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Social, Économie... - Page 53

  • Dans Politique Magazine, pourquoi tout est allé très vite, par Louis Anders.

    La chute de l’activité économique consécutive à l’épidémie de coronavirus atteint une intensité jamais vue. Elle met en péril les montagnes de dette d’entreprises émises ces dernières années.

    L’épidémie de coronavirus est mal tombée pour l’économie. Dès la fin d’année 2019 en effet, l’activité semblait avoir atteint un plafond. Dans la zone euro, le PIB n’avait augmenté que de 0,1% au dernier trimestre 2019 et la production industrielle allemande en décembre affichait un recul de 6,8% sur un an. Le Japon s’orientait déjà vers une récession. La Chine avait produit en 2019 son plus faible taux de croissance officielle en 30 ans (6,1%). Seuls les États-Unis, moins dépendants du reste du monde, sortaient du lot.

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  • La date de l’explosion du Système dépendra de l’intensité de la crise sanitaire dans le monde, par Marc Rousset.

    Les Bourses européennes ont rebondi, ce vendredi, mais le Dow Jones a perdu 4,55 %, soit 17,3 % sur la semaine, pour finir à 19.173,98 points, c’est-à-dire sa pire semaine depuis la crise financière de 2008, les milliards de Trump et de la Fed, des gouvernements européens et de la BCE ne parvenant pas à éloigner les craintes d’une récession, tandis que le prix du baril de pétrole WTI continuait de dégringoler. L’indice VIX de la peur s’est élevé, le lundi 19 mars, jusqu’à 83, pour retomber à 74,8 mardi, soit un chiffre proche de 2008.

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  • Dans Ouest France, Coronavirus. Pénurie de masques : comment en est-on arrivé là ?

    La France dispose « d’un stock nul » de masques FFP2 alors qu’elle en comptait environ 700 millions il y a dix ans. Comment en est-on arrivé là ? Explications sur le manque de masques qui se fait cruellement sentir.

    En 2009, la France disposait d’un stock conséquent de masques : 723 millions de masques respiratoires (les FFP2 qui protègent le porteur contre l’inhalation d’agents infectieux) et d’un milliard de masques chirurgicaux qui permettent au malade de protéger son entourage. Un peu plus d’une décennie plus tard et en pleine épidémie de coronavirus, le pays n’a plus de stock national pour les masques FFP2 et seulement 150 millions de masques chirurgicaux. À quoi un tel retournement de situation est-il dû, alors qu’en 2011, le Haut conseil sur la santé publique considérait qu’en cas de crise importante telle que le Sras, la protection des masques de soins et respiratoires était d’une efficacité préventive élevée ?

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  • La France, cinquième puissance mondiale ou pays en voie de développement ?, par François Renié.

    Le Parlement commence à débattre aujourd’hui même de la loi sur l’état d’urgence.

    Il est normal que l’État dispose de moyens exceptionnels pour agir, pour peu qu’il en ait la volonté. Il n’y a là aucun sujet à discussion.

    En revanche, avant d’approuver ce texte, nos parlementaires seraient fondés à demander au pouvoir d’éclaircir sa ligne sur quelques points :

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  • Avec les royalistes du GAR, nous disons NON à la privatisation de l’Office National des Forêts

    (Vu sur la page FB du Lys Ecologique.

    Le Lys écologique

    En 1346, le roi Philippe VI de Valois créé le premier code forestier, preuve de tout l'intérêt que la royauté accorde aux forêts et à leur préservation. Aujourd'hui, en 2020, la République macronienne veut privatiser ce qui permet de la maintenir en bon état et de la renouveler au-delà des seuls aspects économiques.
    Non à la privatisation de l'ONF (Office National des Forêts) !
    Défendons la cause des arbres et des forêts de France !)

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  • Carte blanche à Ludovic Granjeon : comme Zemmour, tant d'autres et... nous, il veut stopper l'éolien...

    (lafautearousseau vient d' "aimer" la page facebook Stop Eolien 87)

     

    La France a déjà dépensé 120 milliards d'euros dans les éoliennes, par LUDOVIC GRANGEON 

    Pendant la construction de 8000 éoliennes en France, terrible échec industriel, le budget de la santé a subi 8 milliards de crédits supprimés, 100 000 lits fermés, 95 services d’urgence éliminés, la moitié des maternités rayées de la carte.

