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Arts & Ciné : Le Parfum vert un film français de Nicolas Pariser, avec Vincent Lacoste (Martin, l’acteur qui a recueilli les derniers morts du comédien empoisonné), et Sandrine Kiberlain (Claire, dessinatrice de bandes dessinées).
Peut-être fallait-il être au parfum du complot (d’extrême-droite ?) pour apprécier ce Parfum vert, auquel mon épouse et moi-même n’avons rien compris, et le responsable du cinéma nous a dit que nous n’étions pas les seuls.
Une fois de plus, j’accuse le critique du quotidien régional de n’avoir pas vu le film, qui évoque « une réflexion pertinente sur l’Europe » et parle de « très bon divertissement (…) très drôle, avec des dialogues percutants ». On est même dans la publicité mensongère quand il nous renvoie, avec d’autres journalistes, au « Tintin d’Hergé »…
Dommage, nous avions aimé Alice et le maire du même réalisateur (2019)…
Arts & Ciné : Caravage, un film italien de Michele Placido, avec Isabelle Huppert ( la Marquise Costanza Colonna), Louis Garrel (l’Ombre) et Riccardo Scarmarcio (Le Caravage).
N’ayant bénéficié d’aucune éducation à l’art, j’assiste à ce genre de films comme à un vernissage de mon inculture.
J’ai lu de Michel-Ange Merisi (ou Amerighi), dit Le Caravage, qu’il a « mis au point » la technique du Clair-obscur, et l’on conviendra que Michele Placido ne le trahit pas sur ce point avec un film lui-même clair-obscur, et d’ailleurs beaucoup plus obscur que clair… Mais cette obscurité est bien le sujet du film, dont l’anti-héros s’appelle L’Ombre, qui personnifie l’obscurantisme d’une Église du début du XVIIème… Je n’ai ni la science ni la compétence pour en discuter, mais je ne qualifierais ni d’anodin ni de fortuit cette charge contre l’Église alors que sévit l’obscurantisme islamiste. En outre le film conclut sur la mort de Caravage, assassiné dans le dos par l’Inquisiteur, alors que cet assassinat ne semble mentionné nulle part et qu’un « Dictionnaire des Peintres » d’Adolphe Siret (1866), que je possède néanmoins dans ma bibliothèque, précise qu’il est mort pendant son retour à Rome « d’une fièvre violente ». Désinformation, quand tu nous tiens !
Caravage… un film curieux sur un peintre, qui ne fait réellement voir aucune de ses œuvres et se complaît soit dans les coucheries et la luxure soit dans les combats et la violence physique. Ce, encore une fois, trop long-métrage (2H), aurait pu, au moins, être plus didactique sur les nombreuses querelles que l’artiste a entretenues.
J’en retiens surtout pour ma part l’opposition entre un homme - là où il y a de l’homme, il y a de l’hommerie - pêcheur invétéré, et un artiste, suffisamment croyant pour réaliser des peintures religieuses avec des modèles de la rue, les pauvres et les prostituées qu’il a apparemment croisés quelque vingt ans plus tôt avec St Philippe Néri, ceux-là même que Jésus est venu « appeler ». Peut-être que, comme les Pharisiens, les élites religieuses de l’époque, encore traumatisées par la Réforme du siècle précédent, n’ont-elles pas su les reconnaître ?
Antilles : Un "Non lieu" répugnant a donc été prononcé dans l'affaire du chlordécone. Motif essentiellement invoqué (à côté d'autres, destinés à "noyer le poisson"...) : prescription !
Ce Système pourri a bien généré - comme nous le disons sans cesse - une (in)Justice à son image, c'est-à-dire aussi pourrie que lui...
Les "services de l'État" (donc, l'État...) ont laissé une entreprise étrangère (états-unienne) vendre des produits empoisonnés; ils ont laissé des paysans l'utiliser, empoisonnant les sols pour des décennies, empoisonnant aussi lentement les gens, et provoquant des maladies graves, souvent des morts prématurées...
Pourquoi ?
Parce que, comme le dit Maurras "en démocratie l'argent monte trop haut". En faisant, ou défaisant, les élections, il fait ou défait le Pouvoir suprême; il est à la place suprême, il est au pouvoir, il est roi : il est l'Argent-Roi. Et le "semble État" (pour reprendre l'expression de Boutang) lui est irrémédiablement soumis. Comme il est soumis aussi à toutes formes de pressions, qu'elles viennent, des partis, de l'étranger, des intérêts économiques et financiers...
