Sur nos pages fb : Stéphane Courtois répond à Poutine sur l'Ukraine...

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L'apocalypse ukrainienne
Comme Emmanuel Macron était persuadé entretenir une relation spéciale avec Poutine, il a cru, ou voulu faire croire, qu’il arriverait à retenir la Russie. La France est donc le seul pays occidental à ne pas avoir encouragé son millier de ressortissants à quitter l’Ukraine. On ne sait pas s’il faut rire aigrement de la naïveté du président français, croyant être diplomate tout en humiliant régulièrement la Russie depuis cinq ans, ou s’indigner d’un calcul purement électoraliste, d’ailleurs salué par un grotesque visuel du parti présidentiel osant proclamer, quelques jours à peine avant l’invasion de l’Ukraine, que Macron avait ramené la paix. La suite ICI
La guerre (par Hilaire de Crémiers)
Il est difficile de savoir si Poutine a réfléchi à toutes les conséquences de sa décision d’envahir l’Ukraine. Les premiers résultats sont là. Le sentiment national ukrainien s’est ressaisi. Plus il y aura de morts, plus il y aura d’attaques de villes – et ce n’est pas fini –, plus la population dans sa majorité se rebiffera devant de tels procédés. Il devait penser que l’affaire serait expédiée en un rien de temps. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Si la guerre s’installe dans la durée, il n’échappera pas à une résistance qui trouvera dans le passé des motifs puissants de se durcir. La suite ICI…
Conseil constitutionnel : l’OVNI de la République ? (par Jean Bouër)
En 1958, lorsque de Gaulle mit la Constitution sur les rails, le Conseil constitutionnel ne devait pas être cette instance influente où l’on place certains proches. En 2022, à l’heure de la démocratie d’opinion et des nominations verrouillées, il en va autrement, alors même que cette institution rend des décisions importantes. Avec le Conseil constitutionnel, nous avons un « cocktail » qui résume certaines tares des démocraties modernes : opacité, expertocratie, fait du prince, recasage… La suite ICI…
L'Homme nouveau, mythe moderne (par Christophe Boutin)
Les actuels débats sur le transhumanisme imposent de s’interroger sur sa généalogie. Entre les deux guerres, c’est la notion d’« homme nouveau » qui traduit la volonté d’adapter l’homme aux nouvelles conditions de son existence et, notamment, de tirer les conséquences d’un rapport à la technique redéfini lors du Premier conflit mondial. Un ouvrage collectif fait découvrir les réflexions convergentes venues de sources diverses, et rappelle que les régimes totalitaires furent loin d’avoir le monopole, ou même la primauté, de cette quête. La suite ICI…
"Affaire d'Ukraine" : d'accord avec Jean-Michel Cadenas :
(Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP : contribution, commentaires, informations, renseignements, prêt de photos etc... bienvenus; retrouvez l'ensemble de ces documents dans notre Catégorie : Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP)
43 : À Senlis et à Chantilly, au mariage du prince Jean et de la princesse Philoména... (3/4)
Dans actuBordeaux :
Voici la Petite Feuille Verte n°87. Après l’examen des relations entre le Saint-Siège et l’Université-Mosquée d’El-Azhar sous les pontificats de Paul VI à Benoît XVI (PFV n° 86), celle-ci présente les changements intervenus dans ces rapports depuis l’élection du pape François en 2013. Il y est notamment question de la Déclaration intitulée "La Fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune", que les deux responsables religieux ont signée conjointement à Abou Dhabi le 4 février 2019.
Outre les circonstances de l’événement, Annie Laurent analyse le contenu du texte et ce qu’il faut en attendre dans le domaine du dialogue islamo-chrétien...
• Les larmes, à l'occasion du départ de Jean Pierre Pernaut :
À Dieu, Jean-Pierre…
• Le rire, c'est à propos de BHL...
PAN !
L'enquête de France 3 sur l'Action française...
Très honnête, bravo à France 3 pour ce moment de vraie information; juste, pour la journaliste - qui ne le disait d'ailleurs pas d'une façon ironique ou hostile - nous ne voulons pas "restaurer" la Monarchie mais "ré-instaurer" la Royauté, deux nuances de taille...
