Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
Il y a les paroles, et puis il y a les actes, après... Ou, plutôt, en l'occurrence, "il n'y a pas"...
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Il y a les paroles, et puis il y a les actes, après... Ou, plutôt, en l'occurrence, "il n'y a pas"...
On a longtemps voulu croire, y compris dans les milieux académiques, que l’islam serait apparu par la seule prédication de son prophète, à l’instar du récit traditionnel musulman.
On expliquait alors sa similarité avec nombre d’hérésies et mouvements religieux du VIIe siècle comme résultant de leur influence sur Mahomet, qui aurait en quelque sorte composé sa religion comme un cocktail savant à partir d’elles.
C’est dans cette pensée que s’inscrivait encore l’académicien Roger Arnaldez (1911-2006) : « Persuadé de la vérité du monothéisme, le Prophète [Mahomet] se trouvait plongé dans un milieu d’une complexité extraordinaire. Il est peut-être vain de chercher à déterminer quelles sectes il a connu, comme s’il avait été à l’école de l’une d’elles. En réalité, il a dû entendre, et sans doute écouter, un ensemble hétéroclite de doctrines qui lui parvenaient pêle-mêle, au hasard des rencontres » (À la croisée des trois monothéismes, Albin Michel, 1993, p. 55).
Art et Essai : L’Envol : un film italien de Pietro Marcello, avec Raphaël Thiéry (Raphaël, le père), Juliette Jouan (Juliette, sa fille), Noémie Lvovsky (Adeline), Louis Garrel (Jean) et Yolande Moreau (la fée),
librement adapté du roman russe Les Voiles écarlates d’Alexandre Grine
L’Envol… La bande-annonce était tentante, avec de très belles photos, mais l’heure quarante de ce long-métrage nous a paru longue avec un scénario confus que ni mon épouse ni moi-même n’avons réussi à comprendre. Entrant dans la salle, j’ai entendu une spectatrice dire que le nom seul du réalisateur la faisait venir « les yeux fermés »… Les a-t-elle ouverts ? C’est vrai que les critiques étaient positives du précédent Martin Eden (2019), que mon épouse avait bien aimé, même si, personnellement, « j’aurais pu ne pas le voir »…
Peut-être cet Envol est-il trop intellectuel pour moi, qui fait lire et chanter par l’héroïne l’Hirondelle de Louise Michel, dont, attendant la fin, je faisais mien la supplique :
« Écoute, je voudrais m’en aller avec toi ».
De l'Ambassade d'Arménie :
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Plus que huit jours pour vous inscrire à notre soirée du 30 janvier prochain avec Gabrielle Cluzel et Elisabeth Lévy qui incarnent si bien l'impertinence à la française ! Réforme des retraites, droit de grève, euthanasie, crise énergétique : nos invitées vous apporteront les clés de compréhension nécessaires de cette actualité française bien chargée.
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Portrait d'Armand Tuffin de La Rouërie, huile sur toile de Charles Willson Peale, 1783, Philadelphia History Museum at the Atwater Kent
Ce Lundi 30 Janvier 2023 à 11h00, rendez-vous devant la Mairie de Saint-Denoual ou au Manoir de La Guyomarais.
« Les bretons n’oublient pas »
Comme tous les ans des Bretons prendront le chemin de La Guyomarais, commune de Saint-Denoual entre Lamballe et Plancoët, où le 30 janvier 1793 le Marquis de La Rouërie s’est éteint, terrassé par la maladie et la nouvelle de la mort de son Roi.
Notre assemblée se rassemblera devant la stèle érigée par le Gouvernement des USA en l’honneur du Marquis de La Rouërie, héros de la guerre d’indépendance américaine sous le nom de « Colonel ARMAND » et fondateur de l’Association Bretonne, au pied des drapeaux américain et blanc fleurdelisé aux armes de France.