    La comparaison est insupportable.

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  • Dans Politique Magazine, Covid-19 : quels remèdes pour vaincre la crise économique ?, par François Schwerer.

    L’économie s’effondre car on ne produit plus. Les marchés financiers, perfusés de fausse monnaie, sont sous la menace d’une faillite des investisseurs. La mythique croissance s’éloigne toujours plus. Quand le politique va-t-il reprendre ses droits sur l’économique ?

    Le 16 mars au soir, le président Macron a martialement annoncé que l’Etat était prêt à faire un effort de 300 milliards d’euros pour aider les entreprises et les particuliers à passer le mauvais cap de la crise actuelle. Son annonce venait après celle de Madame Lagarde qui proposait que les prêts soient accordés aux entreprises « malades » du coronavirus à un taux négatif de moins 0,75 % et après celle de James Powell qui, au nom de la FED, avait proposé de baisser le taux des crédits. Malgré ces annonces, les Bourses ont continué à plonger. Et ce ne sont pas les demandes de Monsieur Le Maire de recourir à une politique budgétaire concertée entre Européens qui a changé quoi que ce soit. Cela est normal.

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  • Crise du covid-19 : quels impacts potentiels sur le système économique mondial ?, par le Cercle Jean Bodin (Lyon).

    La crise sanitaire internationale induite par la pandémie du covid-19 donnera lieu à une crise économique et financière majeure. Cette analyse n’aura pas pour objectif de faire l’inventaire statistique de la récession économique internationale ; sur ce point, chacun pourra se documenter en sources de presse diverses sur l’état des économies nationales impactées par le covid-19. La chute constante des cours boursiers mondiaux en est l’un des témoins immédiats.
     
    L’objectif de cette analyse sera de se projeter sous un angle « méta-économique » et de réfléchir aux conséquences de fond que pourrait – devrait-on plutôt dire « devrait » - engendrer la crise du coronavirus sur la logique du système économique mondial, de son architecture. Comme toute crise, celle du covid-19 se traduira par des continuités. Cependant, elle pourra aussi donner aussi lieu à des ruptures majeures dans la manière de considérer la logique fondamentale du système économique international.

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  • Liberté individuelle et indépendance nationale, par l'ASAF.

    La pandémie du coronavirus fait prendre conscience aux Français de la dépendance de leur pays dans de nombreux secteurs. La « mondialisation heureuse » n’était, jusqu’à présent, remise en question que pour des raisons de réchauffement climatique.

    Depuis des années, les entreprises délocalisaient pour rester compétitives et maintenir leurs profits. Mais depuis quelques semaines, elles prennent conscience des risques d’une trop grande dépendance de l’étranger.

    Dans la même logique, les Français, dits individualistes, pressent le gouvernement de donner des directives pour les rassurer, les protéger et anticiper les risques à venir. Ils découvrent que l’homme, seul, ne peut rien. La liberté individuelle ne peut exister qu’au sein d’une communauté organisée et puissante, c'est-à-dire soudée.

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  • Sur Boulevard Voltaire, « Coronavirus : les politiques et Macron jouent plus leurs intérêts personnels que le bien commun », par Guillaume Bernard.

    Vous avez écouté le discours d’Emmanuel Macron qui portait sur la gestion de la crise de cette épidémie de coronavirus. Comment avez-vous trouvé le président de la République ?

    Je réagis quelques minutes après le discours, alors qu’il faut souvent un peu de temps pour décanter. À chaud, je vous dirai deux choses. De manière générale, il a été moins ondoyant, sans doute plus efficace et un peu plus crédible qu’il ne l’est d’habitude.
    Ensuite, il a voulu inscrire à la fois la crise sanitaire et les enjeux à venir dans le temps long. Il a vraiment annoncé que la crise serait très longue, plusieurs mois. Il a voulu faire une comparaison avec la fameuse grippe espagnole. Il a dit que cette crise était la plus grave depuis un siècle. Elle venait, elle aussi, de Chine. Je rappelle que cette grippe avait fait 50 millions de morts dans le monde entier, 2,5 millions en Europe et 400.000 en France. Il a essayé de s’inscrire dans le temps long pour inscrire son propre discours dans une certaine solennité.

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  • Etats en faillite, explosion du Système d’ici 2021 au plus tard, par Marc Rousset.