1. Un Président pour la République,
Si ce n’est qu’un Président pour la République que nous cherchons à désigner, alors le choix est ouvert et vaste, il y a pléthore de candidates et de candidats.
Ils sont tous très motivés et l’on ne peut douter de leur intérêt pour la fonction !
Marianne, puisque c’est ainsi que l’on surnomme la République, n’est pas très exigeante pour se trouver une compagne ou un compagnon quinquennal…
S’amouracher de la première ou du premier venu ne porte pas à conséquence, nous le savons, quelque soit la couleur choisie !
Rouge sang, rose pâle, vert pomme, bleuâtre, bleu-marine, multicolore…
Tous les Français seront repeints couleur caca d’oie !
Mais quelle importance, le Président Quinquennal est un produit jetable à l’obsolescence programmée !
Nous le savons et les candidats aussi, ils sont à courte-vue, horizon limité. Marianne n’attend pas grand chose de ce mariage arrangé, c’est un conjoint de pacotille, un rôle principal certes mais dans une pièce qui sera un bide de toutes façons !
Mais malgré les étonnements feints, tout le monde le savait, acteurs et spectateurs.
La prochaine course à l’échalote nous donnera un vainqueur de mât de Cocagne, plus malin et plus roué que ses adversaires !
Pour nous, les électeurs, une petite déception de plus, car nous n’y croyions plus !
Depuis le 1er Président de la République (Louis Napoléon Bonaparte), la France n’a jamais retrouvé l’aura d’antan.
Le bon vieux temps des « Belles Dames du temps jadis ».
Dans la galerie des ancêtres, il y a une « coupure », et (c’est le moins que l’on puisse dire), entre le Roi martyr Louis XVI et ses ersatz successeurs…
Qui pour rivaliser avec les quarante rois qui ont fait la France ?
Et qui sera le Poisson d’avril2022 ?
2. Un Roi pour la France ?
Si seulement, nous imaginions cette option possible ?
Mais la République, a bien travaillé, elle a rendu toutes tentatives mémorielles vaines. Il reste encore quelques rayons de…Soleil pour éclairer Versailles, mais c’est à peu près tout ce qu’il subsiste dans le souvenir royal Français ! ! !
C’est triste ; mais c’est ainsi, notre pays, la République Française est née en 1789, avant il y avait Astérix et les Gaulois…
Et nous les « Royalix », que représentons-nous ?
Quelques béliers qui blatèrent pour signaler l’approche des loups affamés.
Et voilà bien toute notre angoisse : où est passé le pâtre ?
Certes, il est là, mais pas à notre tête !
Tandis que les républicains se pavanent en uniforme et jouent les matamores !
« Notre pâtre est sur le rocher » ! Et c’est nous qui crions dans le désert, notre France est jetée en pâture, et le pâtre ne vient pas jusqu’à nous ! Certes nous avons démérité, mais la faute est ancienne, nous méritons le pardon, le Roi peut tout…Ah ! Si notre bon Roi savait ?
Une Déclaration des Droit des Français devrait le préciser :
« les Français ont Droit à leur Roi ! »
Prince, entendez notre plainte monter jusqu’à vous !
Ne laissez pas le royaume en déshérence !
Les Français, même s’ils l’ignorent ne veulent pas élire le gagnant de la course à l’échalote.
Ils veulent pour chef un berger tel David qui deviendra grand Roi.
Ils veulent que la Providence leur désigne l’étoile qu’ont suivi les Rois Mages car :
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42 : À Senlis et à Chantilly, au mariage du prince Jean et de la princesse Philoména... (2/4)
En envahissant l’Ukraine, Vladimir Poutine en a surpris plus d’un, à commencer par votre serviteur. Car l’enjeu est immense et les risques considérables pour le président russe mais aussi pour la Russie elle-même.
Certains rappellent qu’il en est tout de même à sa quatrième guerre. C’est un peu exagéré et le contexte était, à chaque fois, bien spécifique mais toujours en lien avec les frontières russes menacées.
