UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

LAFAUTEAROUSSEAU - Page 1605

  • Mehdi Nemmouche, l'assassin islamiste "présumé" de Bruxelles, arrêté à Marseille : scandaleux journaleux...

    1. Le Système fait vivre la France sur un volcan : nous le disons régulièrement dans ces colonnes, à temps et à contre-temps, en posant toujours la même question : combien sont-ils, après des décennies d'une immigration insensée et la braderie permanente de la nationalité française, imprudemment accordée à des masses de gens toujours aussi nombreuses, ces "jeunes" radicalisés, terroristes "dormants" pour l'instant mais prêts à passer à l'acte à tous moments ? La réponse est facile à donner : ils sont des dizaines, des centaines, voire des milliers et peut-être des dizaines de milliers le moment venu, l'effet d'entraînement jouant alors à plein. 

    mehdi-nemmouche-.jpg

    Lire la suite

  • SOS Education appuie les hauts fonctionnaires qui "tentent de garder un cap"...

    sos education.jpgOn s’occupe, au ministère. Alors que le bateau sombre, le ministre d’un jour décide de ranger des tonneaux sur les caisses à fond de cale, son prédécesseur ayant eu l'idée géniale de mettre les caisses sur les tonneaux. 

    Rien de nouveau sous le soleil.

    Mais il reste un espoir.

    À la manœuvre, une poignée de hauts fonctionnaires tente de garder un cap, contre vents et marées. Dans cette tribune publiée par l'Express, ils sonnent l’alarme avec une grande clairvoyance.

    SOS Éducation les encourage à continuer leur résistance ! Les vraies révolutions commencent à quelques uns....

  • Les tweets du "pont de l'Ascension"...

     IMG_0096.jpg

     ( pour consulter "l'Intégrale" - 419 tweets... - c'est ici, ou sur la colonne de droite de la Page d'Accueil, en-dessous de la page Facebook...) :  

     

     

     

    Nantes en Bretagne ! Oui aux "rattachistes" bretons, oui à nos Pays, Terroirs, Provinces, réalités et solidarités enracinées dans l'Histoire 

    Abou Shaheed, "français (!) de plastique", tué en Syrie, ne rentrera pas = un terroriste potentiel de moins dans nos rues, bus, métros... 

  • Jean Sévillia présente le "Revenir à la Nation", de Jean-Louis Harouel...

    Sevillia nation.jpg

    (source : Le Figaro magazine du 2 mai 2014) 

    REVENIR A LA NATION.jpg

    166 pages, 15 euros

    Les Européens sont victimes d'un déni de nation. Alors que le modèle de l'État-nation est dominant dans le monde, les peuples européens sont sommés d'y renoncer pour se dissoudre dans l'universel.

    Chaque groupe humain a besoin d'un cadre correspondant à son identité, et dons la forme la plus adéquate est aujourd'hui l'État-nation.

    Jugée normale pour les États-Unis, la Chine ou l’Inde, la fierté nationale est interdite à la France. Celle-ci, reniant son histoire et sa culture, devient un insipide Hexagoland à la dérive, noyé dans une calamiteuse Union européenne qui n’aime pas les Européens et ne veut pour identité collective qu’une ouverture inconditionnelle à l’autre.

    L’exemple de petites nations fières de leur particularisme et résolues à le préserver, comme Israël ou la Suisse, montre que, pour un pays, mieux vaut être seul et déterminé plutôt que mêlé à un groupe confus et tyrannique qui le fait mourir à petit feu.

    Le salut de l’Europe passe par la réintroduction d’un nécessaire et légitime particularisme national. Il faut faire revivre les peuples d’Europe, en recentrant l’État sur la nation.

  • La Nouvelle Revue universelle : nouveaux projets, pour de nouveaux progrès

    BAINVILLE LE MEILLEUR.jpgFondée en 1920 par Jacques Bainville, reprise par l'équipe de Politique magazine, la Nouvelle revue universelle - trimestrielle - est de la même qualité.

    Elle se situe parmi les revues de réflexion comme Commentaires ou Esprit. Nous avons de la chance de disposer d'un tel instrument, et c'est pourquoi nous présentons régulièrement, sur lafauterousseau, les nouveaux numéros de La Nouvelle Revue universelle.  

    Depuis plusieurs numéros déjà, un souffle nouveau anime la Revue. Les projets ne manquent pas pour prolonger et amplifier cette nouvelle dynamique. Antoine de Crémiers, conseiller éditorial de la NRU, vient d'organiser une réunion de travail, à Marseille, afin d'aborder un grand nombre de sujets touchant à une meilleure organisation et à une structuration plus serrée des bonnes volontés, sur l'ensemble du territoire, pour une plus grande efficacité et une diffusion accrue de la Revue.

    Un site propre à la NRU est d'ores et déjà prêt à être mis en ligne : ce sera, sans nul doute, l'un des éléments porteurs de ces nouveaux progrès que nous désirons tous...

    lafautearousseau présentera très prochainement le dernier numéro (35) de la Revue, et vous tiendra informés, bien évidemment, au fur et à mesure, de tous les développements ultérieurs des actions et décisions visant à en augmenter l'audience...

