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  • Patrimoine cinématographique • Beaumarchais, l’insolent

    Par Pierre Builly

    Beaumarchais, l'insolent d'Édouard Molinaro (1996)

    20525593_1529036520490493_4184281983923317414_n.jpgLa vie en tourbillon

    Quelquefois le culot paye et le public suit.

    À moins de considérer que ce qui fut possible en 1996 ne serait pas concevable aujourd'hui, où les progrès de la massification, de l'inculture et des blockbusters ne permettraient pas de parier un kopeck sur le succès au Box-Office d'un film français intelligent, brillant, consacré à un auteur qu'on ne joue plus guère et à une période historique peu connue. 

    En tout cas Édouard Molinaro, en adaptant avec Jean-Claude Brisville (auteur, puis cinéaste du remarquable Souper) une pièce de 1950 de Sacha Guitry, a eu la main singulièrement heureuse et a donné à Fabrice Luchini ce qui est sans doute, à ce jour, son meilleur rôle de premier plan au cinéma. 

    Là une parenthèse : comment ne pas se désoler qu'un acteur aussi immense, de l'importance d'un Jouvet ou d'un Raimu, qui peut tenir des salles entières sous le charme en lisant une fable de La Fontaine, une page de Louis-Ferdinand Céline, un extrait du philosophe réactionnaire Philippe Muray, n’ait pas trouvé un rôle à sa mesure, comment ne pas se désoler qu'aucun grand réalisateur n'ait pu l'employer pour un film majeur ? Qu'est-ce qu'on mettrait en exergue si, par malheur, il disparaissait demain ? La discrète de Christian Vincent, Confidences trop intimes de Patrice Leconte, Alceste à bicyclette de Philippe Le Guay... quelques bons films paisibles ; et puis des apparitions ici et là, souvent brillantes, chez Éric Rohmer ou François Ozon... Rien qui marque durablement. 

    Mais qu'il est bon dans Beaumarchais, un rôle fait pour lui, tout de légèreté, de brio, d'élégance, de désinvolture, de talent... Peut-être parce que, finalement, comme son personnage il privilégie la qualité de sa vie à la qualité de son œuvre... 

    17807.jpgLe film reprend avec une grande fidélité les péripéties dignes d'un roman feuilleton de la vie de Pierre Caron de Beaumarchais entre 1773 et 1780, marquées par le succès des deux pièces qui l'ont immortalisé (Le barbier de Séville et Le mariage de Figaro) et donc ses démêlés avec les Parlements et les financiers (il était néanmoins lui-même à la tête d'une fortune considérable), mais aussi par ses activités d'agent secret au service de la Couronne, son action en faveur des Insurgents d'Amérique et par la faveur des Rois, Louis XV puis Louis XVI, agacés devant un esprit aussi rétif mais admiratifs de son énergie et de son inventivité. Je m'étonne et me réjouis qu'un récit historique qui exige un minimum de connaissances sur cette période complexe des dernières années d'Ancien Régime ait pu remporter un grand succès public, mais je ne suis pas certain que tout le monde ait bien compris la subtilité de plusieurs passages. 

    En tout cas Molinaro, qui a disposé de moyens techniques et financiers importants (voir l'intéressant making off du bonus) a filmé cela avec esprit et dans l'esprit de Guitry : on s'amuse d'ailleurs beaucoup de voir, au fil des séquences, comme chez le Maître, dans ses grandes machines historiques (Si Versailles etc.), surgir des visages d'acteurs connus venir jouer  des rôles de quelques lignes et c'est un bonheur que de les reconnaître au passage (Michel Serrault en Louis XV, mais aussi Jean-Claude Brialy, Jean Yanne, Guy Marchand, François Morel, José Garcia et bien d'autres...) 

    Trav9.jpgEt mention spéciale pour le choix des demoiselles : Claire Nebout prête sa beauté androgyne au Chevalier d'Éon (on ne saurait faire meilleur choix), Isabelle Carré, Florence Thomassin sont de ravissantes soubrettes de théâtre, Sandrine Kiberlain interprète la troisième (et dernière) épouse de l'auteur avec le grand talent qu'on lui connaît. 

    Et Fabrice Luchini, donc, impeccable, rieur, allègre, spirituel. Le monde danse sur un volcan et, depuis que les Parlements, les Jansénistes, la haute noblesse et les Gallicans, coalition improbable et suicidaire, ont eu la peau de la réforme Maupeou, rien ne peut empêcher l'Ancien Régime de courir à sa perte. Il n'est pas certain que Beaumarchais s'en réjouisse, loin de là ; mais que peut-il devant l'aveuglement ?  

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    DVD autour de 5 € .

    Retrouvez l'ensemble des chroniques hebdomadaires de Pierre Builly sur notre patrimoine cinématographique, publiées en principe le dimanche, dans notre catégorie Culture et Civilisation.
  • LOUIS XVI 2019 ! Annonces ... Être présent ! [Dernier jour]

     

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    Nous publierons ici chaque jour - jusqu'au 27 janvier - la liste des messes, cérémonies, conférences et manifestations qui nous seront signalées, liste toujours très longue, mise à jour au fur et à mesure que nous en aurons connaissance.

