Réveil populaire, réveil national, par Hilaire de Crémiers
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Sur les Blogs, sur Facebook ou ailleurs... :
1. D'Eric Zemmour : UMP et PS dans l'impasse : ZEMMOUR UMP PS DANS L IMPASSE.jpg
2. (De Jean-Dominique Merchet) Une majorité de Français ne souhaite pas une baisse du budget de la Défense : http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/majorite-francais-ne-souhaite-pas-baisse-budget-defense-12915
2. BIS (idem) : Comment les iondustriels de la Défense ont fait reculer le gouvernement : http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/comment-industriels-defense-ont-fait-reculer-gouvernement-12882
4. Bâclage et bricolage : la réforme régionale (du Blog de Patrice de Plunkett) : Bâclage et bricolage.pdf
5. Qu'est-ce que la Traité transatlantique ?... Voyez "Treat the Treaty" : http://treatthetreaty.org/fr
6. Dans le blog Investig'action (Michel Collon) : Lybie : sommet Hollande pour masquer le fiaso : http://www.michelcollon.info/Libye-Sommet-Hollande-pour-masquer.html
Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf ) :
Mercredi 21 mai dernier avait lieu, aux Invalides, sous la présidence de Monsieur Jean Dominique Senard, président de la gérance du groupe Michelin, le dîner de gala de l’ANORABC (Association Nationale des Officiers de Réserve de l’Arme Blindée et de la Cavalerie). Le prince Jean y était invité en tant qu’ancien de Saumur.
Le Prince y a retrouvé plusieurs autres anciens, comme le Général Ract-Madoux, chef d’état major de l’armée de terre, le Général Millet, administrateur de l’Institut de France à Chantilly, Louis Giscard d’Estaing, maire de Chamalières, et d’autres.
Il faut rappeler que le prince Jean, lors de son service militaire, est passé par l’Ecole d’officiers de Saumur, avant de prendre le commandement d’un peloton de chars de combat au 7ème Régiment de Chasseurs à Arras.
D'un simple point de vue humain, les Français et les Européens ne peuvent qu'être reconnaissants aux soldats de toutes nationalités venus se battre, et, pour beaucoup, mourir, pour écraser le nazisme. L'héroïsme et le sacrifice du "soldat de base" ne peuvent, évidemment, qu'être salués avec reconnaissance :
"Ceux qui, pieusement, sont morts pour la Patrie / Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie..."
Alphonse Juin, maréchal de France
http://www.france-histoire-esperance.com/marechal-alphonse-juin-vainqueur-du-monte-cassino/
Signe de la décadence de notre culture, ou du moins de ceux qui prétendent aujourd'hui l'incarner, c'est le sinistre "comique" Nicolas Bedos qui a été choisi pour présenter, le 2 juin au soir, la cérémonie des Molières.
Pauvre Molière ! Souhaitons pour lui qu'il ne sache pas qui est ce pitre aux prétentions de penseur engagé et qui s'efforce de se hisser à la cheville de son père, lequel, lui-même, ne vole pas très haut. Encore qu'ils se valent dans la méchanceté et l'intolérance.
Mais à quelque chose malheur est bon, le choix de Nicolas Bedos pour cette soirée des Molières nous a peut-être permis d'échapper à celui de l'autre grand penseur du moment : Yannick Noah.
Cerise sur le gâteau, des intermiteux du spectacle se sont invités de façon intempestive à cette cérémonie. Oui, pauvre Molière...
De 9h à 17h, l’Institut Michel Villey organise une journée d’études intitulée La Charte constitutionnelle du 4 juin 1814 Réflexions pour un bicentenaire :
Le précédent record des "pages lues" datait du 19 novembre 2013, avec 11.003 "pages lues"; ce record est tombé, hier, 5 juin 2014 : 11.656 "pages lues"…
Merci, et, surtout, continuez sans vous gêner : tout ce qui écrit dans le quotidien est là pour être consulté !...