    Le CAC 40 à 4118, 36, soit -32,35 %, depuis le 1er janvier, le Dow Jones à -25,71 %, après un rebond injustifié de 9,26 %, suite à la simple proclamation de l’état d’urgence, ce vendredi. En 2008, après le krach qui avait suivi la faillite de Lehman Brothers, les marchés avaient mis six mois pour toucher le fond. La « descente aux enfers » devrait continuer. On n’attend plus que les prochaines victimes parmi les « hedge fund « spéculatifs dans les prochaines semaines, les rumeurs les plus folles circulant sur H2O, une filiale de gestion de Natixis. Quant à l’indice VIX de la peur qui était de 15 en février, il a flambé jusqu’à à 70, soit au même niveau qu’en 2008.

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  • Dans Politique Magazine : Les autorités politiques et la crise économique nouvelle, par François Schwerer.

    Macron et Xi sont sur la même trajectoire : de la minimisation de la crise (phase 1) au retour à la normale (phase 4) annoncé et proclamé, tout est fait pour maintenir l’illusion du contrôle.

    Depuis le début de la crise sanitaire provoquée par l’épidémie venue Chine, les hommes politiques rivalisent avec les journalistes pour s’adresser à la population et lui expliquer comment elle doit se comporter afin de pouvoir retrouver rapidement une vie normale. Devant cette débauche d’informations, pour maintenir l’attention en haleine, on a divisé sans le dire mais à l’image de ce que l’on a imaginé pour la crise sanitaire, la lutte contre le virus économique en trois stades.

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  • Sur TV Libertés, Coronavirus : les malades de la mondialisation.

    Depuis l’arrivée du coronavirus en France, le gouvernement d’Emmanuel Macron navigue à vue et enchaîne les décisions aberrantes. A titre d’exemple, au mois de février, alors que les premiers cas étaient recensés en France, le ministère des Affaires étrangères se félicitait d’envoyer 17 tonnes de matériel médical en Chine. Un mois plus tard, la France n’a plus suffisamment de stocks de masques et de gels hydroalcooliques, entre autres choses. De même, le refus de restreindre et contrôler les entrées sur le territoire ou d’annuler des matchs de football surprennent alors que des petits marchés ruraux sont interdits. Le "en même temps" de la Macronie bat son plein, en pleine crise sanitaire du Coronavirus, créant autant d’incompréhensions que d’inquiétudes dans les esprits, à raison. Jean-Philippe Tanguy, porte-parole de Debout La France et délégué national au patriotisme économique revient sur les décisions illogiques et irresponsables de ces dernières semaines tout en pointant du doigt la situation de dépendance industrielle de la France dans ce monde mondialisé façonné par les élites qui font primer, quoi qu’il en coûte, l’économie de marché.


  • Qui ne voit que c'est la source d'un très grave malaise !, par Frédéric Winkler.

    « Il me paraît indispensable de favoriser, d'un point de vue fiscal, les transmissions familiales qui peuvent éviter bien des soucis aux dirigeants de ces entreprises. Au-delà, il convient d'encourager ce capitalisme familial qui emploie près d'un Français sur trois ! » (Un Prince Français). C'est, à notre sens, l'idée très actuelle que développait le Comte de Paris quand il dénonçait les « Féodalités nouvelles dont le règne est fondé sur la peur qu'elles inoculent au peuple pour le faire douter de son droit et de son destin, pour lui faire accroire que ses intérêts sont liés à leur puissance ».

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  • Dans Politique Magazine : Le Covid-19 et l’économie française, par François Schwerer.

    Passé l’optimisme de rigueur, l’Europe et la France mondialistes découvrent à quel point elles ont lié leur destin à la Chine. La souveraineté économique est à nouveau à l’ordre du jour. Mais qui a fait en sorte que les états souverains ne puissent la garantir ?

    Au début de la crise sanitaire qui a pris sa source dans la ville de Wuhan en Chine, le ministre français de l’économie, Monsieur Bruno Le Maire n’a pas craint de dire que l’économie française n’en souffrirait pas significativement. D’après lui, elle ne coûterait à la France que 0,1 point de croissance. Cet optimisme, alimenté par des calculs statistiques de technocrates, semble sous-estimer trois facteurs qu’il est important de prendre en considération : une donnée historique, des conséquences purement internes et enfin une interrogation sur le modèle de développement économique.

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