    Par souci d'exactitude, nous n'y intégrons que les annonces complètes avec heure et localisation exacte.

    Les organisateurs peuvent d'ores et déjà nous informer. 
    Courriel : lafautearousseau@outlook.fr  

    3142979974.jpgAnnonces 

    VENDREDI 18 JANVIER

     Épinal : 18h30, Église Saint Antoine, 12, rue Armand Colle.   

    SAMEDI 19 JANVIER

    Lyon : 10h30, Sanctuaire Saint- Bonaventure, 7 Place des Cordeliers (2ème). 

    ■ Toulouse : 10h30, Chapelle Saint-Jean-Baptiste, 7 rue Antonin Mercié. Métro Capitole ou Esquirol ou Parking Esquirol. Messe de requiem célébrée par le chanoine Thibaut d'Aviau de Ternay.  

    ■ Lanvallay (Côtes d'Armor) : 11h, Chapelle du Sacré-Coeur, Prieuré Sainte-Anne.

    ■ Vion, La Chapelle du Chêne (Sarthe) : 12h15, Messe en la Basilique Notre-Dame du Chème, suivie d'un déjeuner-débat avec Guillaume de Thieulloy. Renseignements : 06.64.91.52.45 - 02.43.98.43.44 - 09.86.25.43..27.

    ■ Amiens : 18h30, Chapelle Saint Vincent de Paul, 54 ter rue Jules Barni.

    ■ Équemauville (Calvados): 10h, Eglise Saint Pierre. .

    ■ Fontaine-les-Dijon (Côte d'Or) : 17h, Basilique de la Maison natale de Saint Bernard, Place des Feuillants.  

    ■ Coligny (Ain) : 10h30 Église Saint-Martin.

    ■ Montélimar : 17h30, Chapelle Notre-Dame de la Rose, 36 Avenue Saint-Martin.

    ■ Le Val (Var) : 11h Collégiale Notre-Dame-de-l’Assomption.  

    DIMANCHE 20 JANVIER

    ■ Paris

    → 10h30, Chapelle Expiatoire, Square Louis XVI, 62 rue d'Anjou (8ème).

    → 17h15 : Marche aux Flambeaux. Rendez-vous à l'Eglise Saint-Roch. L'abbé Thierry Laurent recevra les participants dans l'église pour une allocution d'introduction puis les accompagnera jusqu'à la Chapelle Expiatoire.

    ■  Biarritz : 10h, Église Saint-Martin, 4 Rue Saint-Martin.

    ■ Quimper : 10h30, Église Saint Mathieu, rue du Chapeau rouge.

    ■ Villejuif : 10h30, 24 rue Leon Moussinac.

    ■ Montargis : 10h Chapelle du Château. 

    ■ Aix-en Provence : 10h, Chapelle des Pénitents gris, dits Bourras, 15 rue Lieutaud.

    ■ Calais : 8H45, Chapelle Sainte Victoire, Hames Boucres (Près de Guines)

    ■ Bayonne : 10h30, Église Saint Amand, 52 Avenue Maréchal Soult.

    ■ Reims : 10h30, Église Sainte Jeanne d'Arc rue de Verdun

    ■ Limoges : 10H45, Chapelle Saint-Antoine, rue des Papillons.

    ■ Plouay (Morbihan) : 10h30, Chapelle expiatoire, 6 rue du Haras.

    ■ Belloy-en-France : 11h, Église paroissiale.

    Nantes : 12h15, dépôt de gerbes et lecture du testament du Roi, place Louis XVI, au pied de la colonne.

    ■ Tonnay (Charente maritime) : 10h30, Église Saint Etienne. 

    LUNDI 21 JANVIER

     Paris

    → 10h, Rassemblement Place de la Concorde, devant la statue de Rouen, côté Hôtel Crillon, Ambassade des Etats-Unis. 

    → 12h, Saint-Germain-l'Auxerrois, paroisse des Rois de France, Messe célébrée à la demande du Cercle de l’Oeillet Blanc pour le repos de l’âme du roi Louis XVI, en présence des Princes de la Maison de France. 

    → 18h30, Saint Nicolas du Chardonnet, 23 rue des Bernardins (5ème). Métro Maubert-Mutualité ligne 10.

    → 19h, Eglise Saint Eugène - Sainte Cécile, 4 Rue du Conservatoire (9ème).

     Marseille 

    19h, Basilique du Sacré-Coeur, 81 avenue du Prado. La Messe, dite à la demande de l'Union Royaliste Provençale (Action Française) et du Souvenir Bourbonien, sera célébrée par Mgr. Jean-Pierre Ellul, recteur de la basilique. L'homélie sera donnée par le père Antoine Deveaux. Une soirée conférence-débat suivra avec André Bercoff, invité exceptionnel 2019.

    ■ Lyon : 18h30, Église St Georges, quai Fulchiron. 

