UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Patrimoine, Racines, Traditions - Page 34

  • Les Archives de la Maison de France déposées aux Archives nationales...

    Sur le Blog La Couronne :

    https://www.la-couronne.org/culture/les-archives-de-la-maison-de-france-deposees-aux-archives-nationales/?fbclid=IwAR0aZ1-vXQSuuKYQLsAdBOt0S_C2HK3orkFzotBx8-lzV_U2kSByKK7OteM

  • A Valenciennes, en septembre : le Saint Cordon...

    Cette rapide présentation de l'importante Fête du Saint Cordon, si chère au coeur des Valenciennois, est tirée de notre Album Ces Fêtes qui "font", qui "sont" la France... (partie 2, Les Fêtes religieuses)

     

    1008, dure année pour les Valenciennois, décimés par la peste; mais aussi, 1008, Valenciennes, protégée par Notre Dame du saint Cordon...

    Lire la suite

  • Tout ce qui est Racines est bon ! Aujourd'hui et demain, la Grande braderie de Lille (depuis 1523 !)...

    C'est en 1523 qu'apparaît la première date officielle du début de la grande braderie de Lille...

     

     Cette courte présentation de ce grand événement est tirée de notre Album (en cours de finition) Ces Fêtes qui "font", qui "sont" la France..., dont elles constituent, pour l'instant, les trois dernières photos de la partie I : Fêtes civiles...

    Lire la suite

  • Notre Dame de Paris n’est pas encore sauvée : entre urgence et précaution, les travaux de consolidation ont redémarré, enfin...

    Interrompus depuis trois semaines à cause en raison des risques de contamination au plomb, les travaux de consolidation de Notre-Dame de Paris ont enfin repris, le lundi 19 août dernier, avec des mesures de sécurité renforcées. 

    S'il est normal, et prudent, d'avoir pris des précautions en ce qui concerne la contamination au plomb, on ne peut que regretter ces trois semaines passées (perdues ?), quand on sait que la cathédrale risque toujours de s'effondrer, et qu'on est toujours dans l'urgence absolue, en ce qui la concerne...

    Lire la suite

  • Sur le Blog La Couronne : Qu'est-ce que la Fondation Saint Louis...

    https://www.la-couronne.org/culture/quest-ce-que-la-fondation-saint-louis/?fbclid=IwAR2ucmGB5Qe-OusNw56mTTzWSlcbLVMo9vbPjsZvL83XMyFPoZm_rxsclvQ

  • Ce soir, sur France 3, le Grand spectacle du Festival interceltique

    Ce 49ème Festival a mis à l'honneur, cette année... : la GALICE !

    https://www.festival-interceltique.bzh/actualites/

     

    Avec les Fêtes de Bayonne, de la semaine dernière, ce magnifique Festival constitue le début de notre Album Ces Fêtes qui "font", qui "sont" la France : tout simplement parce que les Basques constituent le premier peuplement connu de notre cher et vieux pays; et, aux Basques sont venus se superposer les Celtes : au moment où le Système, aux ordres d'une mondialisation qui veut effacer toutes frontières, toute Histoire et toutes Traditions, afin "d'organiser" la Terre entière en vue seulement du profit de "la fortune anonyme et vagabonde", il est bon de s'en souvenir...

    Comme le disait Maurras : "Ce pays-ci n'est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d'un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie..."

  • Le Festival Interceltique de Lorient s'est achevé hier : revivez un peu de la "Nuit interceltique 2019"...

    Lire la suite

  • Pour préparer le 15 Août : l'axe exact du château de Versailles...

    Jeudi prochain, ce sera le 15 Août, l'Assomption : saviez-vous l'importance de cette date, sous la Royauté ? Et comment Louis XIV en était tellement pénétré qu'il l'a inscrite dans "son" château ?

    Voici le texte accompagnant la dernière photo de notre Album "Versailles, le palais-temple du Roi soleil : un triple poème, humaniste, politique et chrétien"...

    Lire la suite

  • Tout ce qui est Racines est bon ! Jusqu'à dimanche, le 49ème Festival Interceltique de Lorient...

    Ce 49ème Festival met à l'honneur, cette année... : la GALICE !

    https://www.festival-interceltique.bzh/actualites/

     

    Avec les Fêtes de Bayonne, de la semaine dernière, ce magnifique Festival constitue le début de notre Album Ces Fêtes qui "font", qui "sont" la France : tout simplement parce que les Basques constituent le premier peuplement connu de notre cher et vieux pays; et, aux Basques sont venus se superposer les Celtes : au moment où le Système, aux ordres d'une mondialisation qui veut effacer toutes frontières, toute Histoire et toutes Traditions, afin "d'organiser" la Terre entière en vue seulement du profit de "la fortune anonyme et vagabonde", il est bon de s'en souvenir...