Après lecture du beau texte gravé sur la stèle, un hommage sera prononcé en mémoire du Marquis. Il portera cette année sur l’engagement du Marquis dans la défense des libertés bretonnes. Nous évoquerons la permanence de ce combat en faveur des libertés, cultures et langues régionales qui fut mené jusqu’à ce jour par les penseurs, écrivains, poètes et musiciens en opposition à l’universalisme de la Révolution et non moins attachés à la France. Jusqu’à 1789, le Roi de France ne parlait il pas de « ses peuples »…
Mais cette année, à l’initiative de Madame Jocelyne LE GOFFIC, notre hommage prendra une forme musicale. A la bombarde, notre amie sera accompagnée de trois sonneurs de bombardes et cornemuse du Bagad de La Richardais.
« Bretons ! vous devez recouvrer vos anciennes franchises et vos anciens droits, rempart de votre liberté ».
Puis, suivant un sentier étroit et boisé aboutissant à la clairière, nous nous déploierons autour de la sépulture du Marquis, simple amas de pierres orné d’une plaque gravé à son nom et de la devise « La mort qui l’emporta fut sa fidélité » et surmonté d’une croix fleurie de lys. Le Marquis avait étudié l’art des fleurs, nous déposerons les nôtres ».
« Les bretons se souviennent »
Enfin un film sur les Guerres de Vendée, pourrions-nous dire. Un film français qui met en exergue des héros de notre histoire, ce n’est pas vraiment ce qui court les salles obscures du monde cinématographique « français » républicain. On se souvient du film de Luc Besson traitant d’une grande héroïne de notre histoire, et pas des moindres, puisqu’il s’agissait de notre très Sainte Jeanne d’Arc. Ce film, qui date déjà de 1999, est un véritable navet grotesque qui s’acharne à faire ce que les Anglais n’avaient su faire à cette époque, à savoir, rendre folle notre Sainte héroïne. Héroïne incarnée par l’hystérique Milla Jovovitch. Bref ! Une vraie bouse insultant notre histoire et notre religion, mais qu’attendre de plus de la part d’un anti-français comme Besson ?
Avec « Vaincre ou mourir » c’est doublement surprenant. Car, non seulement il s’agit d’un film retraçant d’une manière assez fidèle, les péripéties d’un de nos grands héros de notre histoire, mais qui plus est, un héros en lutte contre les forces révolutionnaires, et donc par extension, contre la république ! Double crime au regard du monde moderne républicain, américanisé et wokiste !
Sortie le 25 janvier, ce film a déjà fait l’objet de quelques critiques dans les colonnes (infernales) du « journal » Libération. C’est une certaine Elisabeth Franck-Dumas, journaliste de ce torchon, qui nous a fait part de son incroyable maîtrise de la bêtise et de l’ignorance. Les républicains de Libération sont exaspérés par l’existence même de ce film, qui représente à leurs yeux tout ce qu’ils détestent le plus au monde : la France ! En tant que royaliste, il était donc tout naturel pour ma part que j’aille voir ce film qui suscite autant de dégoût chez l’anti-France, mais surtout parce qu’il s’agit du général Charette.
« Vaincre ou mourir » est la première production de « Puy du Fou Films » avec pour réalisateurs Paul Mignot et Vincent Mottez (Vinsorus) pour ceux qui ont connu… On comprend déjà mieux l’origine de l’existence même de ce film. Le parc du Puy du Fou qui est déjà à lui seul une véritable vitrine à la gloire de notre histoire mais aussi, en partie, de la contre-révolution ! Après le parc, voici qu’arrive maintenant un film ! De quoi donner la jaunisse à nos chers républicains…
Au premier abord, la présence de quelques acteurs m’avait un peu gêné, entre autres, l’acteur Jean-Hugues Anglade qui n’est pas vraiment réputé pour son côté patriote ! C’est peut-être pour cela d’ailleurs qu’ils l’ont cantonné à jouer le rôle du conventionnel Albert Ruelle (1754-1805) chargé de diriger la lutte contre les Vendéens.