    Rappelons que la NRU est partie prenante dans l'organisation du Colloque du Cercle Vauban, le 6 décembre prochain, à Paris ("La crise institutionnelle : propositions pour un nouveau régime").

    Cette réunion de travail, prometteuse, a eu lieu chez nos amis de la Brasserie Le Louis XVI...

     

    NRU 35.jpg

    NRU ABONNEMENT.jpg

  • Navigation sélective sur le Net : échos des Blogs, des Pages Facebook, et d'ailleurs...

     capture d'ecran blog.jpg

     

     1. Sur les Blogs, sur Facebook ou  ailleurs... :  

     

    1. "Il y a du Marchais dans Hollande", la chronique d'Eric Zemmour (après les Européennes) sur RTL : 

     

    2. "Sanction sans appel", par François d'Orcival (dans Valeurs actuelles) : http://www.valeursactuelles.com/sanction-sans-appel

    3. "Dans le Nord du Mali, deux guerres se déroulent en parallèle" (par Jean-Dominique Merchet, Secret Défense) : http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/dans-nord-mali-deux-guerres-se-deroulent-en-parallele-12818

    4. Dans Mondafrique (par Alain Chouet) : "Boko Hram, le monstre utile" ? : http://mondafrique.com/lire/international/2014/05/17/boko-haram-le-monstre-utile

    5. Dans Le nouvel observateur, de Fabrice Pliskin, "La Marseillaise, un chant impur ?" : http://tempsreel.nouvelobs.com/culture/20140528.OBS8691/la-marseillaise-un-chant-impur.html

    6. L'envoi de juin du Réseau regain : http://reseau-regain.net/

  • C'est aussi tout cela (tous "ceux-là"...), la France : dans les Ephémérides cette semaine...

    Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf )  :

    LOGO 9 LFAR copie.jpg

    Lire la suite

  • Rions un peu : La dictée de Raymond Devos...

    Il y a des verbes qui se conjuguent très irrégulièrement : par exemple le verbe « ouïr ».

    Le verbe ouïr au présent, ça fait j’ois …

    Lire la suite

  • L' "Insincérité" au plus haut...

    COUR DES COMPTES.JPGIl n'y a pas que le chômage, les impôts, l'insécurité, les mal-logés, les pauvres et autres qui soient au plus haut : au plus haut aussi - mais, cette fois, et c'est encore plus grave, au sommet de l'Etat... - se trouve maintenant l' "Insincérité".

    Ce n'est pas nous qui le disons, mais la Cour des Comptes :

    "...L'écart entre prévision et exécution sur l'évolution spontanée des recettes fiscales souligne le manque de prudence de la loi de finances initiale et peut soulever une interrogation au regard de la sincérité de cette dernière..."

    L'insincérité est donc au plus haut niveau de l'Etat ? C'est le thème de notre "tweet du jour" :

    "Flanby, fraise des bois, capitaine de pédalo", ça blesse. "Insincère", dit par la Cour des Comptes, ça tue. Le Système en décomposition ?

  • Un euro faible pour lutter contre la déflation, par François Reloujac*

    Le président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi,  dans un langage inhabituel remarqué par tous les commentateurs économiques, a mis en garde contre un "euro fort".

    Ce dernier serait accusé d’être la cause du risque de déflation qui menace désormais l’Union européenne.

    euro faible.JPG

    Lire la suite

  • Des institutions et des hommes, par Pierre Chalvidan

    Pierre CHALVIDAN.jpgLecture d’un récent document du Cercle de l’Oeillet Blanc (1) qui se propose de mettre en œuvre une « vigoureuse synergie » entre nos mouvements amis. Heureuse initiative, car si la diversité est fructueuse, la dispersion est calamiteuse et il faut bien dire que l’on s’y perd un peu dans notre « millefeuille »… !

    Millefeuille : le mot est à la mode pour stigmatiser notre déplorable empilement institutionnel (commune, intercommunalité, département, région, Etat, Europe…) et c’est à juste titre que le document précité relève que ce processus aboutit en fait à une désinstitutionalisation et une vacance du pouvoir qui appellent une véritable révolution institutionnelle.

    De fait, les institutions sont bien le nœud de la question politique. Mais en ajoutant aussitôt que derrière  les institutions – ou même avant – il y a les hommes.

    Comme le développe la Doctrine Sociale de l’Eglise, les institutions ne sont que des comportements individuels cristallisés et c’est au niveau des comportements que se trouve la racine du problème. Paul  Thibaud et Marcel Gauchet le développaient récemment (2) : il n’y a pas d’institutions possibles dans la société de l’individualisme égalitaire. Et il n’y a pas d’institutions sans des élites gouvernantes. Là, explique Gauchet, se trouve la source de la désaffection politique : « Les citoyens ont conscience de quelque chose du caractère constitutif de leur société que les élites n’assument pas : la fonction de gouvernement. »

    Un ami me signale que selon un sondage paru dans Valeurs Actuelles, 50% des Français n’ont plus confiance dans la démocratie et souhaitent qu’un homme fort prenne le pouvoir. Un roi, quoi !

