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Comment célébrer la grande semaine de l’année pour les chrétiens, alors que toute manifestation publique et tout rassemblement, quel qu’il soit, sont strictement interdits ? Chaque paroisse, chaque diocèse, l’Église de France, le Pape ont tenté d’apporter une réponse à cette impossibilité. À peu près tous les intéressés ont décidé d’employer les moyens de communication moderne, et notamment les fameux réseaux sociaux. Comment le leur reprocher ? Quand une communauté n’a plus la possibilité de se réunir autour de l’eucharistie, on voit mal comment reprocher à ses responsables de la convoquer grâce à une médiation qui a l’avantage de la visibilité.
Un agriculteur en plein travail dans sa pommeraie. Pérenchies, 31 mars 2020 DENIS CHARLET/AFP
L’angoisse de la pénurie qui frappe de nombreux Français nous rappelle à quel point le travail de nos agriculteurs est essentiel dans notre société, estime Anne-Cécile Suzanne. Plus que jamais nous devons leur rendre hommage.
Anne-Cécile Suzanne est agricultrice en polyculture élevage dans l’Orne et diplômée de Sciences Po.
En 1346, le roi Philippe VI de Valois créé le premier code forestier, preuve de tout l'intérêt que la royauté accorde aux forêts et à leur préservation. Aujourd'hui, en 2020, la République macronienne veut privatiser ce qui permet de la maintenir en bon état et de la renouveler au-delà des seuls aspects économiques. Non à la privatisation de l'ONF (Office National des Forêts) ! Défendons la cause des arbres et des forêts de France !)
A propos de l'hymne corse, "Dio vi salvi, Regina..."
On aura ci-après deux versions du Dio vi salvi Regina, la première plus traditionnelle (voix seules, féminine et masculines), la deuxième orchestrée et plus inattendue :
Hélas, Catoneo, nous avons appris comme vous, à la même heure, le résultat consternant de l'élection municipale à Martigues (et à Roquevaire).
Tant pis !
Cela ne change rien à notre combat pour sauver le très beau monument qu'est la Bastide de Charles Maurras au Chemin de Paradis, ainsi que son Jardin, l'une et l'autre étant scandaleusement et d'une façon insensée - preuve d'une mauvaise gestion de la Ville - laissées à l'abandon depuis des années : abandon complet pour la maison, quasi complet pour le jardin, simplement nettoyé "a minima"...
Ce combat consistera, entre autre, à rappeler sans cesse à la très riche Mairie de Martigues qu'elle a promis, par un vote assez récent, 850.000 euros pour la restauration de cette Bastide. Qu'elle les mette donc sur la table ! En sachant bien que, sur un monument de ces dimensions, classé pour sa façade et sa toiture, on ne fait pas grand chose avec huit cent mille euros : l'incurie, la mauvaise gestion, le sectarisme insensé de la Mairie risquent fort de lui faire ajouter pas mal d'euros à ceux déjà promis !
Notre-Dame, comme chacun le sait, est l’âme de la France. C’est autour d’elle que les Français se réunissent et cela est bien normal puisque la France lui est consacrée. Comment ne pas en être conscient aujourd’hui quand on voit l’émotion qui a gagné tous les Français devant leur cathédrale en flammes ? Dans toutes leurs épreuves comme lorsqu’ils veulent partager leur joie, les Français se réunissent toujours aux pieds de Notre Dame. Si les divertissements bruyants prennent place sur les Champs-Elysées où s’agglutinent des masses bigarrées, les grandes émotions du peuple uni et solidaire ne peuvent s’exprimer que devant Notre Dame. Elle est notre Reine, mais aussi notre confidente. C’est pourquoi, en méditant sur la restauration de la cathédrale de pierres les Français doivent y puiser aussi un enseignement pour leur vie de citoyen. En effet, si le monument qui est le symbole de notre pays, est aujourd’hui bien abîmé, le pays lui-même, ouvert à tout vent, menace ruine.
Les élections municipales, qui se déroulent dimanche, pâtissent du climat très particulier provoqué par l’épidémie que l’on sait. L’abstention sera-t-elle aussi massive que certains le craignent ? Ce serait un mauvais signal pour l’esprit civique. L’échelon communale est celui qui devrait concentrer le maximum d’attention, en raison de la proximité des intérêts en cause. C’est d’ailleurs le cas, car il semble que, parmi les politiques, ce sont les maires qui disposent du meilleur degré d’estime de la part de la population.
André Bercoff a reçu Gabrielle Cluzel, la rédactrice en chef du site Boulevard Voltaire et auteure du livre « Enracinés ! Nous sommes tous des héritiers » (Artège).
La première trace écrite que l'on possède au sujet des Carnavals date de 1294 : cette année-là, Charles d’Anjou, Comte de Provence, signale avoir passé à Nice "les jours joyeux de Carnaval". Charles d'Anjou - qui devait mourir en 1309 - devient ainsi, pour ainsi dire, le premier "chroniqueur" du Carnaval... On sait que ce prince fit "de fréquents séjours en Provence où il se montra un sage administrateur". Ce qui explique sa présence, en 1294, aux réjouissances du Carnaval de Nice, qui est donc le plus ancien connu, et reconnu, en France, même s'il n'est, bien sûr, pas le seul : plusieurs autres villes en France organisent de très beaux et très joyeux Carnavals...
En 1875, et considérant le succès du Carnaval de Nice, des hôteliers proposent à la municipalité de créer le Carnaval de Menton. Le succès fut immédiat et, en 1882 la reine Victoria elle-même vint à Menton, où le Carnaval se termina par un feu d’artifice, tiré dans la baie de Garavan.
« Le racisme répugne à l'esprit Français » disait J.P.Maxence. Une ouverture plus vaste dans un partenariat avec les pays du Tiers-Monde serait bénéfique, pays qui verraient avec plaisir moins de jeunes s'en aller et l'ouverture vers un développement durable de leurs structures... Ecoutons Albert Thielen, président d' « Action Sahel » : « L'immigration est toujours un drame, quoi qu'en pensent les idéologues des beaux quartiers. En outre, il faut aider les Africains à se développer eux-mêmes plutôt que de saupoudrer d'aides le continent noir tout en lui aspirant ses forces vives... Notre travail doit permettre à ces gens de mieux vivre dans leur environnement et de se sédentariser, surtout chez les jeunes... Les Africains veulent garder leur jeunesse et la former sur place, ils en ont besoin ! Tant pis pour les personnalités de gauche qui, en France, se donnent bonne conscience ou basant leur fond de commerce sur la misère de ces gens ».
Quelle écologie pour demain ? 10,00€ , Éditions de Flore, 163 pages, janvier 2020. Préface de Jacques de Guillebon.
Voici donc le cinquième titre de la jeune collection des Editions de Flore. Une série d’ouvrages bon marché que l’on met facilement dans sa poche tandis que la canne des anciens camelots reste dans la main ( image, image, rigole camarade progressiste…). Cette fois-ci on y traite d’écologie et rien de plus naturel.