Sur le Cercle Aristote, Collectif Nemesis : l'Entretien 1/2 (hors-série).
Le Collectif Nemesis a accordé une entretien en 2 parties au Cercle Aristote.
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Le Collectif Nemesis a accordé une entretien en 2 parties au Cercle Aristote.
Plusieurs responsables politiques ont fait l’objet de perquisitions. Dans le viseur : Edouard Philippe, Agnès Buzyn, Sibeth NDiaye, Jérôme Salomon et l’actuel ministre de la Santé Olivier Véran. Régis de Castelnau décrypte.
(variante : mieux vaut lire "ça" que d'être aveugle !)
On en a a marre de remplir nos rues, d'y déposer des monceaux de fleurs et d'y allumer des bougies, d'y brandir des pancartes "Je suis..." !
On l'a fait après le Bataclan et les terrasses des Cafés à Paris, on l'a fait à Nice sur la Promenade des Anglais, on l'a fait pour tous ces meurtres barbares : le couple de policiers de Magnanville, la patron de PME Cornara, les deux cousines de la Gare Saint Charles à Marseille et tant et tant d'autres dont la liste serait trop longue à écrire ici : et ça continue, on en est à une moyenne d'un meurtre islamiste tous les huit jours depuis 2015 ! On en a marre !
Le religieux a son efficacité propre dans les relations sociales
© Pascal Deloche / Godong
Le traumatisme dans lequel est plongée la France, depuis l’assassinat de Samuel Paty, sera-t-il l’occasion d’un discernement sur l’énorme malaise de civilisation que nous vivons depuis plusieurs années ? Sans doute l’État se trouve-t-il sommé de prendre des mesures de sécurité publique afin de protéger le pays des menaces meurtrières qui pèsent sur lui. Mais une question de civilisation ne se règle pas seulement en ces termes.
Elle doit s’analyser sur le fond.
Eric Piolle, au lendemain de sa réélection à la mairie de Grenoble, 30 juin 2020 © ALLILI MOURAD/SIPA
Les nouveaux maires écolos veulent faire de leurs villes des fabriques de l’homme nouveau. Conjuguant mépris du populo et détestation de la France, ils sont aussi sensibles au malheur des bêtes qu’ils sont insensibles au bonheur des hommes.
Aujourd’hui bien oublié, dans le second septennat Mitterrand, l’Iman Khomeiny tenta une stratégie de Djihad – guerre sainte – pour la conquête du Maghreb à partir de la France. Elle allait avoir des conséquences dramatiques que nous payons encore et la décapitation de Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie à Conflans ‚vient nous le rappeler.
Y aura-t-il un avant et un après Conflans ? Quelles réponses apporter pour lutter contre le terrorisme islamiste ? La police dispose-t-elle d’un permis de tuer ? Régis de Castelnau répond à nos questions.
Avec Judith Waintraub, Jean-Claude Beaujour, Hassen Hammou et Mehdi Ouraoui.
© Jean-Nicolas L. / CC BY-NC-SA 2.0
Ce soir hommage de la nation à Samuel Paty. Le choix de la Sorbonne est judicieux et l’Élysée s’en est fort bien expliqué. La mission de l’éducation nationale doit ainsi être mise en valeur dans le sens le plus positif, si l’on veut vraiment combattre l’adversaire.
Tandis que les hommages à Samuel Paty se succèdent en France depuis quelques jours, le maire de Béziers Robert Ménard s’est lancé dans un « J’accuse » à la Émile Zola lors de sa prise de parole lundi dernier.
Robert Ménard appelle à ne pas accepter la « barbarie »
Jean-Marie Bordry avec Philippe Bilger, Albert-Jean Mougin, Christine Bouillot et Myriam Menez.
"En direct de l'Assemblée Nationale où je présente 10 mesures fortes pour combattre l'islamisme, et une proposition de loi pour pénaliser la "prédication subversive et séditieuse" qui condamne leurs auteurs et complices, puis les expulse lorsqu’ils sont étrangers."