Ceux-ci se moquent bien pas mal de la santé publique et des gens, de l'état des sols et du respect de la Création : l'Argent n'a qu'un but : faire encore plus d'Argent. Il est lui-même son but, sa fin, sa justification. Les hommes ne passent qu'après, si même on se rappelle qu'ils existent, dans une Création ordonnée par le Créateur en vue du Bien commun...
Dans la monstrueuse affaire du chlordécone "on" s'est enrichi en tuant la terre et les Hommes. Mais ce crime - aujourd'hui encore, en quelque sorte, nié - n'a pu être commis que parce que nous n'avons pas, nous n'avons plus d'État, libre, indépendant de tout et de tous, absolu, et n'ayant que le Bien commun en vue, puisqu'il ne doit son existence à personne.
C'est en détruisant notre actuel semble-État dominé par les puissances de l'Or, par l'Argent, et en le confiant de nouveau aux forces du Sang, venues du fond des âges, de notre Histoire, que de nouvelles "affaires du chlordécone" pourront être évitées, et que Justice pourra être rendue aux Antilles et à nos compatriotes...
Il n’ y a plus que l’inconscient technocrate Macron pour ne pas croire aux sombres prédictions économiques de 2023, alors que les raisons sont nombreuses :
• sanctions économiques suicidaires et contre-productives avec la Russie,
•poursuite de l’inflation, des prix délirants, variables et incompréhensibles de l’électricité pour les entreprises, les artisans, les boulangers, les restaurateurs, les PME qui ne peuvent être abaissés que par la fin du Système mis en place,
• une véritable usine à gaz inventée par Macron afin de brouiller les cartes ( établissement d’un prix clair, juste et compréhensible de l’électricité en sortant du marché européen comme en Espagne et au Portugal ou en pratiquant une politique claire du « quoi qu’il en coûte » comme en Allemagne ),
• hausse des taux d’intérêt,
• dégonflement des bulles boursières, obligataires et immobilières,
• risques de croissance zéro et de récession en Europe,
• hausse des faillites à venir,
• double déficit du budget public et de la balance commerciale,
• dégradation de la notation de la dette française,
• crise latente de l’UE et explosion inéluctable à venir de la zone euro, tout cela dans un monde malsain avec un endettement public mondial de 96 % du PIB mondial , et même de 247 % si l’on ajoute la dette des ménages et des entreprises !
Nous lui en demandons bien pardon, mais, Jacques Dupont nous était, jusqu'à ce jour, totalement inconnu. Nous l'avons découvert (sur tweeter) pour son ironie mordante à propos de ce foldingue Maire de Pantin qui rebaptise sa ville "pantine" (le crétinisme est bien la seule chose qui donne une idée de l'infini !...)
Jacques Dupont, donc, est un spécialiste du vin, et travaille au Point.
Il poste l'amusant message suivant, dédié évidemment au foldingue de Pantin :
"On me dit que le maire de Mâcon est plus réservé que celui de Pantin quant à l’ajout du e en finale."
Ouf, l'humour est sauf ! La cinglerie passe, il nous reste le rire !...
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La crise du Cinéma français (?) et notre argent dilapidé pour "ça" !...
Le Coran est-il réellement ce livre « incréé », émanant tout entier d’une dictée divine comme marque de l’unique religion inscrite dans la nature humaine et agréée comme telle par Adam ? Cette certitude, érigée en dogme au IXème siècle et sur laquelle repose jusqu’à nos jours la croyance des musulmans, non seulement quant à ses fondements religieux et spirituels mais aussi ses principes anthropologiques, juridiques et sociaux, pourrait-elle être remise en cause par la science ? Telle est la perspective ouverte au milieu du XIXème siècle grâce aux travaux de savants européens qualifiés.
Aujourd’hui, l’intérêt pour le sujet ne cesse de croître, au point de susciter une abondance inédite de publications consacrées au contexte historique, avec ses diverses influences (religieuses, culturelles, linguistiques, politiques), qui a entouré l’émergence de l’islam au VIIème siècle. Il en résulte de solides remises en cause du schéma jusque-là universellement tenu pour acquis. « À partir de 1977, toute une série de recherches ont tendu à démontrer que l’histoire des débuts de l’islam, racontée par la tradition savante arabo-musulmane, était une reconstruction tardive, éloignée de la vérité et même mensongère », remarque Christian-Julien Robin, directeur de recherches honoraire au CNRS, co-auteur du livre Histoire du Coran. Contexte, origine, rédaction, publié récemment sous la direction de Mohammad-Ali Amir-Moezzi et Guillaume Dye (1).
