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Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
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Pendant que la France compte ses morts, le ministre de la Santé regrette qu’on n’avorte pas plus. Une réflexion sur le sens de cette étonnante préoccupation “sanitaire”.
Au début du confinement, Olivier Véran a évoqué une « réduction inquiétante du recours à l’IVG » à cause de l’épidémie de coronavirus. Il répondait, lors des questions au gouvernement, à l’interpellation de la passionaria de l’avortement, la sénatrice Laurence Rossignol, qui le sommait de faire quelque chose pour inverser cette tendance.
Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, est intervenue à l’Assemblée nationale pour demander que les lieux de culte soient rouverts dès le 11 mai. Elle n’a pas été entendue par le gouvernement… Sa réaction au micro de Boulevard Voltaire.
Quand nous étions mômes (et nous l’avons tous été !), nous nous sommes tous aperçus qu’à l’école, en composition surveillée, le dernier à rendre son devoir n’avait pas nécessairement la meilleure note ! Chacun avait compris qu’il n’y avait aucune relation entre la valeur d’un travail et le temps passé à le fournir.
L’émission du service public sur Thérèse de Lisieux a créé l’événement. De quoi nous faire réfléchir sur la sensibilité de nos contemporains quant au mystère chrétien. L’exemple de la sainteté constitue la meilleure médiation d’approche de la foi.
Lorsque le jeune et sémillant Emmanuel Macron a été nommé ministre de l’Économie, il sut séduire nombre de gros poissons de l’industrie et de la finance. Il fit même forte impression sur notre chroniqueur, qui s’imagina un temps candidat à la députation, afin de porter ses valeurs d’économie sociale. La tentation fut éphémère, mais les motivations demeurent : le cynisme le plus assumé peut-il néanmoins servir le Bien commun ?
En relisant Marie Madeleine Martin... " Toutes les révolutions ont été faites par des livres » Bonald
On ne peut distinguer le social du politique. C’est une grave erreur (XVIIIe siècle) et une utopie d’imaginer une distinction entre les deux. De tous temps il y eut des idées « subversives » voir destructrices, nommées idées nouvelles. Nous voulons dire des idées qui, selon l’étude attentive du passé, bref l’empirisme, entraînent les sociétés vers le chaos et finalement l’abime…Ces idées sont souvent sortis d’esprits tourmentés et chimériques, essayant d’imposer leurs idées, souvent égoïstes et mues par des cerveaux dérangés, à une société, qui selon eux, devrait être construite à leur image…En général et l’histoire, le montre continuellement, les utopies finissent vite dans le chaos, le sang et les charniers.
Cette question devrait résonner dans toutes les têtes d'un peuple libre et conscient de lui-même.
A qui profite les faillites annoncées des petites entreprises locales et des indépendants ? A qui profite les emprunts, seule solution pour survivre au confinement ? Quand tu seras licencié, vers qui te dirigeras-tu pour trouver du travail, si ce n'est vers les géants de l'industrie et du commerce, qui n'ont que peu souffert du confinement ? Qui a profité de la misère sociale et de la solitude créées par le confinement, si ce n'est Netflix, le porno, les fast-food, les grandes chaînes de distribution, Amazon et compagnie ? La prolétarisation - et donc la servitude - passe par l'anéantissement des métiers, ne l'oublions pas !
Le dernier mercredi de la saison 2018-2019, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Philippe Delorme pour son livre “La légende de Notre-Dame”. L’incendie qui a ravagé Notre-Dame de Paris le 15 avril a été ressenti par la plupart des Français comme une catastrophe nationale, qui a aussi touché le monde entier. L’intensité des débats sur la restauration de la cathédrale témoigne de l’ampleur des enjeux symboliques inscrits dans le monument. Pour ressaisir cette symbolique religieuse et historique, il importe de lire ou de relire les écrivains et les poètes qui ont évoqué Notre-Dame au fil des siècles. Historien et journaliste, Philippe DELORME les a rassemblés dans un ouvrage qui vient de paraître aux éditions du Cerf. Pour raconter « La légende de Notre-Dame », voici Rabelais, Victor Hugo, Jules Michelet, Paul Claudel, Charles Péguy, Louis Aragon, Francis Carco… Avec notre invité, nous revivrons le Moyen Age et la Révolution française, le sacre de Napoléon Ier et la libération de Paris, les cérémonies d’hommage au général de Gaulle en 1970 et à François Mitterrand en 1996. Puis le grand mouvement de solidarité autour de la cathédrale dévastée…