    ■ Toulouse : 18h30, Chapelle du Férétra, 116 Rue du Férétra.  

    ■ Toulon : 18h30, Église Saint François de Paule, Place Louis Blanc. 

    ■ Novéant-sur-Moselle : 18h30, Église de Novéant.

    ■ Montpellier : 18h, Chapelle des Pénitents bleus, rue des Étuves (06 81 72 31 11).

    ■ Grenoble : 18h, Collégiale Saint André, ancienne Chapelle Royale, place Saint André.

    ■ Bayonne : 18h30, Église Saint Amand, 52 Avenue Maréchal Soult.

    ■ Biarritz : 18h, Église Saint Joseph, 9 Avenue Victor Hugo. 

    ■ Poitiers : 18h30, Église Notre Dame la Grande.

    ​​■ Chandai (Orne) : 10h30, Monastère Syro-Orthodoxe Notre-Dame de Miséricorde. 

    ​​ Béziers : 19h, Chapelle des Pénitents bleus, 4 rue du 4 septembre.

    ​​​■ Montauban : 18h, Église Saint -Jacques. 

    ​​​■ Tulle : 18h30, Cathédrale Notre-Dame. Messe à la mémoire du Roi Louis XVI et de sa famille. Seront associées à cette prière toutes les victimes de la barbarie humaine. 

    ​​​■ ​Fontainebleau : 19h. messe pour Louis XVI en l'église du Carmel 16 bis rue du Maréchal Foch. (Et le 26 janvier, à 14h30, Galette des rois à l'hôtel de l'aigle Noir, Place du Général de Gaulle).

    ■ Carcassonne : 11h, Basilique des saints Nazaire et Celse.

    ■ Vannes : 18h30, Église Saint-Patern.

    ■ Brest : 18h30, Chapelle sainte Anne, 43 rue Bruat.   

    ■ Chambéry : 19h, Cathédrale, place Métropole. 

    ■ Sées (Orne) : 18h30, Chapelle de l'Institut Croix des Vents, 55 rue d'Argentré.

     Perpignan

    → 18h30, Église Saint-Mathieu, Rue Grande la Monnaie.

    → 18h30, Prieuré du Christ-Roi, 113 avenue Joffre.

    ■ Tarbes : 18h30, Maison Saint-Paul 51 Rue de Traynes.

    ■ Nantes

    → 18h30, Chapelle du Christ-Roi, 88 rue d’Allonville.

    → 20h, Église Saint Clément.

    ■ Bordeaux

    → 19h, Église Saint-Bruno, 5 Place du 11 Novembre.

    ​→ 18h30, Grosse Cloche, rue Saint-James.

    ■ Caen : 18h45, Église Saint-Sauveur, place Pierre Bouchard.

     Unieux (Loire) : 16h30, 31 rue Holtzer.

    ​■ Chartres : 19h30, Eglise Saint Aignan. 

    ​■ Mérigny (Indre) : 11h, Chapelle de la Transfiguration, au lieu-dit « Le Bois ».

    ÉTRANGER

    ALLEMAGNE

     Sarrelouis : 18h30, Eglise Saint Pierre Canisius, Stifstrasse 18, Saarlouis.  

    BELGIQUE

    Bruxelles : 19h, Église du Couvent Sainte Anne Watermael-Boitsfort, Avenue Léopold Wiener 26B.  

     Tournai : 11h, Cathédrale Notre-Dame.

    MONACO

     18h30, Église du Sacré-Coeur, 14 chemin de La Turbie.

    SAMEDI 26 JANVIER

    ■ Versailles : 19h, Chapelle Royale du Château de Versailles. Requiem de Cherubini, à la mémoire de Louis XVI. 

    ■ Nîmes : 11h, Église Saint Baudile,

    ■ Caumont-sur-Durance : 18h30, Eglise Saint Symphorien.

     Strasbourg :  16h, Cathédrale Notre-Dame, Messe dite à la demande du Cercle Merry del Val et du Cercle Saint Louis d’Alsace. Elle sera célébrée par M. l’Abbé Frédéric Martin, en la Chapelle Saint Laurent, avec la participation de la Psalette grégorienne de Strasbourg. 

    DIMANCHE 27 JANVIER

     Nancy : 10h30, Église Marie-Immaculée, 33 Avenue du Général Leclerc. A partir de 12h30, Fête des Rois de l'USRL et de La Lorraine Royaliste : repas à l'Auberge de Maître Marcel, angle route de Martinvaux et Maron-Chaligny (Renseignements : lalorraineroyaliste@yahoo.fr ou 06 65 64 73 17). 

