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  • 200 ans après...

              Comparons les deux cents premières années de la Royauté, et les deux cents (premières) années écoulées depuis la révolution: pour avoir une idée du bilan de l'oeuvre des Rois, prenons Bouvines (1214) comme référence par rapport à 987 (élection d'Hugues Capet, "début réel" de la Royauté), ce qui nous donne une période de 223 ans; et pour avoir une idée de l'oeuvre de la république, partons de 1792 (proclamation de la république/abolition de la Royauté) jusqu'à l'élection de Nicolas Sarkozy (2007), ce qui nous donne une période de 215 ans: comparons donc l'état de la France à la fin de ces deux périodes, sensiblement égales dans le temps, et nous verrons que cela se révélera très instructif...En 987, c'est très simple, la France, au sens où on l'entend aujourd'hui, n'existe pas: Hugues Capet règne sur un territoire exigu (en gros, l'Ile de France; encore doit-il y composer avec des seigneurs puissants et turbulents...); tous ses vassaux sont bien plus riches et plus puissants que lui (Flandres, Normandie, Bourgogne....); c'est d'ailleurs cette faiblesse qui fait sa force, puisque nul ne peut imaginer que ce roitelet de quinzième catégorie puisse représenter le moindre danger pour "l'établissement" féodal...

              Or, 223 ans et 6 Rois plus tard, Philippe Auguste remporte la victoire de Bouvines, c'est la naissance du sentiment national, la France existe bel et bien, elle est forte et puissante -quoiqu'encore très incomplète...- et l'art Roman puis l'art Ogival (ou Français, improprement appelé "gothique"...) la couvrent de ce "blanc manteau d'églises" qui sont l'une des caractéristiques de ses paysages et de son âme profonde; à l'intérieur du Royaume, les Capétiens se sont affranchis de la féodalité, et ils ont crée cet Etat Royal, moderne, qui va leur permettre -à eux, les plus faibles d'hier- de l'emporter sur les féodaux -eux les plus forts-; et, surtout de continuer à creer la France....; certes, la vie est dure pour le petit peuple, "la France d'en bas", mais elle l'est encore plus ailleurs en Europe; la France est en train de devenir "la Douce France"; et l'esclavage est déjà aboli de fait depuis longtemps sous Philippe Auguste (il durait encore, en Russie, au début du XX° siècle!...).

              Donc, à moins d'être d'une absolue mauvaise foi, force est de constater que les 200 premières années de la Royauté sont bénéfiques et positives: pour nous, c'est "la Royauté prouvée par l'Histoire" en quelque sorte! Qu'en est-il pour la République? Là, c'est l'inverse: on part du pays le plus grand, le plus riche, le plus peuplé, le plus puissant; la France est "LA" superpuissance de l'époque; tout le monde parle français, et c'est l'Académie de Berlin qui met au concours, en 1784, la question des "Raisons de l'Universalité de la Langue Française"; on bâtit "à la française" de Saint Petersbourg à Washington, et l'Europe se couvre de "petits Versailles"; l'art et l'esprit français s'étendent partout; un Roi français régne en Espagne et sur plus de la moitié de l'Amérique; où en sommes-nous en 2007, 215 ans après? Une seule phrase nous évitera les longs discours: encore candidat, le président Sarkozy s'écria un jour, durant sa campagne électorale: "Non, la France ce n'est pas fini!"; il n'est pas impossible, d'ailleurs, que ce thème soit l'un de ceux qui l'aient fait élire, car il reparlait aux Français de la France, de ses deux mille ans d'Histoire chrétienne, de son âme; il se rendait au Mont Saint Michel; il exaltait la grandeur, la fierté, la beauté "d'être français"...

