34ème jour de "Censure facebook" pour notre Page "Lafautearousseau Royaliste" !...

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Quand le Festival d'Avignon tourne à l'immonde...
"Nul n'est au-dessus des lois", a dit le semble-Président, dans le soi-disant entretien avec les journalistes qu'il nous a imposé, depuis Nouméa, et qui ne fut qu'un ennuyeux et mortel enfilage de lieux communs, un enfoncement de portes ouvertes comme on en avait entendu beaucoup, déjà, mais rarement à ce point, tout de même...
"Nul n'est au-dessus des lois" ? Vraiment ?
Et les Juges ?
Pour ne prendre que deux exemples, particulièrement significatifs :
• celui qui a libéré, il y a quelques mois, un Afghan violeur, dans le Cotentin, parce qu'il "n'avait pas les codes" !!!!!...
• et celui qui, hier, a Caen, a laissé en liberté sous contrôle judiciaire, l'agresseur d'un enfant de 12 ans : violemment frappé à coups de marteau, l'enfant a une fracture du crâne !
Qui a jugé ces deux "Juges" (?) foldingues pour ces deux "jugements" (?) fous, et de fous ?
Si "nul n'est au-dessus des lois", alors il faut de toute urgence juger une bonne part de la caste des Juges : ceux qui ont oublié qu'ils étaient Juges et se comportent en militants idéologues, extrêmistes de gauche et d'extrême-gauche...
LE JUGEMENT DES JUGES, VITE !
A l’affiche : L’Ours, un film français de 1988, repris en octobre 2022, réalisé par Jean-Jacques Annaud,
adapté du roman Le Grizzly (1916) de James-Oliver Curwood.
Commençons par rappeler, du même réalisateur, l’excellent docufiction Notre-Dame brûle sorti en mars de l’année dernière.
L’Ours… On sait depuis La Fontaine « qu’il ne faut jamais
Vendre la peau de l’ours qu’on ne l’ait mis par terre ».
Cuwwood en aurait fait personnellement l’expérience qu’il raconte dans son livre, et que le film nous montre magnifiquement, quand, à la chasse, il s’est trouvé seul, désarmé, devant un ours debout, vindicatif, qui, après lui avoir exposé sa supériorité, lui a tourné ostensiblement le dos.
Mon épouse voulait absolument revoir ce film… pour la 3ème fois, et c’est vrai que les scènes se succèdent toutes plus touchantes et émouvantes les unes que les autres, pour les adultes comme pour les enfants, sous la réserve que ceux-ci ne soient pas trop impressionnables (la mère morte, les animaux tués et déchiquetés, les grognements et les mâchoires de l’ours, etc.).
Il se conclut par une citation du roman : « Il est un plaisir plus grand que celui de tuer, c’est celui de laisser vivre ».
D’aucuns en tirent un argument contre la chasse… je ne le pense pas, qui constate que celle-ci fut, avec la cueillette, le premier moyen de nourrir l’Homme, et qu’elle est à la fois une tradition, respectable comme telle, et un élément d’équilibre de la nature.
Il ne s’agit pas moins d’une morale à méditer à notre époque qui bafoue le respect de la vie.
"Les Juges", vus par William Thay, avec qui nous sommes parfaitement d'accord :
"...On doit s'attaquer aux juges politisés qui ont oublié qu'ils ne rendent pas de jugement pour leur idéologie mais au nom du peuple Français Les juges sont tellement politisés que avant leur entrée à l'ENM, souvent ils hésitent avec une carrière de journaliste à Mediapart..."
(extrait vidéo 1'55)
https://twitter.com/ThayWilliam/status/1683054201696313345?s=20
Toujours se rappeler cette phrase de Mitterand (qui s'y connaissait, en "retors") :
"Méfiez-vous des Juges ! Ils ont détruit la Royauté; ils détruiront la République !..."
