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Sur la page FB de nos amis du GAR : Louis XIV "Je m'en vais, mais l'Etat demeurera toujours ; soyez-y fidèlement attachés."

Le roi Louis XIV n'a sans doute pas dit "L’État c'est moi", comme le fait croire Voltaire, mais, sur son lit de souffrance et de mort, il a bien rappelé que, lui mort, l’État vivrait et vivrait encore, à travers son successeur : "le roi est mort, vive le roi !"

Tout l'intérêt d'une Monarchie royale c'est d'éviter la brusque rupture et de permettre, au contraire, la continuité, tranquillement assurée par la transmission héréditaire. En France, sous les rois, "l’État ne meurt jamais".
Au moment où l’État de la Cinquième République montre de grandes fragilités quand il ne s'agit pas d'impuissance, il n'est pas inutile de poser la question de la pérennité de l’État, au-delà des aléas électoraux et politiciens, et de se rappeler les conseils de Louis XIV : la fidélité à l’État (qui n'est pas forcément ni exactement la République), cette fidélité qu'ont oublié les féodaux de la République plus attachés à s'en servir qu'à le servir...
Les Royalistes, eux, servent l’État en la distinguant bien de la République qui n'en est que la forme temporaire et, souhaitons-le, bientôt remplacée par la seule institution qui rende à l’État toute sa valeur sans en oublier les nécessaires limites : la Monarchie royale, fédérale et sociale !
 
(illustration : la citation du roi Louis XIV sur son lit de mort, publiée dans Le Figaro de ce mercredi 1er septembre)
 

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