              Mais précisément, aussi sympathique et positif soit-il, ce thème est révélateur de l'état dans lequel la république à mis la France, 200 ans à peine après avoir été instaurée: celui ou celle qui, sous Louis XV ou Louis XVI, se serait écrié "Non, la France ce n'est pas fini!", celui-là ou celle-là aurait été immédiatement interné à l'hôpital psychiatrique le plus proche, où l'on se serait empressé de lui passer la camisole de force, et de le bourrer de sédatifs et autres tranquillisants!....Oui, quand loin des discours et des idéologies on regarde froidement et lucidement l'état de la France 200 ans après 1792, lorsqu'on constate ce "grand bond en arrière", cet épouvantable désastre -national et international-, nous affirmons que si la Royauté était déjà "prouvée par l'Histoire" deux cents ans à peine après son instauration, la République, elle, est condamnée par l'Histoire, par les faits, par la simple constatation du réel, deux cents ans après qu'elle ait assassiné Louis XVI, acte fondateur des Totalitarismes modernes....

  • Au delà de l'ingratitude, une injustice et une folie...

            Les Serbes sont, dans l'ensemble, de grands amis de la France, aux côtés de laquelle ils se sont souvent trouvés, dans des alliances militaires et diplomatiques solides et durables. On l'a souvent oublié ces dernières années; on ne parle plus trop non plus de l'immense service qu'ils ont rendu à l'ensemble de l'Europe en luttant héroïquement contre l'invasion musulmane: s'il n'y avait eu les Serbes (mais aussi les Autrichiens et tant d'autres...) l'invasion musulmane de l'Europe, qui fut brisée à l'Ouest par la France -sous Charles Martel-  et par l'Espagne, entre 711 et 1492, (il a tout de même fallu huit cents ans!...) aurait peut-être réussi, par l'autre côté, par l'Est de l'Europe! mais, heureusement, il y avait les Serbes; eux qui, avec d'autres, n'ont jamais renoncé, jamais abjuré, jamais fui; et pourtant ils ont été conquis par les musulmans, et  ils ont énormément souffert de l'invasion musulmane, car celle-ci fut tout sauf douce et suave!: mais ils ont tenu bon, et nous leurs devons, pour une large part, d'avoir pu rester l'Europe, Libre tout simplement. Cela n'est pas rien, c'est même tout: qui le redit aujourd'hui? et quelle récompense vont-ils recevoir? La perte du Kosovo, coeur et mémoire de la Nation Serbe!

              C'est en effet à cette extrémité que veulent en arriver les Allemands, les Anglais et les Etats-Uniens, formant pour l'occasion une "alliance aberrante", qui joue contre l'Histoire de l'Europe, contre ses racines et contre ses Traditions: osons le mot: contre son Âme! En deux mots, on sait que les Allemands ont longtemps cherché à l'Ouest (contre la France) et à l'Est et au Sud (contre les Slaves, essentiellement...) ce qu'ils ont estimé être leur "espace vital" (la "Mitteleuropa"), et ce quelles que soient les orientations politiques de leurs dirigeants (Kaiser, Reich...); ce furent ainsi les allemands qui, au XX° siècle, donnèrent le coup de grâce aux serbes du Kosovo: l'invasion musulmane, et la féroce répression qu'elle généra, avait porté le premier coup à la démographie serbe au Kosovo et, durant plusieurs siècles, elle avait modifié -au profit des musulmans, amenés d'Albanie- la composition ethnique de la province; les Serbes y restaient cependant majoritaires: les troupes nazies et leurs alliées italiennes, logiques dans leur opposition "aux slaves", achevèrent en quelque sorte le travail des ottomans, et en favorisant eux aussi des déplacements de population ils rompirent définitivement l'équilibre démographique de la province, au profit des albanais musulmans...       