Un exemple, entre mille, de la malfaisance de cette caste de "juges pourris", qui "estime" (!) qu'un homme qui fracasse le crâne d'un enfant à coup de marteau peut sans problème être remis en liberté peu après; mais qu'un policier qui neutralise un récidiviste du refus d'obtempérer doit être incarcéré, avec interdiction de voir sa famille...
• Ce dimanche 23 Juillet, il a décroché son troisième titre de champion du monde, le deuxième sur le 400 m quatre nages, en pulvérisant le record du monde de Michael Phelps (qui datait de... quinze ans !) !...
Alors que les racailles en tous genres circulent librement dans nos rues (devenues poubelles du monde et dépotoir géant...), tuent et razzient avec une facilité déconcertante, l'un des quatre policiers de la BAC de Marseille dort en prison (les trois autres ont été libérés, heureusement !). Tous les quatre ont été chaleureusement applaudis par leurs camarades, venus les soutenir à leur sortie du Tribunal.
Florian aussi dort en prison, lui qui a très probablement sauvé des vies...
Le semble-gouvernement, mais à travers lui le Système, se range donc résolument contre "la" Police, "sa" Police : la révolte gronde, la contagion des protestations se multiplie, cela sent mauvais...
• D'accord avec Matthieu Valet (bien qu'il parle sans cesse de "la République", chérissant ainsi la cause, dont il maudit le mal) :
"La colère gronde depuis l’incarcération d’un #policier de la BAC de #Marseille. Pour les #policiers, la présomption d’innocence n’existe pas, ils n’ont droit qu’à la présomption de culpabilité. La détention provisoire n’est pas l’exception, mais bien la règle. Ils ont sauvé la #République durant les #émeutes. Ils ont les mêmes droits que tout justiciable, pas plus mais pas moins non plus !"
• et d'accord aussi avec Bruno Attal :
A l’affiche : Oppenheimer, un film américain de Christopher Nolan, avec Cillian Murphy dans le rôle-titre, Emily Blunt (Kitty, son épouse), Robert Downey. Jr (Lewis Strauss), Tom Conti (Albert Einstein) et Gary Oldman (le Président Harry S. Truman),
adapté du livre American Prometheus : The Triumph and Tragedy of J. Robert Oppenheimer (2005) de Kai Bird et Martin J. Sherwin.
L’ouvrage de référence n’est, à ma connaissance, pas traduit en français, dont la lecture, pourtant, faciliterait sans doute la compréhension de ce biopic.
Après Memento on est encore déçu par ce trop long métrage (3h). Il me semble que Christopher Nolan connaît tellement son sujet qu’il est incapable de se mettre à la portée du spectateur moyen que mon épouse et moi-même croyions être, mais peut-être sommes-nous au-dessous de la moyenne.
Il y avait pourtant matière à un film passionnant sur l’enthousiasme et les doutes, la réussite et la mise en cause, Triumph and Tragedy, du « Père de la bombe atomique ».
Triumph, c’est le pilotage du projet Manhattan et la construction de la ville nouvelle de Los Alamos, en plein désert du Nouveau-Mexique, pour la réalisation de la 1ère bombe atomique – le « gadget » - jusqu’au succès de l’essai Trinity du 16 juillet 1945 ;
Tragedy, ce sont d’abord Hiroshima et Nagasaki, des 6 et 9 août 1945, qui lui font ressasser le poème hindou – « Maintenant, je suis devenu la Mort, le destructeur des mondes », avant de regretter devant le Président Truman qui le traitera de « pleurnichard » : « J’ai l’impression d’avoir du sang sur les mains » ;
C’est aussi le faux procès qui lui est intenté pour espionnage et trahison en raison de ses affinités communistes.
Malheureusement le réalisateur nous bombarde de dialogues entre une multitude d’intervenants, avec des va-et-vient incessants dans l’espace et dans le temps, qui atomisent les scènes et nuisent à la bonne relation des événements.
Dommage !