    Comme le disait Maurras : "Ce pays-ci n'est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d'un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie..."

  • Aujourd'hui commence le Festival interceltique de Lorient : à partir de 15h15 sur FR3...

    Ce 49ème Festival met à l'honneur, cette année... : la GALICE !

    https://www.festival-interceltique.bzh/actualites/

     

    Avec les Fêtes de Bayonne, de la semaine dernière, ce magnifique Festival constitue le début de notre Album Ces Fêtes qui "font", qui "sont" la France : tout simplement parce que les Basques constituent le premier peuplement connu de notre cher et vieux pays; et, aux Basques sont venus se superposer les Celtes : au moment où le Système, aux ordres d'une mondialisation qui veut effacer toutes frontières, toute Histoire et toutes Traditions, afin "d'organiser" la Terre entière en vue seulement du profit de "la fortune anonyme et vagabonde", il est bon de s'en souvenir...

    Comme le disait Maurras : "Ce pays-ci n'est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d'un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie..."

  • On peut raisonnablement l'espérer : Sénanque sera probablement sauvée...

    pour découvrir l'Abbaye : https://www.senanque.fr/

    pour faire un don: https://www.senanque.fr/senanque-une-abbaye-en-perile/

     

    Très bref résumé de l'histoire de ce splendide monument, et des causes de sa disparition possible si rien n'est fait, très vite, pour réparer une décision aberrante prise follement en 1970...

    Lire la suite

  • Tout ce qui est Racines est bon ! Ce soir, c'est le début des Fêtes de Bayonne...

    C'est l'occasion de découvrir ces Fêtes, en regardant les quatre photos que nous leur consacrons dans notre Album - en cours de rédaction - :  Ces Fêtes qui "font", qui "sont", la France...

    Voici le texte de la première (et son illustration); pour consulter les suivantes (et, éventuellement, vous intéresser à d'autres Fêtes, qu'elles soient religieuses ou profanes, 

     

    Les fêtes de Bayonne, c'est tout le Pays Basque, cette terre magnifique où les traditions populaires se sont maintenues, plus qu'ailleurs exceptionnellement vivaces. 
    Ces fêtes commencent le mercredi qui précède le premier week-end du mois d'août, et se terminent le dimanche suivant. 
    Elles réunissent un million et demi de participants - tout de blanc et de rouge vêtus - et sont les les plus importantes de France; elles se célèbrent aussi bien le jour que, les nuits, dans un extraordinaire concours de peuple et une incessante animation.

    Les Fêtes de Bayonne, c'est donc, sur près d'une semaine, un million et demi de personnes qui se côtoient, se retrouvent et fraternisent, joyeusement, dans le bonheur de la fête et aussi - et surtout - la pleine conscience et la fierté légitime d'appartenir à un peuple, à une nation, héritiers d'une authentique culture, d'une riche et belle civilisation, de traditions plus que millénaires...

    Tout a commencé en 1932 : cette année-là, une quinzaine d'amis bayonnais sont à Pampelune, où ils découvrent le concept de la "fête de rue" en assistant aux traditionnelles Sanfermines, les fêtes de la Saint Firmin, et leurs lâchers de taureaux dans les rues de la vieille ville (les encierros). 
    Enthousiasmés, ils décident d'importer chez eux, à Bayonne, en l'adaptant, ce qu'ils viennent de vivre dans la ville navarraise. 
    La couleur traditionnelle, et officielle, en Navarre, est le "rouge et blanc" : au début, à Bayonne, ce fut bleu et blanc, mais, très vite, le rouge et blanc s'imposa. 
    On peut porter l'écharpe rouge avant 22 heures, ouverture officielle de la fête, par exemple au poignet; mais ce n'est qu'à partir de l'ouverture officielle de la fête que l'on peut porter l'écharpe autour du cou, ce qui rappelle le martyre de Saint Léon, décapité à Bayonne vers 890... 

    Site officiel :
    http://www.fetes.bayonne.fr/

  • Le château d’Amboise, une fenêtre royale sur l’histoire de France

     

    Pour célébrer avec son homologue italien, Sergio Mattarella, le 500e anniversaire de la mort de Léonard de Vinci, le président de la République Emmanuel Macron sera (aujourd'hui) l’hôte du nouveau comte de Paris et d’un château qui incarne la permanence de la couronne de France.  (Le Figaro / Philippe Viguié-Desplaces )

     

  • Projet de Loi « pour la restauration et la conservation de la cathédrale Notre-Dame de Paris »

    Par François Reloujac 

    XVM7fbf67f0-65db-11e9-8e63-23165fe113f9.jpgLe texte du projet de loi présente plusieurs éléments qui font craindre le pire.