    ■ Autun (Bourgogne) : 11h, Chapelle du Saint-Sacrement

    Sur le sens à donner à ces activités, lire : 

    LOUIS XVI 2019 ! Mémoire et acte politique fort : marquer le début de notre décadence

  • Culture • Loisirs • Traditions

    Ce visuel est destiné à marquer l'unité des articles du samedi et du dimanche, publiés à la suite ; articles surtout culturels, historiques, littéraires ou de société. On dirait, aujourd'hui, métapolitiques. Ce qui ne signifie pas qu’ils aient une moindre importance.  LFAR

  • Monarchie • Hilaire de Crémiers au Figaro : « Le fils du comte de Paris saura répondre à ses devoirs »

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    Hilaire de Crémiers, fondateur de la revue Politique Magazine, décrypte l’héritage et l’avenir des monarchistes en France, après le décès du comte de Paris.  

    Malgré son format rectiligne, cette vidéo peut être regardée en plein écran. Cliquez ! Activez le son, s'il y a lieu. 

     

    7'42"" - Publiée le 23/01/2019

  • Société • Fin du corps sexué, fin de l’histoire

    par Gérard Leclerc

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    Il y a de quoi se battre !

    Il est des sujets qu’il convient de ne pas mettre sur la sellette.

    Ainsi va un certain progressisme qui prétend décider de ce qui est moderne ou pas et s’oppose à toute discussion sérieuse de ce qu’elle tient pour définitivement acquis. D’où la surprise, voire la stupéfaction, lorsque parmi les vœux de l’opinion arrive en tête la remise en cause du mariage dit pour tous. C’est une sorte de sacrilège, car il n’est pas vrai que le sacrilège ait disparu aujourd’hui, il a simplement changé d’objet avec les déplacements de la sacralité. Il en va aussi de l’avortement qui constitue un droit absolu que ne saurait relativiser aucune requête de la conscience. Impossible de remettre en cause la notion de gender, dont Le Monde nous assurait sérieusement encore la semaine dernière qu’il ne constitue en rien une théorie philosophique, n’étant qu’un simple dispositif de recherche en sciences humaines.

    Toute objection à ces dogmes progressistes est considérée comme réactionnaire ou ultra-conservatrice, les mots employés étant autant d’armes d’intimidation pour faire taire les récalcitrants, car il s’agit bien d’une guerre, une guerre de l’esprit, dont, je le répète, les enjeux sont d’une rare gravité. Une révolution anthropologique est en cours, dont les médias ne nous montrent que quelques effets de surface. Les choses prennent une autre dimension lorsqu’on s’intéresse aux chercheurs de pointe qui vont jusqu’au bout de cette révolution. Et ces chercheurs sont en mesure d’exercer une pression intellectuelle qui change les mentalités courantes et dispose les sociétés à accepter ce qu’elles n’auraient jamais accepté autrefois. C’est d’une certaine façon la revanche des totalitarismes vaincus d’hier, qui ont inoculé durablement à la postérité l’usage de la transgression.

    Pour lutter contre cette déshumanisation dont Gunther Anders disait qu’elle était la conséquence de l’idée d’obsolescence de l’homme, il faut du courage, de la détermination. Heureusement, Anders et d’autres prophètes, tel un Philippe Muray, nous ont avertis à l’égard « d’une humanité techniquement réformée, réanimalisée, déshominisée… Fin du corps sexué. Fin de l’histoire. Fin de la distinction entre animal et humain. » Il y a de quoi se battre !  ■ 

    Gérard Leclerc
    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 22 janvier 2019.
  • Cinéma • Chantons sous la pluie

    Par Guilhem de Tarlé 

    Art et essai : Chantons sous la pluie, un film américain de 1952, de Gene Kelly et Stanley Donon, avec Gene Kelly (Don Locwood), Jean Hagen (Lina Lamont), Debbie Reynols (Kathy Selden), Donald O’Connor (Cosmo Brown). 

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    Chantons sous la pluie.

    Non, il ne pleuvait pas, mais après un Noël radieux, sous un ciel digne de Marie, le temps était couvert en ce 26 décembre à La Ciotat, triste sans doute de ce lendemain de fête ou chacun se sépare pour (re)gagner sa vraie vie.

    Faisons néanmoins contre mauvaise fortune bon cœur et continuons de chanter, en ce temps de Noël, la gloire de Dieu, l'amour d'une femme, la joie de ces réunions familiales et, malgré Macron, le goût de vivre.

    Chantons avec Mistral :

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    « Alègre ! alègre,
    Diéu nous alègre !
    E nous fague la gràci de vèire l'an que vèn,
    E se noun sian pas mai, que noun fuguen pas mens ! »

    Singin'_in_the_Rain_trailer_3.jpgChantons (donc) sous la pluie et éblouissons nous de ces danses, de ces claquettes et de ces cascades qui n'ont rien à envier aux effets spéciaux de notre époque.

    Une comédie musicale saine et amusante où il ne faut pas hésiter à emmener nos adolescents.   

    PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plusieurs dizaines d’autres sur mon blog Je ciné mate.

  • Eh oui ! Emmanuel Macron, le Roi manque ! Il manque toujours !

     

    Entretien paru le 8 juillet 2015 dans l'hebdomadaire Le 1

  • SITUATION EXPLOSIVE DE LA FRANCE ET DU MONDE par ANDRÉ BERCOFF. Conférence et débat

     

    Conférence et débat tenus à Marseille le 21 janvier 2019

    Durée : 1 heure 17 minutes.  

