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« Pour le baiser coupable d’une sainte, j’accepterais la peste comme une bénédiction »
(Emil Cioran, Des larmes et des saints).
« Toutes les choses recommencent comme elles ont commencé » (Joseph de Maistre, Examen de la philosophie de Bacon, chap. XIX).
Paysage du Haut-Karabakh
© Bouarf / CC by-sa
Une nouvelle fois le peuple arménien, peuple chrétien, un des premiers, se trouve en grave danger sur le territoire du Haut-Karabakh. Malgré un cessez-le-feu bien aléatoire. On est bien obligé de faire mémoire du passé, car par deux fois, à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle il fut l’objet d’horribles massacres.
Si les Azéris ont gagné, c'est parce qu'ils ont été surarmés (notamment en drones) par la Turquie; aussi parce que leur Président, insensé, avait stupidement indisposé Poutine; mais aussi parce que "le monde libre face l'Islam" l'a abandonné...
© Pascal Deloche / Godong
Il n’est guère possible d’ignorer la polémique qui oppose les catholiques qui acceptent l’interdiction des messes au nom des exigences sanitaires et ceux pour qui elle est une atteinte cruelle à leur vie chrétienne. La messe n’est pas un rite secondaire, car selon la tradition c’est l’eucharistie qui construit l’Église.
Ce gouvernement pensait-il réellement que cette nouvelle interdiction de la messe allait passer comme une lettre à la Poste ?
La protestation a commencé tout doucement, sans bruit – quels médias, en dehors de la cathosphère, pour l’évoquer ? -, avec de gros dossiers juridiques bien étayés dans le huis clos du Conseil d’État, appuyés par une pétition de – quand même ! – 100.000 personnes. Cela aurait pu s’arrêter là.
La mise à plat du récit islamique en France, au travers notre étude « L’Islam, ennemi numéro 1 bis », a commencé avant les tragiques décapitations de Conflans Sainte Honorine et de Nice qui secouent actuellement les profondeurs du pays réel. Alors… l’Action française est-elle prophétique ? Non mais elle dispose d’une méthode d’analyse politique, basée sur l’observation des faits et non sur l’idéologie ou la morale.
Mémorial Charles de Gaulle.
Colombey-les-Deux-Églises.
© Juergen Kappenberg / CC by-sa
À l’occasion du cinquantième anniversaire de la mort du général de Gaulle, parmi les sujets à évoquer, on peut parler de ses relations avec la foi et l’Église catholique. Très attaché à l’une et à l’autre, il en tirait une certaine idée de la civilisation accordée à la personnalité de la France.
Certains semblent vouloir se contenter d'internet.
Mais, la #messe catholique, c'est la présence réelle et la transubstantiation.
Les catholiques vivent de la messe !
Comme si l'on était plus contaminateur et contaminable au banc de communion qu'à une caisse de supermarché.
Alors ? Vers le retour de la #MesseClandestine et du #ClergéRéfractaire ?
Pierre-Yves Rougeyron revient sur les récents attentats qui ont eu lieu sur notre sol et nous fait par se son analyse et de ses solutions pour en sortir.
"Respecter les musulmans, c’est considérer qu’ils sont des Français comme les autres et qu’ils ne doivent pas être réduits à leur religion. Ce que permet la discrétion propre à une République qui met à distance les signes extérieurs d’appartenance", argumente Natacha Polony, directrice de la rédaction de "Marianne".