    Notre-Dame laïcisée !

    1. Il n’est nulle part fait mention que ce bâtiment qui appartient à l’Etat est un lieu de culte catholique. Il n’est présenté que comme un élément du patrimoine mondial où chacun peut se réunir : « fleuron d’un art qui rayonna dans toute l’Europe, espace sacré et monument littéraire, lieu de mémoire de la France libérée, lieu de rassemblement et de recueillement populaires ». L’exposé des motifs – qui n’est pas soumis au vote du Parlement mais qui est censé éclairer le juge sur la volonté dudit Parlement – ne fait référence ni à son importance cultuelle ni à son caractère spécifiquement chrétien. Dès lors, le projet de loi « laïcise » complètement Notre-Dame et ce point est important en cas de litiges demain, car la Cour de cassation se réfère toujours « à la volonté du législateur ». Nulle part il n’est rappelé que le bâtiment, restauré continuera à avoir comme affectataire l’Eglise catholique.

    Le détournement des fonds

    2. L’article 3 prévoit que la « Fondation Notre-Dame » devra reverser « à l’Etat ou à l’établissement public chargé de la restauration et de la conservation de la cathédrale Notre-Dame de Paris » les sommes reçues. C’est-à-dire que l’archevêché de Paris qui est le responsable de cette Fondation n’aura plus son mot à dire sur l’affectation des sommes. Comme cette Fondation Notre-Dame gère aussi de « nombreuses autres causes »[1] elle devra tenir une double comptabilité. Ceci d’autant plus que les sommes affectées à la reconstruction ne bénéficieront pas du même régime fiscal que les autres. Bien plus, comme la loi prévoit une rétroactivité au 16 avril, tous ceux qui ont déjà versé des sommes pour Notre-Dame vont être affectés par ce détournement de fonds.

    Un régime fiscal hybride

    3, L’article 5 est tout aussi problématique car il soumet les sommes versées pour la reconstruction à un régime fiscal spécifique, hybride. Ces sommes, dans la limite de 1000 € par donateur ne seront pas traitées comme des donations « de droit commun » qui bénéficient d’une réduction d’impôt de 66 % ni comme des donations pour un Trésor national qui bénéficient d’une réduction de 90 %. Ce seront des donations d’un type particulier dont le régime fiscal sera calqué sur celui des « réductions d’impôt Coluche », sans pour autant se confondre avec celles-là.

    Prébendes d’un nouveau type

    L’article 8 permet au Gouvernement de faire réaliser les travaux de restauration et conservation du bâtiment par un nouvel établissement public – un de plus alors qu’il en existe déjà plusieurs qui œuvrent dans le même domaine comme, par exemple, le Centre des Monuments Nationaux – qui pourra être dirigé par des personnes auxquelles les limites d’âge « applicables à la fonction publique de l’Etat » ne s’appliqueront pas. Autant avouer immédiatement que ce nouvel établissement permettra de verser des sommes supplémentaires à des retraités bénéficiant déjà de revenus confortables. Et les sommes nécessaires au versement de ces prébendes d’un nouveau type pourront être prélevées sur les dons faits y compris à la Fondation Notre-Dame.

    Objectif : les Jeux olympiques

    Enfin l’article 9 permet au Gouvernement de ne pas respecter, par simple voie d’ordonnance, les « règles d’urbanisme, de protection de l’environnement, de voirie et de transports ainsi que [les] règles de commande publique et de domanialité publique ». Il va même jusqu’à permettre de ne pas respecter la Convention de Venise (de 1984) ratifiée par la France et qui a pourtant, constitutionnellement, une force supérieure à une simple loi. Il est vrai qu’il faut aller vite, si l’on veut pouvoir inaugurer une nouvelle cathédrale, « encore plus belle » et faisant place à la « geste » des « starcitectes » comme les appelle Stéphane Bern, avant l’ouverture des Jeux Olympiques de Paris dans cinq ans. Comme l’écrit Didier Rykner, dans la Tribune de l’Art :

    « Finie l’ennuyeuse Commission nationale des monuments historiques, fini le contrôle des Architectes des Bâtiments de France parfois si tatillons, fini le contrôle des conservateurs des monuments historiques, finies les ennuyeuses prescriptions pour les restaurations, finie l’archéologie préventive qui pourrait permettre de profiter des travaux de restauration pour fouiller le sol de Notre-Dame… »

