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absentéisme scolaire

  • Christian Vanneste demande à Luc Chatel de mettre fin à la cagnotte contre l’absentéisme

              Dans notre note du 6 octobre -(Rions un peu d'eux). Lutte contre l'absentéisme scolaire : Et pourquoi pas les péripatéticiennes à l'oeil, tant qu'on y est ?.....- (1), nous avons réagi à l'ahurissante proposition de payer les élèves pour qu'ils viennent en cours.

              Nous ne sommes évidemment -et heureusement- pas les seuls à penser que l'introduction d'une certaine dose de bon sens dans notre pauvre Ministère de l'Éducation nationale ne ferait pas de mal au-dit Ministère. L'excellent blog SOS Éducation ( http://www.soseducation.com/ ) répercute aujourd'hui la question de Christian Vanneste, député du Nord, au ministre de l’Éducation nationale, Luc Chatel, publiée au Journal officiel le mercredi 3 novembre :

    M. Christian Vanneste alerte M. le ministre de l’Éducation nationale sur l’effet désastreux dans l’opinion de cette idée d’envisager, même à titre expérimental, une récompense financière pour une classe dont les élèves renonceraient à l’absentéisme. Aussi il lui demande ce qu’il compte faire pour mettre fin à cette fâcheuse innovation et lui demande au contraire de lui indiquer les mesures qu’il compte prendre dans l’intérêt de tous pour valoriser et récompenser le mérite et l’effort dans l’acquisition des connaissances chez les élèves.

    (1): dans la Catégorie "Éducation".

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  • Quand Isabelle Hannart et SOS Education répondent intelligemment et sereinement aux inconscients du Ministère.

                  "Même à prix d’or, il est vain de vouloir instruire quelqu’un contre son gré." Nous ne pouvons qu'approuver à 100% la démonstration sereine et pleine de bon sens que fait Isabelle Hannart de l'absurdité, de l'immoralité et -aussi ...- des effets pervers inévitables qu'a, et qu'aura, la stupéfiante et dangereuse idée (?) de payer les élèves pour qu'ils viennent en cours (1).

                  On trouve cette excellente réfutation dans le non moins excellent blog de SOS Education ( http://www.soseducation.com/ ) que nous citons régulièrement dans ces colonnes, et qui représente l'exacte antithèse de la démagogie et -n'ayons pas peur des mots- de la cinglerie qui prévalent depuis si longtemps au Ministère, et qui ont tué l'Ecole.

    (1) : voir notre note "(Rions un peu d'eux). Lutte contre l'absentéisme scolaire : Et pourquoi pas les péripatéticiennes à l'oeil, tant qu'on y est ?.....", du 6 octobre, dans la Catégorie "Education".

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  • (Rions un peu d'eux). Lutte contre l'absentéisme scolaire : Et pourquoi pas les péripatéticiennes à l'oeil, tant qu'on y est ?...

                 (Castigat ridendo mores, disaient les Anciens. Partagés entre la stupéfaction, la révolte et l'écoeurement, il nous a finalement semblé que -comme le dit l'adage- mieux vaut en rire, après tout.... Voici donc notre réaction à l'ahurissante et abracadabrantesque proposition de certaines autorités rectorales qui, dans leur grand'guignolisme affligeant et consternant, n'ont plus d'autorité que le nom....)

                 10.000 euros par classe si les élèves viennent en cours ! Qu'on pourra utiliser, par exemple, pour un voyage scolaire...

                 Il y a un an, environ, on avait eu une première ébauche de cette cinglerie : des places de cinéma pour endiguer l'absentéisme....

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  • Adieu Darcos (3/3) : III, "La" vraie réforme...

                La toute première chose à faire est d'agir sur la durée de la scolarité obligatoire. Celle-ci a d'abord été imposée de 6 à 13 ans révolus (loi de 1882), puis a été allongée par la loi de 1936 à 14 ans révolus. En juin 1947, le Plan Langevin Wallon proposa de la porter à I8 ans, ce qui ne fut partiellement réalisé qu'à partir de 1959, date à laquelle elle fut portée à 16 ans révolus.
     
                Ce mouvement insensé et néfaste d'une durée de scolarisation en perpétuelle expansion, joint au refus de toute sélection, doit être inversé: la scolarité obligatoire doit être ramenée à quatorze ans, et s'accompagner d'un développement massif de l'apprentissage, avec son corollaire: la revalorisation effective du travail manuel, dans toutes ses acceptions et l'affirmation permanente de son éminente dignité.
     
     
     
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