    Gauchet, lui, estime « qu’il y a place pour une recomposition de fond à partir du besoin de la fonction de gouvernement, un projet alternatif porté par une élite de remplacement… ». 

    Pierre Chalvidan

     

         1 : Charte Mediacor et Vauban

         2 : Politique Autrement – 29 mars 2014 – « Politiquement correct et décomposition »

  • "Ce jeune homme a dit la vérité..." : ici, c'est un député : doit-il être exécuté ?....

    guy delcourt depute ps pas de calais.jpg Sur France info, ce mercredi 28, journal de 7h, et repris par Le Figaro... :

    La scène se déroule mardi matin à l'Assemblée nationale. Le premier ministre est présent à la réunion du groupe PS pour tenter de ressouder les députés socialistes déboussolés par l'échec du PS aux élections européennes. Guy Delcourt, député du Pas-de-Calais, prend la parole: "Avouons-nous, camarades, que la relation de François Hollande avec les Français pose un problème".

    La réflexion ne fait réagir ni Manuel Valls ni ses collègues députés. Personne ne monte au front pour défendre le chef de l'État. Plusieurs parlementaires confient en privée leur scepticisme après l'allocution télévisée, lundi, de François Hollande...

    De l'UMP au PS, il règne décidémment une ambiance folle, ces jours-ci, dans un Pays légal qui exhale (voir notre tweet d'hier") une forte ôdeur de décomposition...

  • Mais, qui est au courant de quoi, dans cette drôle (drone ?) de République ?

    drone-360.jpgAffaire Cahuzac ? Hollande et Ayrault, pas au courant...

    Ecoutes Sarkozy ? Valls et Taubira, pas au courant...

    Big bang de Bygmalion ? Copé et Sarkozy, pas au courant... 

    Bigre, tout cela n'est pas très rassurant : on se demande avec inquiétude si les Princes qui nous gouvernent sont au courant de quelque chose, et de quoi !


    "Drone" : petit avion sans pilote... disent les dictionnaires. La République idéologique française est-elle devenue un drone ?

  • Robespierre et ses complices terroristes de la clique révolutionnaire, aux origines du terrorisme moderne (ou contemporain)...

    HISTOIRE DU TERRORISME TEXTE.jpgDe la Révolution française à Al Qaida, tel est le titre de l'excellente note de lecture écrite pae Rémy Kauffer sur le livre de Gilles Ferragu, Histoire du terrorisme; cette note est parue dans le numéro du 16 mai du Figaro magazine, et nous la reproduisons ci-après :

     Scan.jpg

    Ce qui est bien sûr et certain, c'est que "la terreur étatique officielle", lorsqu'on étudie l'Histoire, remonte aux dernières années du XVIIIème siècle - en clair : à la Révolution française - depuis que "la phase robespierriste de la Révolution française a légitimé et légalisé la terreur d'Etat, au nom d'une lutte sacro-sainte contre le ennemis de la Nation"

    Robespierre, Saint Just - son âme damnée - et toute leur clique d'assassins sanguinaires sont bien pères d'une famille nombreuse : leurs enfants s'appellent Staline, Ho Chi Minh, Mao, Hitler, la dynastie des Kim en Corée du Nord, Pol Pot, Ceaucescu... et leurs oeuvres, le Goulag, le Lao Gai, les camps de concentration et d'extermination, la Stasi ou le KGB...

    histoire du terrorisme.jpg

    La grande synthèse attendue. Si le terrorisme fait, hier comme aujourd'hui, la une des journaux, il reste un objet problématique dont la définition même fait débat. Certes, les juristes, les politistes, les sociologues, voire les journalistes n'ont pas été avares pour le décrire ! Mais une approche historique manquait, pour replacer ce phénomène ancien dans un contexte et une dynamique plus larges. Car le terrorisme a une histoire ! Eparpillé entre divers groupes, tributaire des idéologies les plus variées, il ne saurait pour autant se réduire à une succession d'attentats et de procès. Cette première grande synthèse entend au contraire en proposer une vision globale afin de saisir les conditions historiques dans lesquelles la violence apparaît puis se déploie dans les sociétés. Elle définit, également, les liens qui se tissent entre les différents mouvements mais aussi entre les générations de terroristes qui se succèdent.
     
    Partant de l'apparition même du terme " terrorisme ", au crépuscule du XVIIIème siècle et dans le cadre de la Révolution française, l'ouvrage parcourt plus de deux siècles d'histoire, évoquant la violence politique qui frappe le monde occidental comme le monde oriental, qui émane des Etats comme des minorités, afin de saisir le poids réel du phénomène dans l'Histoire.
     
    L'approche est à la fois historique et thématique, chaque chapitre s'attachant à saisir, dans une aire géographique ou au prisme d'une idéologie particulière, l'émergence de la violence, ses principaux acteurs et ses hauts faits, ainsi que les réponses politiques que s'efforcent d'apporter les sociétés ou les pouvoirs.