Le numéro 1241 (10 octobre 2022) de Royaliste...
Au sommaire de ce numéro :
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Au sommaire de ce numéro :
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : 1915 : Le vice-amiral Louis Dartige du Fournet a sauvé 4.085 Arméniens du génocide...
(tiré de notre Éphéméride du 13 septembre)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
Á la découverte du "Fonds lafautearousseau")
Lire sur le site de l'Action française
Paris, le 11 octobre 2022
Il semble que les militants politiques, et particulièrement les communistes après la Révolution de 1917, ont inauguré la fâcheuse habitude de donner les noms de « héros » étrangers aux rues des communes qu’ils avaient conquises aux élections municipales. Nous avons tous emprunté dans les banlieue rouges l’avenue Lénine, Trotski ou Karl Marx. À leurs yeux, sans doute, ces personnages étaient des bienfaiteurs de l’humanité, et dignes à ce titre de figurer à côté des Bayard, Du Guesclin, Lyautey, Jaurès ou De Gaulle. La droite revenue dans certaines de ces villes s’empressa de débaptiser la plupart de ces artères pour leur donner des noms s’inscrivant davantage dans le patrimoine historique de notre patrie.
À l’heure où la France est plongée dans une crise d’identité, où sa souveraineté dans le concert des nations est de plus en plus contestée, le temps est peut-être venu de valoriser ceux qui ont contribué à sa longue construction, donnant à ce pays son caractère unique. Les Français ont besoin de se rappeler qui ils sont, d’où ils viennent et qui sont ceux qui les ont précédés sur cette portion de terre si belle et si unique.
Ainsi, une rue de Stains, en Île-de-France, a été rebaptisée au nom d’une des femmes de Mahomet. Comment comprendre ce message quand on est Français, de souche ou d’adoption, catholique ou non, musulman bien intégré ? Que « les enseignements et les valeurs » de la femme d’un conquérant musulman du VIIe siècle sont censés inspirer les habitants de Stains, comme le précise le panneau ? Peut-être que le premier magistrat de la ville, Azzédine Taïbi, n’a pas bien compris que sa commune était française et que la rue de Pontoise n’a aucune vocation à devenir rue Khadija Bint Khuwaylid.
Les citoyens de Stains doivent remercier les jeunes de l’Action française qui sont allés corriger cette grossière erreur d’inspiration en suggérant des noms dont le maire et ses associations avaient omis de parler comme celui d’une militaire, Yvonne Huynh, morte pour la France en 2021 ; celui d’une philosophe et intellectuelle, Simone Weil ; celui de la patronne de Paris, sainte Geneviève ; et celui de Marie Curie, physicienne et chimiste de renom ; toutes quatre françaises.
Ce faisant l’AF tente d’aider les citoyens de Stains, majoritairement issus de l’immigration nord-africaine et sub-saharienne, à mieux s’intégrer en découvrant les richesses culturelles, scientifiques et héroïques des femmes françaises, celles-là mêmes qui ont contribué à construire leur patrie d’adoption.
Sans violence ni injure, nos jeunes gens ont donc apposé des affichettes sur les plaques de rue mal renommées pour rappeler à ces habitants mal conseillés qu’il est d’usage en France de donner un nom de rue à un ami et un serviteur du pays, Français ou étranger, comme il existe des rues Léopold Sédar Senghor. Peut-être qu’une loi-cadre serait la bienvenue pour accompagner les décisions municipales dans ce sens.
D'accord avec cette Iranienne courageuse, avec toutes celles qui l'accompagnent, avec tous les hommes qui, aussi, se lèvent en Iran - la grande, l'immense Perse... - contre le fanatisme obscurantiste de cet Islam qui ressemble tant au fanatisme des révolutionnaires d'ici...
Système et Islam : ces deux Totalitarismes mortels qui nous menacent, et se ressemblent tant...
Alors que tous les indices d’actions chutent fortement dans le monde entier, depuis le jeudi noir du 24 octobre 1929 ce mois a une sinistre réputation en Bourse. Selon les médias toujours très optimistes, même à la veille d’une catastrophe, le fameux TINA (« There is no alternative ») doit laisser la place au TARA (« There are reasonable alternatives »), mais en fait le TARA va bientôt laisser la place plus vite que prévu en bon français à « Sauve qui peut, chacun pour soi et Dieu pour tous, fuyez les marchés ! ».
