Que fête-t-on le 14 Juillet ?
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En Suède, ce n'est pas l'extrême-droite qui a gagné, c'est le parti des Suédois qui ne veulent pas de la submersion migratoire, du grand remplacement et du grand déclassement qui va avec.
On comprend que cette claque monumentale, dans un pays qui n'a jamais "voté ainsi" rende fou nos bobos/gauchos/trotskos et leur fasse dire n'importe quoi.
Goldnadel prend les réactions absurdes et de mauvaise foi de ces mauvais perdants avec un mélange d'humour et d'ironie de bon aloi :
Le débat d'hier a été plus serein et policé que le dernier d'il y a cinq ans; parfois un peu long, trop technique, voire ennuyeux.
On parlera ici d'un seul moment de ce débat, celui où Macron, se voulant lyrique, a cru bon de devoir parler de "la France des Lumières".
Hubert Védrine - qui ferait un excellent Ministre des Affaires étrangères du Roi de France... - avait déjà parlé, il y a pas mal de temps, de ces "vieilles lumières" qui, de toutes façons, n'intéressent pas grand monde sur terre, à part les privilégiés du Système qui, ici, en France, en vivent...
Ces "vieilles lumières" qui, sitôt advenue la Révolution qu'elle ont amenée, ont immédiatement naufragé et sombré dans le terrorisme d'État, la Terreur, le Génocide vendéen; elles qui ont débouché sur le scientisme du XIXème siècle, puis sur les horreurs et monstruosités des Totalitarismes du XXème, nazi et marxiste-léniniste...
Que Macron s'y soit référé, comme à une sorte de talisman, c'est normal : il est le chef, aujourd'hui, de ce que Gustave Thibon appelait le "chaos figé des conservateurs du désordre", qui s'appelle "République française" mais qui n'a de république (et de démocratie) que le nom, pas la chose; et qui se veut et se proclame héritière du "chaos explosif des révolutionnaires" de 89/93.
Macron, c'est Robespierre et les sans culottes en costard/cravate, mais c'est bien Robespierre et Danton, Saint Just et la Convention, comme le stipule le court préambule de l'actuelle Constitiution.
Les incantations n'y changeront rien : la France d'aujourd'hui, considérablement déclassée et appauvrie par rapport à "la Chine de l'Europe" qu'était la France royale de Louis XVI, est livrée (telle la mouche dans une bouteille, dont elle n'arrive pas à sortir...) au totalitarisme de fait de la Nouvelle Religion Républicaine. Et ce n'est pas en changeant simplement la tête de ce Système intrinsèquement malfaisant et pervers, pourri jusqu'au trognon, qu'on la sauvera : c'est en renvoyant ce Système, et en re-branchant la France - si on nous permet l'expression - sur le Régime qui l'a faite, en mille ans, et qui a fait sa grandeur.
La France se sauvera en retrouvant ses vraies lumières, celle de ses traditions fondatrices, gréco-romaines et judéo-chrétiennes, et non pas en cultivant les "vieilles lumières" (soi-disant et auto-proclamées lumières...) des soi-disant et auto-proclamés "philosophes" du XVIIIème.
Macron a, finalement, bien fait de lancer son incantation/mantra : quand on voit l'obscurité et les ténèbres qui résultent aujourd'hui de ces "vieilles lumières" dont parle Védrine; la décadence effroyable qui en est le fruit actuellement, on comprend bien, en creux, que le vrai choix pour la France n'est pas celui de la nouvelle tête du Système, mais celui entre le mauvais Système qui la tue lentement et le bon Régime, le bon gouvernement pour elle : sa Royauté traditionnelle.
Voilà pourquoi, confortés par cette péripétie du débat d'hier, nous poursuivons dès ce matin - et nous la poursuivrons dès dimanche, après être allé voter, contre Macron, le toujours antinational - la seule action qui vaille d'être menée, "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)
La révolution bolchévique se voulait la quintessence de la Révolution française : en parlant de l'année 1917, Lénine se vantait d'être allé plus vite - et mieux... - que les "grands ancêtres" dont il se revendiquait : "février, c'est 1789, octobre c'est 1793" disait-il.
Oui, l'URSS est bien morte, et à jamais, et c'est tant mieux. Mais prospèrent en Occident – et en France, épicentre de la révolution, plus qu’ailleurs – ses figures contemporaines : wokisme, culture de l'effacement, dé-colonialisme, néo-féminisme…
Les "grands ancêtres" ont donné au monde le Génocide vendéen, leurs successeurs/héritiers de l'URSS le Goulag...
Tant que l'on ne remettra pas en cause les principes fondateurs mortifères de la Révolution, toute action sera vaine et c'est Louis de Bonald qui a raison :
"La France, premier-né de la civilisation européenne, sera la première à renaître à l'ordre ou à périr"
Eugénie Bastié a proposé une juste et sereine explication de ces propos inacceptables : "Bloquons le meeting de Zemmour !" Il faut "faire taire Éric Zemmour" et autres insanités proférées par les héritiers directs de la Terreur et du chaos explosif des révolutionnaires de 89/93...
Plus elle s'effondre partout, la gauche - plutôt que de "repenser ses idées et propos - se réfugie dans une sorte de "protectionnisme idéologique" (la formule d'Eugénie Bastié est heureuse...) en s'arrogeant le droit (?) exorbitant de définir qui a le droit de parler et qui ne l'a pas. Dernier symptôme d'une gauche moribonde...
