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Cette question devrait résonner dans toutes les têtes d'un peuple libre et conscient de lui-même.
A qui profite les faillites annoncées des petites entreprises locales et des indépendants ? A qui profite les emprunts, seule solution pour survivre au confinement ? Quand tu seras licencié, vers qui te dirigeras-tu pour trouver du travail, si ce n'est vers les géants de l'industrie et du commerce, qui n'ont que peu souffert du confinement ? Qui a profité de la misère sociale et de la solitude créées par le confinement, si ce n'est Netflix, le porno, les fast-food, les grandes chaînes de distribution, Amazon et compagnie ? La prolétarisation - et donc la servitude - passe par l'anéantissement des métiers, ne l'oublions pas !
Le dernier mercredi de la saison 2018-2019, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Philippe Delorme pour son livre “La légende de Notre-Dame”. L’incendie qui a ravagé Notre-Dame de Paris le 15 avril a été ressenti par la plupart des Français comme une catastrophe nationale, qui a aussi touché le monde entier. L’intensité des débats sur la restauration de la cathédrale témoigne de l’ampleur des enjeux symboliques inscrits dans le monument. Pour ressaisir cette symbolique religieuse et historique, il importe de lire ou de relire les écrivains et les poètes qui ont évoqué Notre-Dame au fil des siècles. Historien et journaliste, Philippe DELORME les a rassemblés dans un ouvrage qui vient de paraître aux éditions du Cerf. Pour raconter « La légende de Notre-Dame », voici Rabelais, Victor Hugo, Jules Michelet, Paul Claudel, Charles Péguy, Louis Aragon, Francis Carco… Avec notre invité, nous revivrons le Moyen Age et la Révolution française, le sacre de Napoléon Ier et la libération de Paris, les cérémonies d’hommage au général de Gaulle en 1970 et à François Mitterrand en 1996. Puis le grand mouvement de solidarité autour de la cathédrale dévastée…
Dr Bernard Kron au micro d'André Bercoff sur Sud Radio.
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
À la veille du déconfinement, le chef de la Maison royale de France, Monseigneur le Comte de Paris, a publié un communiqué dans lequel le Prince fait part de ses inquiétudes quant à l’avenir qui se dessine pour la France.
Journal de bord du dé-confinement, Semaine 1
Le dé-confinement est là, enfin. Bien sûr, il faut raison garder et le réaliser de façon progressive tout en restant vigilants et en respectant les bons gestes. Son succès dépendra de la responsabilité de chacun de nous. Cette reprise progressive est indispensable pour les personnes, les familles et leurs enfants, les entreprises, la société. En fait pour l’homme dans toutes ses dimensions.
Source : https://www.bvoltaire.fr/
Tout comme les juges européens ont réussi des coups d’État en affirmant la suprématie de leurs décisions sur les droits nationaux, alors que, selon les traités, l’Union européenne n’est pas un État fédéral, la BCE s’est lancée, avec Draghi et Lagarde, dans une fuite en avant – en fait un véritable coup d’État monétaire qui ne correspond pas aux traités et aux statuts de la BCE -, en émettant de la monnaie de singe tous azimuts, non garantie par un actif tangible. Cela équivaut à mutualiser la dette des États par les voies détournées de la BCE
En ce 10 Mai, jour des grandes catastrophes nationales, de l’invasion de 1940 à l’élection de Mitterrand, il n’y a aucune raison d’être joyeux, même si demain le confinement va ouvrir modérément ses fenêtres. Pour un Français qui a encore le sens de l’appartenance nationale, et qui pensait que la seule communauté qui vaille était la nation, riche de son histoire et de son identité, et dotée d’un Etat, certes coûteux et bureaucratique, mais capable de le protéger, et de faire valoir les qualités exceptionnelles du pays, l’épisode du coronavirus aura été une descente aux enfers avant l’heure.