    Conférence André Bercoff 21.01.2019 - URP sur Vimeo.

  • Obsèques de Monseigneur le Comte de Paris : Communiqué du Chef de la Maison de France

    La chapelle royale Saint-Louis de Dreux

    Communiqué du Chef de la Maison de France, Monseigneur le duc de Vendôme.

    jean-iv-de-france.jpg« Les obsèques de Monseigneur le comte de Paris seront célébrées le samedi 2 février 2019 à 15 heures, en la chapelle royale Saint-Louis de Dreux. 

    Une chapelle ardente sera ouverte à la chapelle royale, du mercredi 30 janvier au vendredi 1er février de 13 heures à 17 heures. »   

    Le site officiel du Prince Jean de France

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  • Message : « Le passé monarchique de la France hante la mémoire et la conscience de bien des Français »

     

    A la suite du décès du comte de Paris, nous avons reçu du professeur Gérard Lehmann, de l'Université de Sud Danemark, le beau message ci-après qui nous touche et touchera aussi, sans-doute, le Prince Jean. Simplement : Merci. On lira ce message avec beaucoup d'intérêt.  LFAR

    Photos ...

    En novembre 2012, le Duc et la Duchesse de Vendôme avaient été invités au Danemark par la Reine Margrethe à l’occasion d’une chasse donnée par le  Prince Consort Henrik (aujourd'hui décédé) au palais de Fredensborg.

    Nous publions ici trois photographies de ce séjour des Princes au royaume de Danemark.

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  • LE FAVORI IMPORTUN ET LE FAUX ROI

    PAR JACQUES TRÉMOLET DE VILLERS

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    Benalla défie Macron. L'affaire ne cesse de rebondir. Jusqu'où ?

    0ù est le problème Benalla ? Cette petite histoire de favoritisme ou d'égarement dans le choix d'un confident risque de devenir une affaire d'État, alors que, pour la chose judiciaire, les faits sont bien minces. Il se serait couvert d'un brassard de police pour mener une action de police, au demeurant justifiée... Il aurait conservé des passeports diplomatiques, mais qui lui avaient été remis régulièrement. Peut-être a-t-il encore les clefs des résidences privées de notre Jupiter à Brégançon, à La Lanterne, et au Touquet,... et même les batteries des vélos électriques ?

    800px-Henri_IV_par_François_Quesnel.jpgL'histoire de notre pays est remplie de Benallas, féminins ou masculins, favoris ou favorites, que le peuple détestait dans la mesure où il avait l'impression qu'ils - ou elles - lui volaient leur Roi. Car le Roi est donné au royaume et ses infidélités sont insupportables au peuple de ce royaume. On lui passe des maîtresses et des jeux de dés à condition qu'on le sache occupé au bonheur de ses sujets. « La violente amour que je porte à mes sujets » disait Henri IV, « m'a fait trouver, pour eux, tout agréable ». En réponse, la violente amour que le peuple portait au bon roi Henri l'a rendu très indulgent, voire complice, voire admiratif pour ses incartades conjugales.

    Le problème est chez Macron

    Le problème Benalla n'est pas chez Benalla. Il semble un garçon brillant, ambitieux, courageux physiquement, décidé, que les scrupules n'encombrent pas et qui peut rebondir en se servant de son passage près du Prince depuis que le Prince a choisi de ne plus le connaître. Non, le problème Benalla n'est pas chez Benalla. Il est chez Macron.

    Macron, qui a une haute idée, non seulement de lui-même mais de sa fonction, a compris que le Peuple de France a besoin d'un roi, que, dans nos institutions, le Président de la République était ce roi - « ce monarque élu et provisoire » et que, à l'inverse de ses prédécesseurs, il saurait lui, être ce Roi.

    Il faut se rappeler qu'il n'est pas le premier à avoir effectué ce transfert. De Gaulle disait « incarner la légitimité » ; Giscard se prenait pour un descendant de Louis XV ; Mitterrand à Versailles, dès son élection, recevant les chefs d'État étrangers, prenait des allures de souverain ; Chirac, Sarkozy et Hollande, selon la prédiction du même Mitterrand « après moi ce sera Chirac, et, en deux ans, il aura déconsidéré la fonction », ont renoncé à cette allure de magistrature suprême, ce qui a rendu plus net encore son retour avec Macron, au Louvre, le soir de son triomphe.

    Mais il est un attribut de cette fonction royale qui, chez nous, en France, est fondatrice et primordiale : c'est la justice. Le Roi est le grand Juge. Le modèle est Salomon, puis saint Louis. Quand le dictateur, le président, le monarque ... n'exerce pas, en plénitude et face au peuple, pour le peuple, cette fonction de justice, il devient vite, quelles que soient ses autres qualités, un tyran. 

    Le tyran est celui dont on croit qu'il profite du pouvoir, de ses avantages, de sa facilité, de l'argent, pour lui-même et non pas au service du premier des biens qu'il doit au peuple : la Justice.

