Sur Valeurs Actuelles, RÉPONSE à MÉLENCHON (RA#37) (@JEAN-LUC MÉLENCHON).
La mort de Risitas, le putsch des généraux à Valeurs actuelles, l’attentat de Rambouillet, voici les cinq infos qu’il ne fallait pas rater cette semaine !
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La mort de Risitas, le putsch des généraux à Valeurs actuelles, l’attentat de Rambouillet, voici les cinq infos qu’il ne fallait pas rater cette semaine !
(A Guy Bertran de Balanda à l'origine de cette chronique télévisuelle)...
Nathalie Heinich, sociologue au CNRS, spécialiste de la sociologie de l’art, de l’identité et des valeurs, autrice de "Ce que le militantisme fait à la recherche" (Tracts-Gallimard), est l'invitée du Grand entretien de France Inter.
Drapé dans les incohérences, les omissions et les mensonges du « rapport Duclert », le président Macron vient :
1) Contre l’état des connaissances historiques, de reconnaître « la responsabilité » de la France dans le génocide du Rwanda. Un génocide effectué avec des machettes….arme jusque-là considérée comme peu en usage en France…
2) De cautionner l’histoire du génocide écrite par le régime du général Kagamé. Une histoire-propagande qui tient en trois points :
N’en déplaise aux critiques exagérément sévères, la comédie burlesque « Les Bouffons du Roi » présentée au nouvel « Élysée Montmartre » a plutôt plu !
Ne soyons pas plus présidentiel que le Président !
Dans son livre «La Fin d’un monde» (Éd. Albin Michel), Patrick Buisson décrit le processus d’autodestruction entrepris par la société française à partir des années 60. Relativisme moral et culturel, mort du patriarcat, avènement d’une société consumériste obsédée par le plaisir : l’historien n’augure rien de moins qu’un «changement de civilisation».
Ce que j’aimais bien – mais oui – chez Emmanuel Macron, au début de son mandat, c’était son vocabulaire suranné de Comtesse de Ségur, son champ lexical de schtroumf à lunettes : chicaya, galimatias et Perlimpinpin je vous fiche mon billet et le truchement ou encore croquignolesque.
Boualem Sansal. Clairefond
TRIBUNE - On sait que l’œuvre de l’écrivain algérien, réputé pour son indépendance d’esprit, qui vit en Algérie envers et contre tout, rencontre un très vif succès dans plusieurs pays européens, en particulier en France et en Allemagne. Selon lui, notre pays souffre de ne plus se reconnaître. Pour faire face à nos maux, Boualem Sansal nous invite à redécouvrir la pensée d’Ibn Khaldoun, historien arabe qui a médité sur la naissance et sur la mort des empires.
Il y a près d’un siècle, les enfants de Landru étaient autorisés à prendre comme patronyme le nom de jeune fille de leur mère, et on les comprend… Mais une même pudeur anime également nos médias autorisés lorsqu’il s’agit de dissimuler l’origine subméditerranéenne de délinquants grands et petits, et ce n’est pas nouveau.
Un calvaire, dans une campagne française. Un type de publication qu'apprécie peu Facebook © NICOLAS MESSYASZ/SIPA
Les publications de la mairie de Crac’h (Morbihan) mettant en valeur le patrimoine religieux de la commune – calvaires et crucifix – ont toutes été supprimées par Facebook. Une décision que la maire ne s’explique pas.
Piscis primum a capite foetet (Érasme, adage 3197) ou, en d’autres termes, « le poisson pourrit par la tête », selon un proverbe chinois plus connu…
Emmanuel Macron, ci-devant président de la République, vient à nouveau de le prouver en se livrant à une bouffonnerie grotesque avec deux « youtubeurs » humoristiques, Mcfly et Carlito.
Macron maîtrise la mise en scène de son image ; certains seront tentés de dire qu’il affectionne la mise en lumière de sa personne.
Macron, sur une base aérienne, se pointe en blouson de pilote et croit pouvoir jouer les Top Gun. Macron, dans un tour de France de 80 jours, organise un grand débat qui tourne en monologues interminables et croit répondre au désespoir des gilets jaunes.
Michel Bouvier et moi, qui sévissons tous deux dans Politique Magazine, nous entretenions gravement afin de savoir quel surnom pourrait honorer le cher Emmanuel (cher au sens : qui nous coûte cher). Des tas de propositions ne nous satisfirent pas. À la fin, nous nous arrêtâmes sur « sale gosse ».
Philippe de Villiers. AFP
Le «concours d'anecdotes» qui s'est tenu à l'Élysée finit de saper la verticalité du pouvoir et de déconstruire l'État, déplore Philippe de Villiers.
Lorsque nous nous sommes rencontrés, pour la première fois, à la fameuse brasserie «La Rotonde», il me sembla très vite, au ton de la conversation, qu'une question lancinante affleurait dans le propos tenu à l'unisson par ce couple d'humeur et de maturité curieusement dépareillées.