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L'oeuvre majeure d'Alexis de Tocqueville (ci dessus), De la démocratie en Amérique, se divise en deux tomes bien différents, publiés en 1835 et en 1840 :
• le premier étant une analyse descriptive de la démocratie aux États-Unis (la démocratie comme structure politique);
• le second étant une réflexion sur les formes particulières de la démocratie américaine.
C'est ce second tome qui est peut-être le plus intéressant, car la réflexion de l'auteur s'élargit à des considérations générales sur la démocratie, notamment le risque de tyrannie de la majorité et l'influence que la démocratie exerce sur la société civile, sur les mœurs, les idées, la vie intellectuelle...
Tocqueville spécula sur le futur de la démocratie, aux États-Unis mais aussi ailleurs, en général, et il eut l'intuition, la prémonition, qu'elle avait une tendance à dégénérer en ce qu'il décrivit comme "le despotisme mou".
Tocqueville a ainsi annoncé, et prédit, l'avènement d'un autoritarisme "plus étendu et plus doux", qui "dégraderait les hommes sans les tourmenter" et pour lequel "les anciens mots de despotisme et de tyrannie ne suffisent pas".
Démocratie comme despotisme : écrit en 1840, ce texte est d'une clarté et d'une lucidité extraordinaires. Il présente ce qui s'est passé et ce qui se passe de plus en plus sous la domination de la démocratie totalitaire : manque d'indépendance, manque d'esprit créatif, manque de vitalité. Les vices des gouvernants et l'imbécillité des gouvernés dominent.
C'est un portrait impitoyable de la réalité contemporaine, composé il y a plus de 150 ans...
En complément de la lecture de ce "Grand texte", le lecteur pourra utilement se référer à notre très courte Page :
"Affaire Coquerel" : Sophie Tissier persiste et signe...
1. Elen Debost publie ceci le 1er juillet :
Elen Debost
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Merci @RokhayaDiallo , il est indécent de dire "nous ne savons rien, nous n'avons jamais eu de signalement" alors que c'est l'une des imminentes députées LFI qui m'avait alerté sur un "problème Coquerel" dès Juin 2016.
"Moi je sais car j’ai subi. J’atteste. #Coquerel harceleur aux mains baladeuses collantes et assauts déplacés en 2014 lors des universités d’été du PG. J’ai ressenti un profond malaise je ne savais pas où il s’arrêterait. Je lui avait clairement exprimé mon refus. Il s’en foutait."
À l'époque de "mitou", va-t-on garder ce personnage à la tête de la Coimmission des Finances de l'Assemblée ? Lui qui fait partie des héritiers assumés des "coupeurs de tête" de "89/93", lui l'extrémiste des extrémistes, plus extrémiste qu'il n'est possible de l'être, va-t-il "perdre sa tête" - politiquement s'entend, pour se trouver - semble-t-il... - dans le sillage et la filiation d'un... Strauss-Kahn, par exemple ?
Nous allons bien voir quelle réponse le Pays légal va donner à cette question. En tous cas, le voilà certainement bien embêté...
Vendredi dernier le @CercleDeFlore recevait pour sa dernière conférence de l'année, #MichelHouellebecq. L'occasion pour les auditeurs, très nombreux — que nous remercions autant que l'intervenant — de participer à l'une des plus grandes conférences de l'année !
C'est déjà - et tant mieux ! - la guerre civile dans le monde glauque de LFI...
Coquerel est menacé par les accusations de harcèlement lancées par Rokhaya Diallopour "son comportement avec les femmes"; des féministes et d’anciennes militantes de LFI l’accusent également...
Certes, nous savons bien que la chute éventuelle - et souhaitable - de ce sinistre personnage, terroriste révolutionnaire jusqu'auboutiste - chute qui signifierait la perte de son poste de président de la Commission des Finances de l'Assemblée... - n'affectera/n'affecterait en rien la permanence du Système malfaisant qui nous déclasse et nous mène à l'abime.
Mais cela serait, quand même, un coup porté aux "durs", aux "pires des pires" et, ne serait-ce que pour cela, ne serait-ce que pour voir se déchirer le groupe "LFI/Section des Piques" (comme au temps de 89/93), ne serait-ce que pour les mettre en dépression, ne serait-ce que pour nous faire un petit plaisir, après tout, ce ne serait déjà pas si mal !...
« Notre industrie s’effondre, le commerce extérieur est catastrophique, l’insécurité est colossale, l’école est à la dérive. Et la première mesure proposée par LREM est d’inscrire le droit à l’IVG dans la constitution que personne ne conteste en France. Au-delà du pitoyable. Terrifiant. » Tel est le judicieux constat de Christian Saint-Étienne auquel il convient d’ajouter l’hallucinante invasion migratoire, le taux de natalité insuffisant des Français de souche, la décadence sociétale, le déficit public insoutenable, l’endettement stratosphérique, des prix exorbitants de l’énergie avec des rationnements en vue pour l’hiver, l’inflation, la récession, la stagflation, la faillite économique ainsi que l’explosion politique et sociale à venir !
Les puissants, les démocrates sincères (ce ne sont pas forcément les mêmes) et les professionnels du peuple sont en train de nous administrer trois leçons de démocratie grandeur nature qu’il convient de recevoir avec joie et humilité. Aux États-Unis, Trump a fait nommer des juges “conservateurs” à la Cour Suprême, c’est-à-dire qu’il a poursuivi la politique de tous les Démocrates qui l’ont précédé : utiliser le pouvoir exorbitant de cette cour pour influer sur la législation. Rappelons au passage que ces magistrats sont des… magistrats ! c’est-à-dire que ce sont des professionnels de la chose judiciaire. La suite ICI
En deux minutes et dix secondes, Nicolas Doze explique pourquoi le passage au tout-électrique en 2035 est “une folie absolue” et ses arguments sont assez convaincants...
Le vrai progrès, ce sera la voiture à hydrogène, et il aurait été préférable de "sauter" la dizaine d'années qui nous en séparent sans passer par la folie de la "case électrique" : en conservant les tous derniers moteurs diesels qui, aves les progrès réalisés, ne polluaient quasiment plus, plutôt que de nous mettre dans une nouvelle dépendance (terres rares) et une nouvelle pollution (batteries, qu'on ne sait pas "traiter" une fois leur carrière terminée).
Cela, un Roi, qui dispose du temps long, aurait pu y penser, et le faire. Mais des gouvernants de passage, qui doivent "rembourser leur élection" à ceux qui les ont fait élire (dont les magnats de l'éolien, du soi-disant "électrique" etc...) ne le peuvent pas, et ne peuvent, du retse, même pas y penser : trop englués par la politicaillerie politicienne à très court terme...
Eh, oui ! L'écologie, la vraie, c'est sur la durée qu'on la pratique. Et, la durée, le Système ne l'a pas, et ne peut pas l'avoir. Seule la Royauté l'a : voilà pourquoi elle est la condition sine qua non de la saine, de la vraie, de l'authentique écologie...
Il faut donc "reprendre" le Pouvoir, comme le disait Pierre Boutang, c'est-à-dire en élaborer une autre conception que l'actuelle. Et cette nouvelle conception d'un pouvoir "légitime et profond" passe par la révolution royale, contre le conservatisme actuel du "chaos figé des conservateurs du désordre" - dont parlait Gustave Thibon - qui ne sont que les héritiers du "chaos explosif des révolutionnaires"...
A l’affiche : Elvis, un film américain de Baz Luhrmann, avec Austin Butler et Olivia DeJonge (Elvis et Priscilla Presley) et Tom Hanks (le Colonel Tom Parker).