    800px-SaintLouisSainteChapelle.jpgLa Justice veut un certain apparat, pour elle-même d'abord, afin de ne pas perdre de vue la hauteur de sa fonction. Au sommet, cet apparat se résume à saint Louis sous un chêne, à Vincennes, accueillant « les plaids des justiciables ». Il faut être saint Louis pour se permettre cette bonhomie et cette simplicité. La pauvreté est le seul luxe qui convient à Dieu et à ses saints. Pour les autres, les convenances sont nécessaires.

    Macron n'est pas saint Louis, et, de surcroît, la justice ne l'intéresse pas. Ses préoccupations sont ailleurs, dans l'Europe qu'il voudrait gouverner, dans le Monde multilatéral qu'il voudrait inspirer, et, peut-être aussi - pourquoi pas ?- gouverner, dans la transition écologique... dans cet univers nouveau qu'il veut faire éclore, en se débarrassant de ces fardeaux que sont la grogne et l'incompréhension de ces Gaulois qui, pourtant, l'ont élu.

    Le favori

    Alors Benalla devient un symbole. Il est le favori, le parvenu, l'étranger, le corrompu, celui dont la seule présence insupporte ceux qui sont appelés, à participer, de près ou de moins près, à l'oeuvre de justice : les magistrats, les policiers, les services de sécurité.

    Sa présence signe le mépris du Prince pour ces hommes de service, qui remplissent leur charge, en portent les devoirs et se voient défiés, dépassés, ridiculisés par un jeune homme sorti de nulle part et que « la faveur du roi élève en un rang » qu'ils ne pourront jamais atteindre.

    De Benalla, la colère se reporte sur celui qui l'a élevé, et les commerçants de la rumeur en font leur produit préféré. Sans Macron, Benalla n'était rien. Il a existé par la faveur de Macron. Il continue d'exister dans la défaveur de Macron, il devient l'un des instruments de cette défaveur.

    Jusqu'où ira le feuilleton ? Les mécaniques les mieux réglées, les plans les mieux pensés, achoppent toujours sur un imprévu, heureux ou malheureux. Le soleil d'Austerlitz au matin du 2 décembre, le nez de Cléopâtre qui détourne Antoine de ses devoirs de chef de guerre... mais n'allons pas si loin, ni si haut.

    La fonction royale que semble occuper Macron n'est pas pour lui, comme elle ne l'était pas non plus pour ses prédécesseurs. Benalla sert de révélateur. Il y en a d'autres, et plus importants.

    « Pour une fonction régalienne », aurait dit Monsieur de La Palice, « il faut un Roi ». Et un Roi, cela ne s'invente pas, ne s'élit pas, ne se choisit pas, ne se désigne pas. Un Roi est donné, par Dieu, et reconnu par le Peuple.

    Chacun alors peut trouver sa vraie place, selon sa chance ou son mérite... Benalla comme les autres.   

    Jacques Trémolet de Villers

  • D'accord avec Alain de Benoist : « Vive le Gueux ! »

    Un beau chant néerlandais (...) s’intitule « Vive le Gueux ! »   

    Par Alain de Benoist

    Alain de Benoist a donné à Boulevard Voltaire cet entretien auquel nous n'avons rien à ajouter sinon notre accord. [20.01]. Lisez !  LFAR 

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    Pensez-vous qu’on puisse déjà faire un bilan de l’action des gilets jaunes ?

    Le meilleur bilan qu’on puisse en faire est de constater qu’il est encore trop tôt pour en faire un, puisque le mouvement continue et semble même trouver un second souffle. Depuis bientôt trois mois, malgré le gel et le froid, malgré la trêve des confiseurs, malgré les morts et les blessés, malgré les dégâts causés par les brutalités policières (mâchoires arrachées, mains déchiquetées, pieds broyés, yeux crevés, hémorragies cérébrales), malgré les critiques qui ont successivement tenté de les présenter comme des beaufs alcooliques, des nazis (la « peste brune ») et des casseurs, coupables en outre d’avoir ruiné le commerce, dissuadé les touristes de venir en France et même, ô scandale, d’avoir saboté l’ouverture des soldes, malgré tout cela, les gilets jaunes sont toujours là. Ils tiennent bon, ils ne cèdent pas et une majorité de Français continue d’approuver leur action. C’est bien la confirmation que ce mouvement ne ressemble à aucun autre.

    Il y a un autre point sur lequel il faut insister. Les gilets jaunes, auparavant, ne se connaissaient pas. Plongés dans l’anonymat de masse, même quand ils étaient voisins, ils restaient souvent étrangers les uns aux autres. Depuis des semaines, autour des ronds-points, ils se sont mutuellement découverts. Ils ont parlé ensemble, ils ont confronté leurs expériences et leurs espoirs, partagé la même colère et vibré aux même émotions, partagé aussi les mêmes repas, vécu les mêmes journées et parfois les mêmes nuits, bénéficié du même élan de solidarité et de don. Le mouvement des gilets jaunes a, ainsi, fonctionné comme une formidable machine à recréer de la socialité dans une époque où le lien social s’est partout effrité. Il en restera nécessairement quelque chose. Les gilets jaunes savent, désormais, qu’ils ne sont plus seuls à être « invisibles ». Ils ont redécouvert l’importance du commun.

