Zemmour/C News : France-Italie, nous nous sommes tant aimés.
(A Guy Bertran de Balanda à l'origine de cette chronique télévisuelle)...
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(A Guy Bertran de Balanda à l'origine de cette chronique télévisuelle)...
Il faut rendre justice à Luc Le Vaillant, de Libération, il a l’avantage de la franchise. Sauf qu’il s’est bien gardé de se dévoiler avant : pour un journaliste, connaître les ficelles d’une entourloupe mais les garder par devers soi pour raisons militantes est-il bien déontologique ?
Alors que certains prédisent le dépérissement du Rassemblement national, pour s’en inquiéter ou pour s’en réjouir, Marine Le Pen continue son petit bonhomme de chemin. À la veille du congrès qui se tient, samedi et dimanche, à Perpignan, on apprend qu’elle a signé, avec une quinzaine de partis européens, une « déclaration commune », présentée comme le prélude d’une « grande alliance ».
Trente ans après la fin de l’URSS, on peut s’étonner du caractère exécrable des actuelles relations russo-occidentales. À croire que les changements intervenus depuis 1991 n’ont pas eu lieu : le retour au capitalisme et à la propriété privée, la fin du parti unique et le multipartisme, le renouveau religieux et la fin de l’athéisme d’État, la liberté de voyager, le retour des artistes et intellectuels bannis, l’ouverture des archives… rien n’y fait.
Tout augmente, mon bon monsieur ! Le congé de paternité vient de passer de 14 jours à 28 jours. Le gouvernement l’a annoncé le 1er Juillet via Elisabeth Moreno, ministre déléguée à l’égalité homme – femme + la diversité + l’égalité des chances et Adrien Taquet, secrétaire d’état en charge de l’enfance et de la famille.
Après deux ans de débats, l’Assemblée nationale a, mardi 29 juin, voté en lecture définitive l’adoption du projet de loi Bioéthique, dont la mesure phare est l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes seules. Mais sous couvert de « progrès », de quoi parle-t-on réellement ?
Il y a à boire et à manger dans cette tribune publiée par Le Monde du 21 juin, où 350 professeurs de philosophie déclarent refuser de participer à la « mascarade » de l’édition 2021 du baccalauréat. Ils critiquent à la fois la réforme de Jean-Michel Blanquer, la correction dématérialisée des copies, les défauts d’organisation de l’examen – ou de ce qu’il en reste –, la « logique accablante » de Parcoursup…
En mars 1978, le pétrolier Amoco Cadiz, en quelques heures de dérive et de naufrage, polluait les côtes bretonnes pour des années et des années, entraînant la mort de milliers d'oiseaux et un spectacle de désolation dont nombre de vieux Bretons se souviennent encore !
L’infox la plus tenace de l’Ancien Régime est que Louis XIV aurait surgi à l’improviste au Parlement de Paris en tenue de chasse, le fouet à la main, pour s’exclamer « L’État, c’est moi ! ». L’anecdote est fausse et assimile durablement le pouvoir absolu à un pouvoir despotique.
La Hongrie se démarque une nouvelle fois de ses partenaires européens. Le Premier ministre Viktor Orban réclame du "respect" et la "fin du diktat" européen.
LIRE L’ARTICLE : https://fr.euronews.com/2021/07/01/ho...
Bernard Coll, animateur de l'émission "Au Forum" a choisi, actualité oblige, d'évoquer un véritable soulèvement militaire, celui d'avril 1961 à Alger. En compagnie de Louis de Condé, poète et partisan fervent de l'Algérie française, Bernard Coll essaie de répondre aux questions que soulève la tentative de "putsch" des quatre illustres généraux : Challe, Salan, Jouhaud et Zeller. La révolte des généraux d'avril 1961 a marqué une rupture dans l'histoire de la guerre d'Algérie qui est aussi celle de l'histoire de France.
Maire RN de Perpignan, Louis Aliot était l'invité du petit-déjeuner politique Sud Radio, le 2 juillet 2021.
L’évolution de la politique vers un dilemme logique ou une impasse dans les faits est troublante. A la belle époque de la guerre froide, les idées étaient claires et confortablement simplistes : il y avait d’un côté des Etats totalitaires dont les plus puissants étaient souverains, mais où le droit des personnes n’existait pas, et de l’autre des démocraties libérales au sein d’Etats souverains respectueux des libertés individuelles.
Plus que jamais sous les auspices du jeunisme et du conformisme moral
La vie politique, suspendue par la crise sanitaire (non encore terminée, d’ailleurs), reprend. Voilà ce dont se réjouissent nos journalistes. Devons-nous les imiter ? On peut en douter. Car qu’est-ce qui va reprendre, en définitive ? La même entropie, le même chancre qui nous ronge depuis trop longtemps. Et aussi les mêmes tares, dont la moindre n’est pas le conformisme intellectuel et moral qui nous gouverne.
« La Monarchie est-elle de gauche ? » : cette question m’a été posée il y a peu par un interlocuteur inquiet d’entendre le vieux royaliste que je suis parler de justice sociale, et il croyait y discerner une dérive gauchiste qui, je le garantis ici une fois de plus, n’existe pas, ni en théorie ni en pratique.