On pouvait s’attendre à ce que l’aristocratie des extrêmes écolos, les gretaphiles à tous crins toutes couettes, les transiteurs écologiques compulsifs, les bobos germanopratins, les contempteurs excités des gaz à effet de serre, les lutteurs réchauffementaux convaincus, les défenseurs impénitents de la veuve noire et de l’or félin, les encore-épris-d’Al Gore, bref, tout ce que notre beau pays compte de gens qui comptent les bouffées de CO2, on pouvait s’attendre, disais-je, à ce qu’ils se révoltent bruyamment et qu’ils investissent les rues de nos villes avec force pancartes, vociférations et poings levés.
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