (Marcelle) et Richard Bohringer (Pelo).
Décidément je dois être un bien horrible personnage pour ne pas partager l’émotion de mon épouse, de la salle et des critiques, devant ces souvenirs d’enfance du réalisateur. « Tout ce qui est conté, nous dit-il, est vrai (…) à l’exception des scènes en haut de l’église». L’action se passe en 1960 dans la France de notre enfance qui fait couler des larmes nostalgiques aux yeux des spectateurs, mais ce long-métrage m’a paru superficiel et sans intensité.
Cette réalisation date de 1987, et l’on ne peut donc pas évoquer un effet de mode, mais déjà j’avais été déçu par L’Île rouge dans lequel (sur laquelle) le réalisateur, Robin Campillo, raconte sa prime jeunesse, en 1972, à Madagascar. Plus curieux, ce scénario d’un enfant confié à un couple « qu’un lourd secret sépare », en pleine campagne, se retrouve pratiquement à l’identique dans la production irlandaise d’avril dernier, The quiet girl, adaptée d’une nouvelle de 2011, Les trois lumières (Claire Keegan).
Finalement, à force de sortir de 10 à 20 films par semaine, qui disparaissent de l’affiche aussi vite qu’ils y apparaissent, l’imagination ou l’innovation n’arrivent sans doute pas à suivre et le « copié-collé » semble avoir de beaux jours devant lui.
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Tout a commencé le 23 Juin, avec la publication suivante :
En nommant le mal (le cancer, le sida) qui ronge la France : le Système !
Et en constatant aujourd'hui que ce cancer, ce sida qui ronge la France et la tue à petit feu ronge aussi, et tue aussi le Système lui-même, qui s'auto-détruit ainsi, par le mal qu'il porte en lui depuis ses origines, et qui lui est consubstantiel : le terrorisme révolutionnaire, sa violence, ses émeutes pour toute boussole...
Si vous enfreignez encore davantage les Standards de la communauté, vous pourriez perdre Lafautearousseau Royaliste définitivement, ce que personne ne souhaite. Pour éviter cela, faites appel des infractions que vous contestez, mais surtout, veuillez à partager du contenu qui respecte les règles.
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Il nous est donc toujours impossible de "partager" sur nos groupes amis, et sans savoir combien de temps cette situation ubuesque va durer...
Tout a commencé le 23 Juin, avec la publication suivante :
D'accord avec Éric Zemmour, sauf sur le terme de "guerre civile" : nous l'avons dit cent fois, il s'agit, il s'agira, d'une guerre de libération nationale; une guerre de libération du pays de cette partie de population "étrangère" dont on constate que "la greffe ne prend pas", car cette partie de population est et reste "étrangère" à tous les sens du terme :
• étrangère d'abord à notre Peuple historique, évidemment, et par définition, puisque venue... de l'étranger,
• mais aussi et surtout étrangère à nos moeurs, coutumes et traditions;
• étrangère à nos codes et nos lois;
• étrangère à notre manière d'être et de vivre;
• étrangère à notre façon de considérer le monde, les choses et les gens;
• étrangère à nos héritages gréco-romains et judéo-chrétiens;
• étrangère à tout ce qui est, qui fait la France.
C'est cela qu'il faut dire et répéter sans cesse : la greffe de population imposée par le Système depuis les scélérats "décrets Chirac" de 75/76 ne prend pas, on le voit bien, pour une large part de cette population (alors qu'une autre part ne pose aucun problème et fait maintenant partie du pays : après s'être intégrée, elle s'est assimilée...).
Et lorsqu'une greffe ne prend pas, sur un corps, le-dit corps la rejette, tout simplement; l'expulse...
Après qu’un délinquant franco-algérien de 17 ans a été abattu par un policier à Nanterre, une série d’émeutes touche depuis plusieurs nuits de nombreuses villes françaises. Alimentée par des personnalités politiques et médiatiques plus soucieuses de leur image auprès de ces populations que d’apaiser une situation intolérable, la crise n’est pas sans rappeler celle de 2005, mais son intensité semble la dépasser et fait craindre un embrasement plus intense encore.
La mort tragique du jeune Nahel est déjà hors de propos dans cette crise. Pour les émeutiers, il s’agit d’un prétexte comme hélas il y en aura d’autres, eu égard à la multiplication des refus d’obtempérer et des provocations et violences envers les forces de police, sans doute mal préparées et mal équipées, mais assurément mal dirigées ; leurs états-majors ont en effet eu beaucoup moins de scrupules pour réprimer les gilets jaunes ou pour interdire un cortège en l’honneur de Jeanne d’Arc.
C’est que, forte avec les faibles et faible avec les forts, ou plutôt complaisamment laxiste avec les populations immigrées ou issues de l’immigration, la République n’a rien à opposer à ces personnes qui haïssent la France d’autant plus qu’elle les y encourage, à force d’auto-flagellation ou de promotion d’un progressisme déracinant.
Nous ne sommes en effet pas certains de voir MM. Mélenchon, Plenel ou Mmes Rousseau, Autain et Diallo aller au-devant des émeutiers pour les ramener à la raison à grand coups de catéchisme woke, LGBT ou multiculturaliste. Nous ne sommes pas davantage certains de voir MM. Darmanin, Ndiaye ou Mmes Borne et Abdul-Malak aller pacifier nos banlieues en récitant la litanie des valeurs républicaines.
Où sont-elles passées, ces valeurs républicaines sensées garantir le pacte social ? Où est-elle, cette République une et indivisible, laïque, démocratique et sociale sensée mettre fin aux injustices et aux séparatismes en tous genres ?
L’Action française, pour l’avoir prévenu depuis trop longtemps, constate amèrement la faillite du régime, trop désincarné pour donner une réponse sérieuse à l’« incommunauté ». Elle adresse un message de soutien aux Français directement confrontés à cette violence injustifiable, et enjoint tous nos concitoyens à ne pas se résoudre à ce que la République entraîne notre pays dans sa faillite.