Sur la page FB de nos amis du GAR : Bismarck avait tout compris.

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Sources : http://www.actionroyaliste.fr/
Pour mener à bien une véritable politique écologique, encore faut-il l’inscrire dans la durée et ne pas dévier de sa route (fut-elle ardue et semée d’embûches) malgré les pressions des lobbies industriels ou consommateurs qui peuvent avoir tendance à ne penser qu’à leur intérêt immédiat et particulier, au détriment du long terme et des générations qui viennent et viendront…
Le roi Louis XIV n'a sans doute pas dit "L’État c'est moi", comme le fait croire Voltaire, mais, sur son lit de souffrance et de mort, il a bien rappelé que, lui mort, l’État vivrait et vivrait encore, à travers son successeur : "le roi est mort, vive le roi !"
Ce pourrait-être le titre du dernier livre d’Éric Zemmour.
Et l’on peut s’attendre à une descente en flammes de cet ouvrage. On ne sait pas ce qu’il y a dedans, mais seul le nom de l’auteur va permettre une mise au pilon en règle par la bien-pensante orthodoxie régnante.
Ne jamais oublier ce qu'a subi le monde ouvrier avec la république antisociale ! Toujours bon de le rappeler ! La république ne fut pas émancipatrice, mais oppressive pour le monde ouvrier...
« L'ambition, le goût du progrès, la conscience civique » sont les trois vertus essentielles distinguées par notre Président, selon le journal Challenges.
Les Français plébisciteraient ces trois pseudo-vertus ! Je pense que c’est nous faire injure ; voilà trois belles « Valeurs de la République » qui n’ont aucune légitimité dans le coeur des Français !
C’est sous les huées et les sifflets qu’a donc commencé, à Marseille, la campagne électorale de Macron pour la prochaine présidentielle.
Revenir à l'histoire de France, celle de sa fondation et de ses aspérités, celle de ses actes glorieux et celle de ceux qui l'ont malmenée, cette histoire qui, en politique, reste notre "maîtresse" sans nous empêcher d'imaginer "autre chose que ce qui existe aujourd'hui".
Haïti est l'un des plus pauvres des pays, mais il est cher au cœur des Français qui n'oublient pas leur histoire, et cela même si elle fut parfois cruelle et éminemment douloureuse (y compris pour notre pays), ni notre devoir social envers ceux qui portent une partie de notre héritage, ne serait-ce que par la religion et la langue.