    Mais l’avenir du mouvement ? Peut-on imaginer un vaste front populiste, dont les gilets jaunes pourraient être le creuset ?

    C’est très prématuré, même si certains y pensent. Dans l’immédiat, les gilets jaunes doivent résister à toutes les tentatives de division et de récupération. Ils ne doivent surtout pas présenter de listes aux européennes, ce qui ne manquerait pas d’affaiblir l’opposition. Ils doivent rester insaisissables, nuire le moins possible aux petits commerçants, écarter fermement les casseurs extérieurs au mouvement et, peut-être aussi, concentrer leurs revendications sur les thèmes qui peuvent le mieux fédérer la colère en exigeant, par exemple l’instauration du référendum d’initiative populaire.

    Et le « grand débat national » ?

    Guy Debord disait que, si les élections pouvaient changer quelque chose, il y a longtemps qu’elles seraient interdites. On peut en dire autant du « grand débat » lancé par Emmanuel Macron : s’il était vraiment susceptible de satisfaire les demandes des gilets jaunes, il n’aurait tout simplement pas lieu. Quand les parlementaires veulent enterrer un dossier, ils créent une commission. Pour gagner du temps, Macron propose – c’est à la mode – de « libérer la parole ». Le « grand débat », c’est le divan du docteur Freud : « Allongez-vous et racontez-moi vos misères, après, vous vous sentirez mieux. » Discuter plutôt que décider a toujours été la méthode favorite de la classe bourgeoise. Dans le pire des cas, le « grand débat » finira en eau de boudin. Au mieux, la montagne accouchera d’une souris. On fera des concessions ici ou là (taxe carbone, limitation de vitesse à 80 km/h, etc.) mais on ne touchera pas aux questions qui fâchent. C’est-à-dire à celles qui impliquent un véritable changement de société.

    Ceux qui sont, aujourd’hui, au pouvoir sont incapables de faire face aux demandes des gilets jaunes parce que le monde d’en bas leur est mentalement, culturellement, physiologiquement étranger. Ils s’imaginent qu’ils se trouvent devant des revendications de type classique (des « gens pas contents ») auxquelles on peut répondre par des effets d’annonce et des stratégies de communication appropriées. Ils ne voient pas qu’ils sont, en réalité, confrontés à une révolte proprement existentielle, de la part de gens qui, après avoir perdu leur vie à tenter de la gagner, ont découvert que ce qu’ils gagnent ne leur permet plus de vivre et n’ont donc plus rien à perdre. Au plus fort des manifestations, au moment où un hélicoptère survolait l’Élysée pour exfiltrer Macron en cas de besoin, ils ont pourtant eu peur. Physiquement peur – et cela, aussi, on ne l’avait pas vu depuis longtemps. Aujourd’hui qu’ils ont retrouvé leur mépris de classe, même quand ils s’essayent à l’empathie, ils ne pardonneront jamais à ceux qui leur ont fait peur.

    Les « Gaulois réfractaires » sont les dignes successeurs de ces « Gueux » (Geuzen) qui, dans les Flandres et les Pays-Bas du XVIe siècle, s’étant fait d’un nom péjoratif un titre de gloire, portèrent contre l’autorité du roi Philippe II d’Espagne un mécontentement populaire qui reçut l’appui de Guillaume d’Orange. La guérilla qu’ils menèrent pendant des années, à partir de 1566, finit par aboutir à la totale libération des Provinces-Unies. Un beau chant néerlandais célébrant leur souvenir s’intitule « Vive le Gueux ! » Il mériterait d’être repris aujourd’hui.  ■

    Intellectuel, philosophe et politologue
     Revue Eléments 
     
    Entretien réalisé par Nicolas Gauthier 
  • Les islamistes contrôlent la province d’Idleb au nord-ouest de la Syrie

    Antoine de Lacoste 

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    La province d’Idleb est la dernière province que l’armée syrienne n’ait pas reprise.

    Elle avait été conquise par le Front al-Nosra il y a plusieurs années, puis a servi de réceptacle aux islamistes qui acceptaient de se rendre sur les différents fronts syriens.

    C’est ainsi que plus de 50 000 hommes armés avec leurs familles se sont agglutinés dans cette zone de 3 millions d’habitants, devenue un véritable chaudron islamiste.

    Certains ont contesté cette stratégie russe consistant à négocier la fin plus rapide d’un combat en échange de la vie sauve et surtout du transport sécurisé de plusieurs centaines d’islamistes à chaque fois. Ils se demandaient comment résoudre le problème d’Idleb par la suite. La question est en effet pertinente mais il faut reconnaître que cela a permis de purger la presque totalité du sol syrien des poches islamistes qui étaient multiples. De plus, de nombreuses vies de soldats syriens ont ainsi été économisées.