Néanmoins, je paie mon billet comme tout le monde et m’installe sur un strapontin du cinéma. Le film commence par une intervention de l’historien Reynald Secher. Oui ! Celui qui, de par ses travaux, a mis en évidence le fait que ce qui s’était passé en Vendée durant la révolution, relevait du génocide ! Ça commence bien ! Je comprends mieux pourquoi cette chère Elisabeth Franck-Dumas s’est sentie dans l’obligation de nous pondre une incroyable analyse digne d’une télé-réalité.
Sans vouloir divulguer le contenu du film, par respect pour ceux qui ne l’ont pas encore vu, voici quelles sont mes impressions. Certes, c’est un film qui dispose malheureusement de beaucoup moins de moyens que le « Jeanne d’Arc » de Besson. Cela se ressent quelque peu, mais dans l’ensemble, c’est une jouissance ! Voir un film au cinéma, avec des drapeaux « Pour Dieu et le Roi », entendre Charette dire à ses hommes, tous flanqués d’un sacré-coeur : « Nous sommes le dernier rempart d’un royaume de mille ans » chose qui caractérise toujours les Royalistes d’aujourd’hui. Voir enfin, le vrai visage des armées républicaines de cette époque, leur férocité dans le carnage et leur fanatisme ! Ça change des récits imaginaires de l’Éducation dite « Nationale » sur ce sujet.
Dans ce film, les répliques du général Charette sont assez percutantes, même si l’acteur a tendance à s’exprimer sur un ton uniforme. Dommage quand même de lui avoir fait dire que nous étions la jeunesse du « monde » ! Dans la citation d’origine, il dit à ses hommes que nous sommes la jeunesse de Dieu, et pas celle du monde, ce qui religieusement fait toute la différence ! Jean-Hugues Anglade tient la route dans son rôle, les autres acteurs aussi. Les scènes de combat sont assez bien réalisées dans l’ensemble.
Bref ! C’est un film qu’il faut impérativement aller voir, ne serait-ce pour s’abreuver du courage et du sacrifice consenti de la part de tous ces combattants contre-révolutionnaires. Cela fait du bien de voir un film qui fait la part belle au panache français et au sens de l’honneur, dans un monde qui est l’aboutissement des idéaux révolutionnaires. Un grand merci à toute l’équipe du Puy du Fou pour tout ce travail. Espérons que « Vaincre ou mourir » n’est que le premier d’une longue série à la gloire de notre histoire et de nos glorieux ancêtres.
Plus que jamais, aujourd’hui comme en 1793, pour Dieu, la France et le Roi !
P-P Blancher
On commémore en ce moment la libération du Camp d'Auschwitz.
• Bizarrement, on ne voit pas condamner Clemenceau et le Pays légal du Système, qui nous ont "donné" Hitler lorsqu'ils refusèrent, en 1918, de démembrer l'Empire allemand, qui n'avait même pas cinquante ans d'âge, et signèrent le calamiteux Traité de Versailles, dont l'une des multiples conséquences cataclysmiques fut... la Shoah et les Camps...
• une "persécution d'Israël" que nous pouvons être fiers, nous royalistes d'Action française, d'avoir été les premiers à dénoncer, par la plume de notre Maître Jacques Bainville, dès 1930 : huit ans plus tard, le même Pays légal, représenté par le pâle/falot inconscient/insensé Édouard Daladier serrait la main de "monsieur Hitler", à Munich !
Moyennant quoi Maurras fut condamné, en 1945, pour "intelligence avec l'ennemi" par ce même Système qui nous avait "donné" Hitler, alors que la politique que préconisait l'Action française aurait évité la Seconde guerre mondiale, le nazisme etc... etc... !
Voilà comment la République idéologique "écrit" (pardon : ré-écrit l'Histoire) : en la falsifiant !...