200 ans après la calamiteuse Révolution, la malfaisance du Jacobinisme centralisateur se poursuit, envers et contre tout; et, surtout, contre nos Racines, contre tout ce qui constitue l'héritage naturel de notre vieille France, de ses Pays et de ses Terroirs, surgi du fond des âges, façonné par l'Histoire, et contre lequel s'est construit notre calamiteux Système, hérité de notre Révolutioin et de notre République idéologique...
Aujourd'hui, tout d'un coup, comme ça, excité on ne sait pourquoi et alors qu'il y a mille urgences bien plus urgentes, "Hollande-à-18%" nous a concocté à la vite, sur un coin de table, une riducule nouvelle "carte des Régions" : il ferait mieux de s'occuper des 15.000 chômeurs de plus du mois dernier, et de ceux qui vont arriver le mois prochain, mais non...
Chapeau l'artiste : avec sa réforme des Régions bricolée à la va-vite Hollande réussit à se faire encore de nouveaux ennemis ! Très fort...
Aucune des royautés européennes n'est un modèle de ce que nous souhaitons pour la France. Tout simplement parce que, en France, tant qu'il y a eu des rois, ceux-ci ont régné et gouverné. Avec ou sans ministériat - pour reprendre l'expression de Louis XIV - et qu'ils aient délégué plus ou moins, tous ont exercé le pouvoir, à leur façon, mais d'une manière toujours effective.
Rien de cela ne se passe dans les monarchies nordiques, ou espagnole : le roi - ou la reine - n'y exerce aucun pouvoir d'administration directe des choses et des gens; même si leur influence sur la vie de leur pays dépasse souvent le strict rôle institutionnel qui leur est attribué par les textes constitutionnels. Aucune de ces royautés n'a voulu ou pu préserver vraiment leurs peuples de la décomposition qui frappe toutes les sociétés dites occidentales. Et pourtant, toutes ces royautés ont en commun quelque chose de bon : le poste suprême y est occupé ("séquestré").
Les Français auraient raison d'y réfléchir, au moment où de nombreux observateurs politiques de tout bord, en viennent à penser que l'élection présidentielle est la plaie des Institutions françaises ...
Pour ceux qui l'ignorent, le titre de Prince des Asturies est réservé, en Espagne, au fils du roi, désigné pour la succession. Equivalent au terme de Dauphin, en France, ou de prince de Galles, en Grande-Bretagne, ce titre vient de la nuit des temps : en 711, l'Espagne fut envahie par les Maures -et non par les Arabes... - et la monarchie wisigothique, qui avait remplacé l'Empire romain, s'écroula sous la poussée des tribus berbères. Les restes de l'armée wisigothique, vaincue, se réfugièrent dans les montagnes cantabriques difficilement accessibles du nord du pays, de la Galice et des Asturies (à l'Ouest) au Pays basque (à l'est); cette vaste zone constitua le "rincon sagrado" (le recoin sacré) inviolé par les envahisseurs mahométans, d'où fut immédiatement lancée la Reconquête (Reconquista), avec la victoire chrétienne symbolique de Covadonga, dès 718. Une reconquête qui devait malgré tout durer près de huit siècles, pour ne s'achever qu'en... 1492, avec la prise de Grenade par les Rois catholiques.
Par-delà le discours dit de droite, dit de gauche ou d'ailleurs, l'essentiel touche aux fondamentaux... un choix de civilisation !
MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique, en ligne depuis 2008 : http://www.magistro.fr/
* François-Xavier BELLAMY, Professeur de philosophie : Une réflexion sur le 'gender'
* Christine SOURGINS, Historienne de l'art : Où sont les femmes ?
* Maxime TANDONNET, Haut fonctionnaire : Séisme politique ou claque méritée
* Christine SOURGINS, Historienne de l'art : Mécénat ou OPA ?
* Roland HUREAUX, Essayiste : Manuel Valls n'a rien compris
* Jean-Baptiste GIRAUD, Rédacteur en chef d'Economiematin.fr : Un scandale peut en cacher un autre
* Ivan RIOUFOL, Journaliste politique : Lecons d'une insurrection civique
* Michel MAFFESOLI, Professeur de sociologie à la Sorbonne : Secessio plebis
* François JOURDIER, Officier, contre amiral : L'heure de Berlin
* François BROCHE, Historien : Fernand Braudel