Actualité France - Page 161
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La terreur sur notre sol, par Gérard Leclerc.
Collège Du Bois D’aulne - Conflans-sainte-Honorine.
© Département des Yvelines / CC by-nd
La décapitation de Samuel Paty nous renvoie à un système de terreur qui voudrait enserrer toute notre vie sociale, à commencer par l’école. Elle nous interroge aussi sur le dévoiement du religieux. Ce n’est pas Dieu qui inspire le crime, c’est son oubli qui justifie l’idolâtrie et le déni de toute humanité.
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Victorine Dartois et Samuel Paty : victimes d’une horreur et d’une faiblesse, par Philippe Bilger.
Après l’atroce décapitation par un terroriste tchétchène de ce remarquable et tolérant enseignant qu’était Samuel Paty, je souhaiterais revenir vers la mort de la jeune Victorine Dartois, à Villefontaine (Isère), et à des considérations sur le comportement et la personnalité de Ludovic Bertin, l’auteur de celle-ci.
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Qui a tué Samuel Paty?, par Aurélien Marq.
Le 17 octobre 2020, rassemblement devant le collège du Bois d’Aulne à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), où Samuel Paty, assassiné vendredi, enseignait. © Michel Euler/AP/SIPA Numéro de reportage: AP22503760_000025
On connaît l'identité du terroriste, mais l'idéologie islamiste a des complicités
Derrière le terroriste tchétchène Abdoulakh Anzorov, une armée d’inspirateurs et de complices…
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Un crime barbare de plus. Les vrais responsables devront un jour rendre des comptes, par Isidore.
Enfant, je n’aurais jamais imaginé, sauf dans mes pires cauchemars, voir dans ma douce France ce qui s’est passé vendredi. Quand on pense à notre nouveau ministre de la Justice qui, le jour de son intronisation, a résumé son objectif en déclarant qu’il allait combattre le racisme, on se dit « Quel orateur » ! Mais de quel racisme parlait-il ? Personne ne sait. Même lui, l’avocat, ne doit plus savoir où il en est. À force d’être payé pour trouver des excuses aux criminels ou les transformer en victimes.
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De quelle civilisation parle-t-on ?, par Olivier Perceval.
La logorrhée médiatique sur la montée irrémédiable de la pandémie est ponctuée par les actes de violences qui se succèdent de loin en loin, contre la police, les pompiers, les églises (peu de ces dernières cependant) et par des meurtres crapuleux comme celui de Victorine, ou « religieux » comme la dernière et spectaculaire décapitation d’un professeur d’histoire à Conflans Sainte Honorine qui nous offre la possibilité de parler d’autre chose que du Coronavirus, triste alternative !
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Sur Sud Radio, le gouvernement a-t-il les moyens de faire reculer l'#islamisme ? Les Voix politique.
Jean-Marie Bordry avec Guillaume Bigot et Rose Ameziane.
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Le retour du Vieux de la Montagne, par Guy Adain.
D’un côté, un sage dans son bon droit, qui assurait sa mission noble et éducative d’enseigner à ses élèves l’Histoire.
De l’autre un serviteur diabolique, qui obéissant à Satan exécutait un ordre immonde et assassin.
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Jean-Paul Brighelli : « Il faut éradiquer l’hydre islamiste, fanatique qui veut faire régner une loi qui n’est pas celle de la République ».
Le 16 octobre, un professeur d’histoire de Conflans-Sainte-Honorine (78) qui, lors d’un cours sur la liberté d’expression, a montré les caricatures de Mahomet a été décapité devant son collège par un terroriste islamiste âgé de 18 ans, après avoir subi des menaces de mort.
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La « République » : que ce mot-là à la bouche !, par Georges Michel.
Ils n’ont que ce mot-là à la bouche : « République ». Le terroriste islamiste de Conflans-Saint-Honorine « a voulu abattre la République dans ses valeurs », déclarait, vendredi soir, le président de la République. « Celles et ceux qui tiennent la République et, à leurs côtés, magistrats, élus, enseignants… toutes et tous, nous ferons bloc », ajoutait-il. Samedi matin, le ministre de l’Éducation nationale ne pouvait que plagier le Président : « Ce professeur a été assassiné à cause de ce qu’il représentait : la République. »
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« La République ne reculera jamais » : vraiment ?, par Richard Hanlet.
Telles sont les mâles paroles adressées, samedi, par Jean-Michel Blanquer à un corps enseignant tétanisé par l’abomination de Conflans. Le problème, c’est que reculer, sa « République » le fait tous les jours, et depuis longtemps.
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Sur Sud Radio, "Le professeur s'appelait Samuel Paty".
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Conflans : des actes et non des discours !, par Christian Vanneste.
Le président de la République et le ministre de l’Education Nationale se sont rendus au collège où enseignait Samuel Paty, le professeur d’histoire qui a été égorgé et décapité pour avoir montré les caricatures du « prophète » à ses élèves dans un cours destiné à ouvrir les esprits des collégiens à la liberté d’expression. On dit que les assassins reviennent toujours sur les lieux du crime. L’auteur présumé de cet acte terroriste n’en a pas eu le temps puisqu’il a été abattu par des policiers à proximité du lieu où sa victime a été découverte. Quatre interpellations suivies de gardes à vue ont eu lieu, notamment parce qu’une photo atroce aurait été diffusée sur la « toile ».
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L’horreur à Conflans-Sainte-Honorine : toujours l’impuissance ?, par Philippe Bilger.
C’est bien le moins, que tout le pays soit uni le temps d’une indignation collective face à la décapitation, par un terroriste islamiste de 18 ans, d’un professeur d’histoire et de géographie dans un collège à Conflans-Sainte-Honorine.
C’est bien le moins, que toute la France soit derrière ses professeurs – qu’elle ne traite pas assez correctement le reste du temps – face à ce crime abject.
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Val-de-Marne: des petits caïds qui n’impressionnent personne ?, par Elisabeth Lévy.
Après l'attaque dont ont été victimes leurs collègues dans la nuit du 10 au 11 octobre, des policiers manifestent devant le commissariat de Champigny sur Marne le 12 octobre. © MARTIN BUREAU / AFP.
Le camp de la fermeté déplore que les policiers ne ripostent pas
À Champigny-sur-Marne, le commissariat a été attaqué par une quarantaine d’individus le week-end dernier. Les policiers n’ont pas riposté. Cet épisode démontre que l’État se refuse à faire respecter son autorité.