Bien reçu, le message du Cardinal Sarah...

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En application de la loi de 1905, le tribunal administratif de Rennes, saisi par la fédération départementale de la Libre Pensée, a condamné le département des Côtes d'Armor jeudi 18 novembre à démonter d'ici trois mois un calvaire situé sur le domaine public, à Plorec-sur-Arguenon.
« Reconnaissez et adorez Jésus dans l’hostie et
vous le reconnaîtrez et le servirez dans les pauvres. »
© P Deliss / Godong
Il est en train de se produire un étonnant phénomène, pour nous autres chrétiens, lié à la pandémie qui s’est emparée du monde entier. En effet, la privation de l’Eucharistie, due aux disciplines sanitaires décidées par le gouvernement, nous oblige à repenser à la réalité fondamentale de ce sacrement.
Dieu serait-Il de retour ? Par des voies imprévisibles, parfois redoutables comme celle de l’islamisme, mais qui nous obligent à réfléchir à sa véritable nature. Même la revendication pour la messe qui le font envisager par certains comme un intrus. Mais un intrus qui nous réveille pour notre plus grand bien.
Chaque jour le pôle idéologique islamiste grignote un peu plus de terrain. « Ils en veulent et ils nous en veulent », disait notre diplomate René Servoise !
Quelle réponse apporte le pôle idéologique des « valeurs républicaines » ? Ou plutôt,quel est son système cohérent de valeurs et son projet de société ?
Notre ami François Schwerer nous a fait parvenir la copie du document qu'il a adressé dimanche dernier à son archevêque et à son auxiliaire
Le décret du 29 octobre 2020 qui a explicité les mesures prises pour la deuxième vague de confinement que connaît la France, a interrompu tout culte public, à l’exception des messes d’enterrement (en présence de 30 personnes) et celles de mariage (en présence de 6 personnes)1. Devant une telle mesure, impensable, plusieurs associations catholiques et les Evêques de France ont saisi le Conseil d’Etat en référé-liberté pour que cette mesure soit rapportée
Le Bon Samaritain, monastère de Kykkos,
Chypre.
© Philippe Lissac / GODONG
Pourquoi ne pas l’admettre ? Lorsqu’il y a désaccord dans n’importe quelle situation, il vaut mieux mettre clairement en évidence les termes du débat, les causes du dissentiment, plutôt que de rester dans un à-peu-près qui, finalement, ne satisfait personne et contribue, au contraire, à gâcher le climat et à envenimer les relations sociales. Cela vaut autant pour l’Église catholique que pour la communauté nationale.
Engagé aux côtés des Arméniens, le maire de Valence Nicolas Daragon lance un appel aux maires et aux élus locaux pour la reconnaissance internationale de la République du Haut-Karabagh. Il s'agit du "seul moyen de garantir la sécurité de ses habitants et d’éviter un nettoyage ethnique", écrit-il. Il a raison, son initiative est à soutenir, et lafautearousseau s'y associe pleinement...
Rassemblement pour la messe, dimanche
15vnovembre, St-Maur-des-Fossés (94).
© Michel Pourny
Les catholiques manifestent devant les cathédrales et les églises pour demander la liberté de la messe. Le ministre de l’Intérieur réunit les autorités religieuses. Entre l’impératif sanitaire et l’exigence religieuse y a-t-il un compromis possible ?
« Chacun sent bien que le deuxième confinement ne passe pas, dans le pays. Les sondages globaux sont faussés par le climat de peur », écrit, sur son blog, Maxime Tandonnet, dans un article intitulé L’Explosion qui approche.
Monseigneur, dimanche 15 novembre, dans de nombreuses villes de France, des catholiques ont prévu de se rassembler pour demander que soient à nouveau autorisées les messes publiques. Certains évêques ont pris leur distance avec ces initiatives et, à Paris, la manifestation annoncée a été interdite. Quel regard portez-vous sur ces rassemblements ?
Aptonyme : nom de famille qui semble refléter plaisamment l’occupation de quelqu’un. Un exemple ? L’actualité juridique nous en offre un cocasse. Représentante du gouvernement défendant le maintien de la suspension des messes publiques : Pascale Léglise. Samedi 7 novembre, le Conseil d’État rejetait, sur son conseil, le recours de différentes associations catholiques, de fidèles et d’évêques.
Le revoilà. Jean-Luc Mélenchon, la baudruche politique artificiellement gonflée pour la présidentielle de 2017, vient de se déclarer candidat à l’élection présidentielle de 2022. Malmené dans les sondages d’opinion, il vient de faire d’une pierre deux coups en déclarant, sur BFM TV, le 12 novembre : « Il y a, dans ce pays, une haine des musulmans déguisée en laïcité. » Une outrance de plus, une ineptie supplémentaire.