    La donne a changé après l’invasion par la Turquie du nord de la Syrie afin d’empêcher les Kurdes de se tailler un territoire autonome trop important en plus de celui sous contrôle américain. L’armée syrienne avait auparavant massé des troupes au sud d’Idleb et n’attendait plus que le feu vert russe, indispensable pour l’appui aérien, pour lancer son offensive.

    Mais les pays occidentaux, Américains en tête,  avaient alors prévenu qu’ils interviendraient pour éviter une « catastrophe humanitaire » en cas d’offensive syrienne. Grandeur d’âme touchante surtout après que les Américains aient rasé Rakka, capitale de Daech, faisant des milliers de morts civils. Mais quand c’est le camp du bien qui bombarde, on appelle cela des « dégâts collatéraux.. »

    Erdogan, peu désireux de voir l’armée syrienne reconquérir Idleb, a alors proposé à Poutine de prendre le contrôle de la zone avec ses 50 000 miliciens issus d’anciens groupes djihadistes passés sous contrôle turc. De plus, il ferait reculer l’ensemble des groupes islamistes de 10 km à l’intérieur de la zone, permettant de faire cesser les bombardements, notamment sur Alep. L’installation de postes d’observation turcs et russes était en même temps décidée pour éviter toute déflagration imprévue.

    Poutine avait accepté afin de supprimer tout prétexte aux occidentaux pour intervenir.

    Mais HTS (Hayat Tahrir al Sham), le nouveau nom d’al-Nosra, n’a jamais tenu compte de cet accord. Pire : ses combattants viennent de déloger, sans trop de mal finalement, les hommes d’Ankara de leur zone.

    De ce fait, HTS contrôle maintenant la quasi-totalité de la province, où la charia s’applique bien sûr. Cette situation, humiliante pour Erdogan qui a montré son incapacité à contenir les islamistes, ne saurait durer.

    Sergueï Lavrov, le ministre russe des affaires étrangères, l’a confirmé en conférence de presse le 18 janvier : « Il est impossible de maintenir indéfiniment ce dernier foyer de terrorisme sur le territoire syrien. »

    Les choses vont bientôt bouger à Idleb. ■

    Retrouvez l'ensemble des chroniques syriennes d'Antoine de Lacoste dans notre catégorie Actualité Monde.

  • L'Union Royaliste Provençale* a rudement bien fait d'inviter André Bercoff pour une conférence-débat brillante ce 21 janvier 2019 !

     

    blue-wallpaper-continuing-background-wallpapers-bigest-images - Copie.jpgParticipants nombreux, salle pleine, ambiance chaleureuse ; assistance captivée par un André Bercorff au parler vrai, direct, nature, informé de tout, plein d'humour et même de drôlerie ; un débat sur la situation explosive de la France et du monde nourri par de nombreuses questions, une excellente organisation de la soirée, un riche buffet où les conversations se sont multipliées, pour clôturer la rencontre ... Nous n'en dirons pas davantage sur cet événement qu'une vidéo mise en ligne dans les prochains jours fera revivre intégralement, notamment pour nos lecteurs qui souhaiteront la regarder en France et ailleurs. Voilà de la bonne besogne, à l'honneur de l'Action Française.  Lafautearousseau

    En attente de la vidéo, nous nous contenterons ici de mettre en ligne les photos qui suivent, précédées de celles de la Messe célébrée auparavant en la Basilique du Sacré-Coeur - église comble - par Monseigneur Jean-Pierre Ellul, recteur de la basilique tandis que l'homélie - belle et profonde - était donnée par le père Antoine Deveaux.  

    Messe en la basilique du Sacré-Coeur

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    Conférence-débat 

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    André Bercoff - Jean Gugliotta, président de l'Union Royaliste Provençale

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    Vue partielle de l'assistance [1]

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    Vue partielle de l'assistance [2]

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    Un groupe de jeunes d'A.F. avec André Bercoff,  J. L. Hueber et G. Bertran de Balanda 

    1939836_498902073553223_1794630765_n - Copie.jpg* L'Union Royaliste Provençale est la fédération régionale du Centre Royaliste d'Action Française, 10 rue Croix-des-Petits-Champs 75001 PARIS

  • Décès de Monseigneur le comte de Paris hier matin

    Publié le 21.01.2019 - Actualisé le 22.01.2019

    50996716_2339078502793401_8992736811365171200_o.jpgLe Prince Jean de France a fait l'annonce officielle du décès du Comte de Paris en ces termes simples que voici :

    « J'ai la tristesse de vous annoncer le décès de mon père, Monseigneur le Comte de Paris, survenu ce matin. Je le confie à vos prières.

    Jean, Duc de Vendôme
    Domaine Royal de Dreux , le 21 janvier 2019 »

    Le prince Jean, devient Chef de la Maison de France. 

    Nous adressons à la Famille de France toutes nos condoléances et redisons au Prince Jean nos sentiments de fidélité et de respectueux attachement.     Lafautearousseau

     
    Le prince Jean de France
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