              Aujourd'hui, avec l'arrivée de la diplomatie états-unienne et de ses chimères pro musulmanes, c'est la troisième "intervention" anti serbe depuis cinq cents ans: après la monstrueuse punition collective -en tout illégitime- que constituèrent les bombardements de l'OTAN en 1999, les Etats-Uniens -jouant du reste, mais s'en rendent-ils bien compte?, les apprentis-sorciers...- veulent à tout prix donner des gages à ce qu'ils croient être des musulmans modérés en leur offrant le Kosovo et en favorisant l'Islam dans les Balkans, au détriment de ceux qui ont, jadis, sauvé l'Europe; ils croient s'attirer ainsi les faveurs du monde musulman: si tel est leur souhait, ils auraient mieux fait de ne pas attaquer l'Irak!...; quoi qu'il en soit, ce sont nos malheureux amis serbes qui sont victimes d'une répugnante injustice, et il semble bien qu'on n'y puisse plus grand'chose: qu'au moins les faits soient établis, et que ce soit dit clairement...

  • Adieu repentance (s) ?...

                 Dans sa manie de la repentance, et sa traque obsessionnelle de la discrimination, Jacques Chirac n'aura probablement pas de compétiteur, tellement "il est allé trop loin", tellement il a été excessif jusqu'à la caricature; il n'aura probablement pas -du moins on peut l'espérer- de successeur: en effet Nicolas Sarkozy, tout au long de sa campagne ou à peine élu, a clamé sa volonté de restaurer l'image de la France, son désir de faire à nouveau aimer la France, et donc d'en finir avec cette mode envahissante et malsaine de la repentance, cet acharnement ahurissant à dénigrer le passé national, qui n'est au fond qu'une façon de se haïr soi-même: à qui pensait-il, lui qui se veut le champion de la "rupture" ? poser la question c'est y répondre...

                 Et si notre nouveau Président, désireux de tenir ses promesses et d'être logique et cohérent avec lui-même, faisait un peu le ménage dans certaines lois (plusieurs à supprimer...), certaines subventions (encore plus à supprimer!...) et certains organismes tout récents, crées sous et par Jacques Chirac ? avec comme excuse ou justification la soi-disant volonté de traquer on ne sait quelles discriminations ou quel racisme imaginaire, n'existant que dans son esprit à lui: car s'il y a bien un danger raciste en France aujourd'hui, c'est d'un racisme anti-français qu'il s'agit, d'une haine caractérisée de l'héritage français, d'un refus et d'un rejet du "capital transmis" qui constitue notre être profond! Ne prenons qu'un seul exemple, celui de la "Halde", voulue et crée par Chirac et confiée à Monsieur Schweitzer: le simple fait d'avoir créé une "Haute Autorité" pour lutter contre le racisme ou les discriminations n'est-il pas en soi révélateur d'un drôle d'état d'esprit, et disons le franchement d'un réel mauvais esprit?

                 Il n'y avait donc rien de plus urgent ou de plus pressé à faire? Ne fallait-il pas plutôt mettre le temps, l'argent et l'energie dont on disposait à rendre de nouveau sûres nos rues, nos trains ou nos métros? Monsieur Chirac, qui vit dans les Palais, ne se fait jamais agresser, ni dérober son portable, ni voler ou dégrader sa voiture....; non, bien sûr, et ce qui l'intéresse vraiment, qui mobilise son énergie c'est la lutte contre le racisme! alors que tout le monde sait que les "Jeunes" (ceux qu'il appelle "les enfants de la République" !) sont responsables d'une sur-délinquance bien réelle, dont la part dans la délinquance globale  se situe, selon les endroits, entre 50% et 80%, d'après plusieurs évaluations différentes, mais toutes concordantes...Mais pour assurer la sécurité des personnes et des biens, qui est pourtant le rôle de base, le rôle premier de toute autorité, de toute société digne de ce nom, là point de "Haute Autorité" ! Le fait est révélateur, tout à fait éloquent, et semble se passer de commentaires...