Justice et Vérité pour nos Maîtres !
A l’affiche : Youssef Salem a du succès : un film français de Baya Kasmi, avec Ramzy Bedia (Youssef) et Noémie Lvovsky (Lise, éditrice).
Youssef Salem a du succès… comment peut-on encore nier le Grand Remplacement lorsque celui-ci s’affiche, se filme et se distribue dans toutes les salles de cinéma ?
Après le très bon Les Miens de Roschdy Zem, c’est le tour de Youssef, dont on peut penser qu’il n’aura aucun succès tellement ce long-métrage est médiocre.
C’est à nouveau l’histoire, comme dans l’excellent Citoyen d’honneur, d’un auteur d’origine algérienne, bien intégré dans la société française, qui raconte sa famille avec ses mœurs et sa mentalité. Mais tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse, et Baya Kasmi n’a pas la verve de ses prédécesseurs. Dommage, les premières images de ce jeune couple sur une plage algérienne donnait à espérer une belle histoire…
Le film aurait dû s’arrêter là.
La scène de l’éditrice au soir du Goncourt est d’une nullité crasse, et je m’interroge sur la raison d’être de la case « lesbienne » : formalité obligatoire pour le financement du film, « modernité » du réalisateur ou illustration d’une civilisation française et européenne décadente ?
Sur notre Page facebook Lafautearousseau Royaliste :
"Une excellente réponse de notre Camarade Frederic de Natal ! : Réponse au député Antoine Léaument (LFI) : en finir avec la vulgate révolutionnaire..."
Juste une précision, afin qu'aucune ambigüité n'existe : nous ignorons pourquoi, au milieu de ce très bon texte, l'Incorrect met un "lire aussi : Louis de Bourbon...", qui vient là comme un cheveu sur la soupe, et dont on ne comprend pas bien la présence, ni l'intérêt, ni le rapport avec le texte de Frédéric de Natal. C'est donc l'occasion de rappeler - afin que nul ne vienne chercher une mauvaise querelle... - que l'Action française reconnaît en la personne du Prince Jean, Comte de Paris, et de son fils, le Prince Gaston, Dauphin de France, les représentrants actuels de la Famille de France.
Et, naturellement, lafautearousseau...
Par contre, le second "lire aussi", "Les roycos sont dans la rue" est très bon, et confirme ce que nous venons d'écrire...
Site officiel : Solidarité Kosovo
lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :
Ce n'est pas parce que c'est la CGT qui le dit - ici... - que nous allons dire le contraire !...
Nous irons simplement plus loin, beaucoup plus loin qu'elle : nous, nous serons vraiment révolutionnaires, révolutionnaires de cette révolution sur laquelle est fondée notre actuel Système, et dont le rôle historique central a été, finalement, de mettre l'Argent au pouvoir, de lui ouvrir toutes grandes les portes du pouvoir, de le sacrer Argent-Roi... ce qui a eu comme conséquence de créer le cataclysmique état de chose actuel dans notre pays, qui ne cesse d'être déclassé, de reculer, de s'appauvir, de se tiermondiser...
Nous ne nous contentons pas de dénoncer - même si ce qu'il dit est juste, comme le fait ce manifestant - : en prônant l'alter-révolution - terme que nous préférons à "contre-révolution" - nous remettons en cause pour remettre en ordre; nous voulons abattre le Système qui a fait "ça" à sa racine, nous voulons rendre à la France un Régime qui soit français, c'est-à-dire libre "absolument" de tout : Argent, Partis, Étranger, Groupes de pression, Intérêts privés de caste ou de classe...
Ce Régime, nous le connaissons bien, puisque c'est celui qui a fait la France, et qui en a fait la première puissance du monde sous Louis XVI, lorsqu'elle éclata la funeste et sanguinaire révolution, terroriste et totalitaire, dont est issu notre Système actuel...