La gauche a écarté depuis des décennies un certain nombre de sujets comme l'immigration, la délinquance, la sécurité... et se réveille aujourd'hui, mais trop tard, se rendant compte qu'elle a "fondu" comme neige au soleil, qu'elle n'intéresse plus personne. Ne lui reste donc plus que la violence, qui lui est consubstantielle, qui est dans ses gènes, puisque le Système actuel (lire les trois lignes du Préambule de la Constitution∗ ) repose sur les "principes de 89", renouvelés et confirmés après la sinistre "Épuration" de 45, qui ne fut qu'une vulgaire "re-Terreur"...
Violence, émeutes, saccages, pillages, Terreur : la République idéologique - qui est - hélas - notre Système d'aujourd'hui - est née de tout cela, dans tout cela. Ses descendants et héritiers ont perdu toute crédibilité et les rêves de "lendemains qui chantent" (ce qu'ils promettaient aux masses qui ont cru en elle) se sont évanouis.
Plutôt que d'avoir l'humilité, l'honnêteté intellectuelle, la sagesse et le bon sens de reconnaître qu'ils se sont trompés, ils se réfugient dans leurs origines, ils remontent à leur source : la Terreur...
∗ Préambule de la Constitution :
Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l'homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu'ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946, ainsi qu'aux droits et devoirs définis dans la Charte de l'environnement de 2004.
En vertu de ces principes et de celui de la libre détermination des peuples, la République offre aux territoires d'outre-mer qui manifestent la volonté d'y adhérer des institutions nouvelles fondées sur l'idéal commun de liberté, d'égalité et de fraternité et conçues en vue de leur évolution démocratique.
Dimanche soir, sur la 2 (avec Delahousse) : rien, même pas un mot, même pas une allusion...
Hier matin, lundi, sur BFM, un journaliste "balai-brosse", plus qu'archi-super-ultra complaisant, offrait à Lagarde l'occasion de justifier son propos totalement inacceptable : la chaîne est même allé chercher/retrouver trois bribes de déclarations de ce pauvre Pasqua, mort en 2015, dans lesquels il parlait de son amitié pour Zemmour "écornée" et d'une prise de distance avec certaine de ses positions.
Eu égard à l'énormité du propos de Lagarde, c'est tout de même bien peu : entre dire que votre amitié pour quelqu'un est "écornée" et parler d' "une balle dans la tête", on nous permettra de penser qu'il y a comme une très légère différence...
Et, puis, faire parler les morts est un exercice peu digne d'un journaliste...
Si c'était Zemmour qui avait tenu les propos de Lagarde, ou Marine Le Pen, on peut être certain que les Champs-Élysées auraient été brûlés du haut en bas, que toutes les boutiques de vêtements, motos, luxe, alimentaire... auraient été pillées par des hordes de cagoules noires et que les mêmes scènes se seraient reproduites partout en France...
On peut être certain aussi que la même caste médiatique frappée intégralement, pour un temps, d'une extinction de voix aussi généralisée qu'invalidante, se serait succédé sur les antennes pour dénoncer pêle-mêle, "peste brune", "dérapages nauséabonds", "heures les plus sombres de notre Histoire", "bruits de botte et tout le toutim...
Là, c'est silence radio !
Un homme de gauche a proféré une énormité himalayenne : pour lui, c'est bienveillance et compréhension, tout le temps pour expliquer et justifier l'inexplicable et l'injustifiable. La Fontaine ne s'est pas trompé : "Selon que vous serez..." mais, aujourd'hui, il faudrait le compléter par "Selon que vous serez de gôche ou bien d'en face..."
Ainsi va, vit, raisonne et se comporte une caste médiatique indigne et pourrie jusqu'à l'os; parfaitement représentative de ce Système dont elle est issue, lui-même pourri jusqu'à l'os.
On en revient toujours à Léon Daudet : la seule action qui vaille est "une action réellement d'opposition, c'est-à-dire prêchant ouvertement la subversion du Régime"
17 octobre 1961-17 octobre 2021 : 60 ans ! Emmanuel Macron s’apprête à reconnaître « une vérité historique » lors de la commémoration officielle du massacre, à Colombes (Hauts-de-Seine). Il déposera une gerbe sur les quais de la Seine, respectera une minute de silence et s’entretiendra avec les familles des victimes.
Alors que l’Assemblée nationale a donné, mercredi soir, son feu vert pour un prolongement du passe sanitaire jusqu’à l’été 2022, Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, revient sur ce qu’il appelle « le vote de la honte ». Le texte, voté dans un Hémicycle à moitié vide, aurait selon lui pu être contré si l’opposition avait rassemblé ses troupes.
Voilà qui ressemblerait à une « fake news », pour reprendre l’actuelle sémantique médiatique, mais ne peut tout à fait en être une, puisque publiée, ce 20 octobre, dans Le Monde, arbitre des élégances démocratiques : « Insultes, dégradations, refus de l’autorité municipale… Pour le maire de Clairac [en Lot-et-Garonne, NDLR] comme pour ceux de communes voisines, l’air du temps a changé, sans qu’ils aient les moyens d’y remédier. »
Au printemps 2019 arrivait devant la Justice le premier « contentieux climatique contre une entreprise » de notre histoire. Un collectif mené par l’ONG Sherpa (dirigée par Cécile Duflot) mettait Total en demeure de « prendre les mesures nécessaires pour prévenir les risques majeurs liés au changement climatique ».
C’est une initiative enchanteresse, à en croire les propos élogieux du Monde et de France Info qui fêtent son vingtième anniversaire. Son nom : la Bibliothèque humaine.
L’idée est née à Copenhague, nous dit-on ; elle a germé dans l’esprit de quatre Danois membres du groupe « Stop the violence ».
Depuis que court cette pandémie de Covid-19, le monde scientifique n’a cessé de se déconsidérer, mettant au ban tous ceux ou presque qui osent remettre en doute la doxa officielle.