                 Remarquons une dernière chose, assez savoureuse, pour conclure: on pourrait tout aussi bien "juger le juge" ! en effet monsieur Schweitzer, chargé donc de juger éventuellement les comportements de tout un chacun, s'est mis lui-même "hors la loi", dans un domaine fort différent il est vrai; on sait que l'un des premiers articles de la constitution républicaine stipule que "le Français est la langue officielle de la République française"; or, du temps où il dirigeait Renault, monsieur Schweitzer a cru bon d'obliger tous ses ingénieurs à travailler en anglais; cette disposition a été supprimée depuis, mais pas parce qu'elle était scandaleuse, seulement parce qu'elle était "contre productive"! voilà donc quelqu'un qui foule au pied une loi de la république -accessoirement la Culture Française...ce qui est autrement plus grave et scandaleux-, et à qui "on" demande de venir jouer les monsieur Loyal ou les arbitres du bien et du mal : bravo Chirac!

  • Rions un peu: Scandale à Marseille!...

              Aux armes, citoyens! Cette situation ne peut plus durer! Le vendredi 4 mai, vers les minuit, un gentil groupe d'une vingtaine de nos chers "jeunes", si doux et si aimables, s'amusaient tranquillement dans le métro; ils jouaient, comme de charmants enfants qu'ils sont, aux même jeux que nous dans notre jeunesse: quelle grâce! et comme ils sont touchants! ils jouaient, avec l'innocence de leur âge, à bloquer la fermeture des portes des rames du métro, empêchant la circulation de celui-ci, et "chahutaient plus que de raison" dans les rames; (en clair: ils cassaient tout!). C'est alors qu'une bande de quatre fascistes de la RTM, des adultes, ont lâchement agressé nos chers "jeunes" et ont prétendu leur interdire de jouer! Ces quatre adultes sont bien connus: membres de la CGT, ils écument régulièrement les lignes du métro afin d'agresser et, disons le tout net, de traquer les "jeunes"; ceux-ci, provoqués, se sont évidemment défendus et ont envoyé leur quatre agresseurs à l'hôpital.

              Croyez-vous que les brutes fascistes et anti-jeunes de la CGT en seraient restés là? Que non! Avant d'aller perturber les services hospitaliers, ils ont fait appel à trois équipages de police et à un renfort de CRS pour que la traque aux gentils ados se poursuive! Dans quel pays vivons-nous? Devant la gravité des faits, et face à une attaque aussi grave contre nos "jeunes", manifestement préméditée, nous exigeons des comptes, ainsi qu'une prompte et exemplaire punition pour les quatre agents-agresseurs de la RTM; ainsi que pour leurs complices policiers et CRS; nous demandons également la mise en jugement immédiate du maire de Marseille, coupable suprême du racisme anti "jeunes" dont nous voyons tous les jours les effets dans notre ville; nous exigeons la ré-installation symbolique de la guillotine sur le Vieux-Port, afin de rappeler aux racistes de la RTM-CGT qu'il ne faudrait pas qu'ils aillent trop loin!...

              Nos "jeunes" ont le droit de s'amuser, il faut bien qu'ils se défoulent, et la scandaleuse agression dont ils ont été victimes justifie amplement, selon nous, un rétablissement temporaire de la peine de mort, rétro-active et immédiate, comme au bon vieux temps de tonton Maximilien: à l'époque, on savait éduquer les gens, on savait comment faire pour qu'ils filent droit, et pour maintenir la pureté républicaine; ce n'était pas comme aujourd'hui, on ne laissait pas faire n'importe quoi, l'ordre régnait à Paris, et ailleurs...Il est urgent d'en revenir aux saines et bonnes moeurs d'autrefois, et de reprendre la grandiose devise des grands ancêtre guillotineurs: "Ci-gît toute la France!" et nos "jeunes" pourront enfin, à nouveau, jouer en paix, dans des rues et un métro rendus à leurs doux jeux, si mignons, si innocents...

  • Ségolène parle d'Olympe..

