Ces prénoms et ces noms que l’on cache et les autres qu’on jette volontiers en pâture…, par Richard Hanlet.
Il y a près d’un siècle, les enfants de Landru étaient autorisés à prendre comme patronyme le nom de jeune fille de leur mère, et on les comprend… Mais une même pudeur anime également nos médias autorisés lorsqu’il s’agit de dissimuler l’origine subméditerranéenne de délinquants grands et petits, et ce n’est pas nouveau.