    « Encore plus belle ? »

    Le même Didier Rykner s’insurge encore contre ces deux derniers articles, les 8 et 9. Ce qui le fait réagir est le fait que les promesses de dons dépassent le montant des estimations du coût des travaux. « Que va-t-on faire des 300 et quelque millions qui resteront sans doute après la restauration complète de Notre-Dame ? Va-t-on, avec cet argent, lui donner un toit recouvert d’or fin pour la rendre « encore plus belle » comme le souhaitait le Président Macron ? Ne serait-il pas plus judicieux de prévoir, en cas de budget trop important, une destination utile à ces fonds ? Le Premier ministre a dit qu’il ne trahirait pas les donateurs en affectant l’argent à autre chose qu’à la restauration de Notre-Dame. Mais croit-il vraiment qu’il les trahirait davantage en décidant d’affecter ce surplus à un fonds de dotation pour les autres cathédrales de France qu’il ne le ferait en lançant un concours international pour un « geste architectural contemporain » sur la cathédrale ? » Et, pour enfoncer le clou, il n’oublie pas de souligner qu’une partie des œuvres qui ont été offertes à Notre-Dame à une époque ou à une autre, sont aujourd’hui et « depuis longtemps au Musée du Louvre et au Musée d’Arras, roulés dans les réserves. Mais puisque [ces œuvres d’art] ne sont plus depuis longtemps dans la cathédrale, le projet de loi les exclut a priori ».   

    [1] Le Père Vivarès a expliqué : « Créée en 1992 par le cardinal Lustiger, elle soutient, discrètement et depuis plus de vingt ans, des actions extrêmement diverses relatives à la solidarité, l’éducation et la culture chrétienne. Ses missions, financées par le mécénat et les dons, regroupent ainsi des projets liés à la jeunesse, l’éducation, la famille, la précarité, l’exclusion, l’emploi, le logement… et bien sûr la culture, comme en témoigne le triste incendie de Notre-Dame de Paris. (…) En 2018, c’est plus de 2,36 millions d’euros qui ont été engagés dans 184 projets. 63% du montant a permis de financer 88 projets liés à la solidarité (soit 1.386.000 d’euros), 28% du montant a été engagé dans 74 projets liés à l’éducation (soit 617.000 euros) et 9% dans 17 projets liés à la culture (soit 206.000 euros). Concernant la nature des projets, l’accompagnement des personnes concerne 47% du budget, soit près de la moitié, les séjours organisés pour les enfants et les adolescents 27%, la rénovation des lieux d’accueil 8%, les événements culturels 7%, l’aide alimentaire 6%, la formation 4% et les médias 1%. En tout, c’est 97 associations qui ont bénéficié, en 2018, du soutien de la Fondation Notre Dame, ce qui a permis d’aider 1,3 millions de personnes, dont 58.000 en situation précaire, 6.000 enfants et jeunes connaissant des difficultés économiques et sociales, 107 familles en situation de pauvreté et 52 personnes en situation de handicap… ».
    François Reloujac
    Journaliste, spécialiste des questions économiques

    A lire aussi dans lafautearousseau ...

    Notre-Dame de Paris, prochaine victime de l’idéologie du dépoussiérage
    une tribune de Bérénice LEVET. [Le Figaro, 24.04].
  • Patrimoine • Paris, Arche du Temps : un film qui parlera aux lecteurs de LFAR, c'est certain !

    Notre-Dame qui brûle c'est Paris qui est frappée au cœur.

    Il y a mille chemins pour approcher une ville aussi riche que Paris. Ce documentaire extraordinaire de Paul Barba Negra et Jean Phaure consacré à la ville-lumière choisit l’angle traditionnel, à travers une étude de sa géographie sacrée.

     

    53 minutes - Merci à Rémi Hugues.

    Paris, ville fluviale par excellence, dont l’emblème est un navire « secoué par les flots mais qui ne coule pas ». Sa devise, Fluctuat nec mergitur, montre l’importance que représente la Seine pour Paris. Ce fleuve, qui coule entre l’Orient et l’Occident, contient dans son sein deux genres de poissons. Ceux qui, éveillés, luttent contre le courant, et porteurs de la mémoire de l’âge d’or, remontent vers la source, c’est-à-dire vers l’Orient, et ceux qui, endormis, se laissent pousser vers l’Occident, jusqu’à à l’océan de la dissolution et de l’oubli. D’où peut-être le tumulte permanent de la capitale de la France…   

    Réalisé par Paul Barba Negra. Texte : Jean Phaure. Lu par Michel Bouquet. 1981.