    On savait que Ségolène Royal avait un gros problème avec la langue française: le plus bel exemple n'étant pas la savoureuse " bravitude" mais bien plutôt la "spiritualité" d'Arnaud Montebourg. Cherchant à excuser ce dernier d'un jeu de mot douteux, Ségolène a bien voulu lui pardonner, en martyrisant au passage la langue française, et en se couvrant une fois de plus de ridicule, puisqu'au lieu de parler de son humour ou de sa drôlerie, elle a évoqué sa "spiritualité", croyant évoquer par là un être "spirituel", c'est à dire drôle, maniant un humour délicat et raffiné, tel un Guitry par exemple; c'était évidemment "humour" qu'il fallait employer, le terme de "spiritualité" se référant bien sûr à des auteurs traitant de spiritualité ou de religion, comme Saint Augustin ou Pascal, dont on conviendra que Monsieur Montebourg est malgré tout assez éloigné...

    On vient de découvrir que Madame Royal a également un problème avec l'Histoire: durant la campagne électorale, elle s'est lancée dans un vibrant éloge d'Olympe de Gouges, et n'a pas hésité à demander le transfert de ses cendres au Panthéon !

    Bigre ! Sait-elle vraiment qui fut Marie Gouze, plus connue de nos jours sous son pseudonyme d'Olympe de Gouges (nettement plus flatteur, on en conviendra...); et surtout comment et pourquoi elle mourut, à 45 ans, guillotinée par Maximilien et sa bande de fous furieux ?

    Ségolène se moque bien de l'Histoire, et préfère nous sortir  son vernis culturel, selon le principe bien connu: la culture, c'est comme la confiture, moins on en a, plus on l'étale ! Elle pense donc que notre chère Marie/Olympe fut simplement une féministe, et c'est au moment de la Journée des Femmes que Madame Royal a fait cette proposition saugrenue de transfert de cendres au Panthéon.

    Pourquoi saugrenue ? Tout simplement parce que Marie/Olympe, royaliste, adopta les idées de la révolution au moment où, pour tout le monde, cette révolution semblait n'être que l'évolution nécessaire dont avait rêvé, par exemple, un Mirabeau... Mais assez vite, par la suite, révoltée et effrayée par les horreurs dont Danton, Robespierre et consorts se rendirent coupables, et lucide sur les conséquences de ce qui ne pouvait plus que déboucher sur le Totalitarisme, Marie/Olympe redevint la royaliste qu'elle avait été. Elle eut le courage, la noblesse de coeur et la grandeur d'âme de défendre Louis XVI et de rédiger des pamphlets contre Marat et Robespierre. Un tel courage ne pouvait bien sûr pas rester impuni: Robespierre la fit guillotiner le 3 novembre 1793, trois semaines après Marie Antoinette, à qui elle avait crânement adressé le préambule de sa "Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyennne".

    Alors, Madame Royal, de grâce: si vous voulez vous servir chez nous, piller nos auteurs et encenser nos grandes figures, surtout ne vous gênez pas, faites comme chez vous et allez-y de bon coeur ! soyez juste honnête, intellectuellement s'entend, et citez vos sources; citez-les complètement; et n'omettez pas, dans le cas de Marie/Olympe, de dire la simple vérité: elle a été assassinée par vos amis, ceux qui ont instauré le Totalitarisme; ceux qui ont mis la France, l'Europe et le monde à feu et à sang;  ceux qui ont pratiqué le premier génocide, dont tous les autres découlent, de Hitler et Staline à Mao et Pol Pot; ceux qui avec leurs Colonne Infernales ont inventé et préfiguré les Waffen SS, et qui en Vendée ont réalisé le premier Oradour sur Glane...   

  • Surtout, ne pas se taire !...

    L'auto-censure progresse à grands pas dans notre cher et beau pays, et avec elle c'est la perte de "La" liberté fondamentale qui se profile à très brève échéance, c'est à la disparition du bien le plus précieux que nous conduit inexorablement la république: oui, nous sommes en train de perdre notre liberté de pensée, de parole et d'action, de discussion; oui, nous sommes en train d'être dépossédés de notre droit à dire ce que nous pensons; oui, nous sommes en train de nous habituer tout doucement à "réfléchir" (!) avant de faire ou de dire quoi que ce soit; beau résultat pour la république, en partant de l'extraordinaire liberté et du foisonnement intellectuel stupéfiant dont nous jouissions sous Louis XV et Louis XVI! Regardez l'affaire Redecker hier, regardez l'affaire de Sartrouville aujourd'hui: une église vient d'être construite dans un quartier de la ville, mais cette église n'aura pas de cloches; pourquoi? les autorités religieuses disent que "c'est pour ne pas choquer les musulmans"!