Alexandre del Valle (chez Morandini; à écouter, même si l'on reste sceptique lorsqu'il classe Sarkozy parmi les gens "raisonnables" : Védrine, oui, bien sûr, lui qui ferait un excellent Ministre des Affaires étrangères du Roi de France; mais Sarkozy...) :
"Poutine est peut-être paranoïaque, mais les provocations atlantistes ne cessent depuis 25 ans. Les US avait promis en 1991 de ne pas étendre l’OTAN vers l’Est. Envoyons un politique européen crédible pour négocier une sortie de crise."
https://www.youtube.com/watch?v=OHs7FcDlSf0&feature=youtu.be
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41 : À Senlis et à Chantilly, au mariage du prince Jean et de la princesse Philoména... (1/4)
Valeurs actuelles. Vous vivez aujourd’hui dans le sud de la France, en territoire rural. L’occasion pour votre famille de garder le contact avec une certaine France profonde ?
Prince Jean d’Orléans. Depuis le retour d’exil de mon grand-père, notre famille a toujours été implantée au milieu du village qu’est la France. Mon grand-père avait parcouru le pays pour connaître la France en profondeur, ce que j’ai fait ensuite un certain nombre d’années, jusqu’à la sortie de mon livre « Un Prince Français » (Pygmalion). Un tour de France des différentes régions pour prendre le pouls du pays. Aujourd’hui dans notre environnement immédiat, j’ai eu l’occasion de revoir le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, de visiter l’école Ozar Hatorah de Toulouse, qui avait été visée par Mohammed Mérah en 2012. Je rencontre aussi un certain nombre d’acteurs politiques, économiques et sociaux. Pour moi, c’est vital.
Quel est le but de ces rencontres ? Quel sens voulez-vous donner à votre présence ?
Il faut savoir ce que pensent les Français, dans leur spécificité, prendre la mesure des attentes du pays dans l’ensemble de ses composantes. C’est une démarche discrète mais nécessaire pour être capable de réfléchir aux mesures à prendre. On ne peut pas prendre des décisions sans voir la réalité des choses.
A la sortie de ces rencontres, dans quel état se trouve la France aujourd’hui, de votre point de vue ?
La France est sous contrainte et perfusion. Avec la pandémie, les Français ont dû adapter leur façon de travailler. Malgré toutes les restrictions imposées, dont on ne sait pas si elles ont vraiment servi, de nombreux Français ont continué à diriger leurs entreprises, à garder leurs clients, etc. Nous avons vu des circuits courts se développer, des solidarités se mettre en place. Nous avons pu ainsi garder notre allant, nos villes « franches », notre liberté d’entreprendre…
2022 est une année présidentielle. Allez-vous jouer un rôle d’aiguillon, d’observateur, d’acteur ?
J’espère pouvoir le faire sereinement. Ces échéances sont importantes. La France doit retrouver une certaine dynamique, assez absente ces deux dernières années. Le débat est resté sur cette pandémie alors qu’il y a de nombreux autres sujets qui préoccupent nos compatriotes : la justice, la sécurité, le travail, la retraite, la santé… L’hôpital est malade, depuis des années. La pandémie n’a fait que révéler ces difficultés. Il y a aussi un nombre de fractures incroyables. Les pauvres sont laissés de côté au profit d’une société française qui dérive vers l’oligarchie. Il n’y en a que pour les privilèges. La présidentielle doit remettre au centre toutes ces problématiques.
Doit-on conserver ce mode de gouvernance ?
C’est une question institutionnelle. Avec le quinquennat, le modèle de la Ve République ne colle plus. Soit on revient au septennat pour avoir deux rythmes qui cohabitent et collaborent : le rythme long du président de la République qui gère les affaires importantes et qui donne les directions, s’occupe de la cohésion nationale. Et le gouvernement, avec un rythme différent, qui peut être d’un parti opposé et qui joue sa partition et gère le quotidien. Avec ce dernier quinquennat, on observe un glissement institutionnel, vers une vision égoïste des choses et des privations de libertés individuelles et publiques. Ce n’est pas un bon système. S’ajoute à cela l’élection qui favorise le clientélisme. Une fois élu, il faut une année pour se mettre en place, trois ans pour exercer et une année pour préparer les prochaines élections. Que peut faire un président de la République ? A côté de cela, il n’y a plus de contre-pouvoir. Les syndicats ont disparu, l’Église est empêtrée dans ses difficultés, les hautes chambres et les ministres sont pris dans des liens d’intérêts économiques et financiers..