Un graphique du Dow Jones depuis 2003 donne le sentiment qu’après une lente et longue progression vers le sommet en 2022, ce dernier a déjà commencé sa descente aux enfers. Il en est de même pour un graphique du CAC 40 qui vient de commencer depuis septembre un superbe canal baissier ininterrompu vers l’abîme. Quant aux obligations, les moins rentables et toutes celles souscrites à taux négatifs ou à des taux proches de zéro, elles chutent d’environ 20 % depuis début 2022. Un portefeuille autant investi en actions qu’en obligations à Wall Street voit sa valeur fondre de 20 %, sur les 9 premiers mois de l’année, alors que le PER de Shiller(coefficient cours des actions / bénéfices) est encore très élevé à 28,90, après avoir très légèrement diminué. De même l’indice Vix qui mesure la volatilité du marché à Wall Street s’élève à 30,43, ce qui n’est toujours pas très loin du plus haut du 7 mars 2022 (36,46).
La firme Mckinsey présente les nouveautés de la collection Automne-Hiver de l'équipe Macron. À ne pas oublier : remplacer votre sèche-linge par un étendoir !
Site officiel : Solidarité Kosovo
lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :
A l’affiche : Novembre, un film français de Cédric Jimenez, avec Jean Dujardin, Anaïs Demoustier, Sandrine Kiberlain, Jérémie Renier et Lyna Khoudry.
AVEC L'ACTION FRANÇAISE MULHOUSE :
ROUVREZ FESSENHEIM !
A l’affiche : Reprise en main, un film français de Gilles Perret, avec Pierre Deladonchamps (Cédric), Samuel Churin et Laetitia Dosch (Chantrel, le directeur de l’entreprise, et Julie, sa secrétaire).
Reprise en main… La bande annonce annonçait une comédie… Pourquoi pas ? et puis, j’ai vu qu’il s’agissait d’une Avant-Première en présence du réalisateur… Intéressant… Ce n’est que peu de temps avant la séance que j’ai lu qu’elle se déroulait aussi en présence d’Attac… ce qui a refroidi mon enthousiasme, et j’y suis allé bien décidé à faire demi-tour s’il y avait le moindre drapeau rouge… Seule l’affiche, en fait, était rouge, que je n’avais pas remarquée, avec une cheminée d’usine surmontée d’un poing fermé.
Nous étions sur place quand je me suis rendu compte que j’avais déjà vu, mais que « j’aurais pu ne pas voir », J’veux du soleil, du même réalisateur, en association avec François Ruffin ( !).
Peut-être faudrait-il que je me reprenne en main pour mieux choisir mes films ?
Sans doute une petite centaine de personnes dans la salle, avec lesquelles, manifestement, je n’ai jamais manifesté à La Manif Pour Tous.
La fiction est plaisante, sans être transcendante, qui s’attaque à la Finance « dévastatrice », pour reprendre l’expression de Gilles Perret lui-même, mais il n’est pas besoin d’être d’extrême gauche, ni même de gauche, pour lutter contre la « fortune anonyme et vagabonde », au contraire. On ne peut qu’adhérer à la philosophie de ce docu-fiction qui s’ « Attac » à la financiarisation des PME lesquelles sont sorties du Réel avec le « grand remplacement » des entrepreneurs par des fonds d’investissements ou fonds de pension…
Lesquels fonds, une fois en place, n’hésitent pas alors à « grand-remplacer » le personnel par des individus venus d’ailleurs, déracinés, dont ils feront « suer le burnous ». N’en déplaise à Mélenchon, Financiarisation, Mondialisation et Grand-Remplacement vont de pair.
La comédie intéressera certainement les spectateurs au fait des questions économiques, qui met en scène la technique financière d’achat d’entreprise LBO (Leveraged buy-out ou rachat avec effet de levier, ou par emprunt) ; elle plaira aussi aux alpinistes avec des vues vertigineuses sur les parois rocheuses de Haute-Savoie aux alentours de Cluses.
...Après avoir échangé avec les élèves, le Prince a particulièrement apprécié partager un repas avec les lycéens passionnés par la France.
Commentaire sur notre Page facebook Lafautearousseau Royaliste :
Arts & Ciné : La Poison, un film français de Sacha Guitry (1951), avec Michel Simon (Paul Louis Victor Braconnier), Jean Debucourt (Maître Aubanel), Pauline Carton (la mercière) et Louis de Funès (André).