    On peut très bien faire une église ou une chapelle sans cloches, pour toutes sortes de motifs; parce qu'on n'a pas d'argent, parce qu'on  est proche d'un hôpital, pour mille raisons valables; cela peut très bien se concevoir; mais  la raison avancée par l'évêché est inadmissible: pourquoi? justement parce que ce n'est pas une "raison" au sens premier du mot dans ce cas, c'est à dire que ce n'est pas une justification recevable; rappelons que s'il y a aujourd'hui des populations musulmanes en France, leur présence peut tout à fait être considérée comme illégitime, puisque le Peuple souverain n'a jamais exprimé son souhait de voir ces populations vivre ici; et il n'a pas exprimé son souhait tout simplement parcequ'il n'a pas pu le faire, puisqu'on les lui a imposé sans jamais lui demander son avis! qu'on ne vienne donc pas, maintenant, dire au Peuple qu'il doit changer ses moeurs, coutumes et habitudes, arguant d'un fait accompli, qui pourra à tout moment -puisqu'illégitime- être remis en cause...

    Non, nous ne sommes pas d'accord pour que Monsieur Redecker soit réduit au silence; non, nous ne sommes pas d'accord pour qu'on construise une église sans cloches si c'est pour "ne pas choquer les musulmans": ceux-ci savent très bien ce qu'ils font en venant s'installer dans un pays de tradition chrétienne; si ces traditions les choquent, ils peuvent rester chez eux ou aller ailleurs, mais en aucun cas ce n'est au pays d'accueil de changer ses habitudes, c'est aux nouveaux arrivants qu'il incombe de se conformer aux lois et aux moeurs qu'ils trouvent en arrivant...Soyons encore plus clairs; il y a deux Islam, nous avons le droit et surtout le devoir de le dire: un Islam avec lequel on peut discuter (il y a un imam très raisonnable à Marseille...) et un autre Islam que nous n'aimons pas, que nous ne voulons pas chez nous; un Islam qui exclut dès qu'il est majoritaire. On voit cela à Constantinople ou en Egypte: il y avait 100% de chrétiens à Constantinople lors de la conquête musulmane de 1453, il y en a quasiment 0% aujourd'hui! même les nazis n'ont pas réussi cela en Allemagne avec les Juifs, qui ont pourtant subi la Shoa...; le cas de l'Egypte est encore plus révélateur: les Coptes, qui sont les premiers habitants du pays, sont comme des étrangers sur leur propre terre depuis qu'ils ont été conquis par les musulmans....

    Il est plus que temps de ne plus tout laisser passer sans jamais réagir; nous voyons se multiplier les signes avant-coureurs de ce qui nous attendrait, si nous devions continuer à tout laisser faire sans jamais rien dire: nous ne voulons pas être, et il est temps d'affirmer que nous ne serons jamais, les Coptes de la France (ceci étant dit, bien sûr, sans aucun mépris pour les Coptes, avec au contraire beaucoup d'amitié et de solidarité spirituelle avec eux, à cause de toutes les souffrances qu'ils endurent noblement pour leur extraordinaire fidélité à Jésus-Christ, qui force le respect et l'admiration...). Nous avons la chance de vivre dans un pays de Liberté, une Liberté qui nous vient de l'Antiquité gréco-romaine et de nos 2000 ans de culture jyudéo-chrétienne. Nous ne laisserons pas dilapider cet héritage, cela dût-il "choquer" quelques musulmans qu'il convient de "remettre à leur place" courtoisement mais fermement...