Marqué par la liberté intellectuelle, l’audace du jugement et l’absence de tout présupposé idéologique de ses vingt-et-un contributeurs, cet épais volume apporte sur le sujet des éclairages novateurs et incontestables. L’ensemble permet de mieux appréhender les sources originelles de l’islam, de son inspiration à sa rédaction et à sa composition jusqu’à sa canonisation. Il offre les critères ouvrant la voie à une lecture intelligible du Coran, jusqu’ici gênée par bien des obstacles, dont l’absence de repères historiques crédibles.
Celle-ci se manifeste entre autres à travers des allusions imprécises sur les événements et personnages évoqués. Ainsi, le classement choisi n’est pas chronologique ; il obéit à un ordre de longueur décroissant, les 114 sourates mélangeant sans explication les deux périodes supposées de la prédication de Mahomet : La Mecque (610-622) et Médine (622-632). « Le Coran est malheureusement d’une pertinence très limitée pour reconstruire la vie de Mahomet et les divers événements relatifs à sa carrière prophétique », assure Stephen J. Shoemaker, professeur à l’Université d’Oregon (États-Unis). Par ailleurs, la version coranique officialisée sous le califat sunnite d’Abdel Malik (685-705) entretient une profonde discorde au sein de l’islam. Les chiites la considèrent comme ayant été censurée pour effacer le nom d’Ali, cousin et gendre de Mahomet, que Dieu aurait désigné comme son successeur et auquel ils se réfèrent.
Dans sa contribution, G. Dye constate le caractère « décousu, désordonné, déconcertant et obscur » du Coran, « texte polémique, fonctionnant par slogans » et dépourvu de « cadre narratif » lorsqu’il « met en scène des controverses entre le messager coranique et un groupe d’adversaires, dont l’identité reste dans l’ombre ». « Profondément anhistorique », le Coran est un corpus avant d’être un livre, en conclut-il.
Comment comprendre les autres étrangetés d’un texte attribué à Dieu, telles que ses nombreuses contradictions, mais aussi sa « divinisation » de la langue arabe, décrite comme « pure » alors qu’elle côtoie des variantes et emprunte à d’autres lexiques sémitiques, notamment ceux des juifs et des chrétiens, y compris dans leur terminologie religieuse, cultuelle et juridique ?
Sur cet aspect, plusieurs études substantielles consacrées au contexte religieux de l’Orient pré-islamique (Arabie, Palestine, Byzance, Perse, Éthiopie) font ressortir l’influence des hérésies chrétiennes sur le Coran. Muriel Debié, titulaire de la chaire « Christianismes orientaux » à l’École pratique des hautes études, et Vincent Déroche, professeur au Collège de France, soulignent les erreurs de jugement de leurs adeptes, lorsqu’au moment de la conquête arabe une partie d’entre eux ont adopté « une nouvelle religion qui n’était pas toujours perçue comme fondamentalement différente, surtout dans les débuts ». Une leçon pour notre temps rongé par les confusions ?
Ces multiples découvertes aboutiront-elles à une reconnaissance du Coran comme une construction humaine ? Telle pourrait être la perspective ouverte par une authentique exégèse historico-critique,dans le sillage de M-A. Amir-Moezzi, président du conseil scientifique du tout nouvel Institut français d’islamologie inauguré à la Sorbonne le 22 novembre dernier.
(Article paru dans La Nef n° 354 – Janvier 2023)
_____
1. du Cerf, 2022, 1092 p., 34 €. Cet ouvrage reprend une partie des textes parus dans Le Coran des historiens (Cerf, 2020, 3 vol.) et en ajoute d’autres.
Arts & Ciné : Vivre, un film d’Oliver Hermanus, avec Bill Nighy (Mr. Williams), un « remake » (puisque c’est un film anglais) du film éponyme de Akira Kurosawa (1952).
« Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain :
Cueillez dès aujourd’huy les roses de la vie ».
Quels meilleurs vœux pouvons-nous nous souhaiter pour cette an de (dis ?) grâce 2023, que cette injonction de Vivre !
Nous étions d'ailleurs une vingtaine de personnes dans la salle, un monde inhabituel, éprouvant sans doute le besoin, la nécessité, de se rassurer en ce début d'année très morose.
Vivre, malgré Macron, Borne, Darmanin, Le Maire, Dupont-Moretti, Pap Ndiaye, et les 39 ( !) autres… dont Véran et Schiappa…
Vivre, malgré l'Ukraine, l'Union Européenne, la Russie et les États-Unis, malgré Zelenski. Ursula, Poutine et Biden…
Vivre, malgré le Covid, les coupures d'électricité, l'inflation, l'insécurité et le Grand Remplacement…
Vivre, malgré le terrorisme islamiste, le Djihad, la burqa, le niqab et le kebab…
Vivre, malgré le Quatar, l'Afghanistan et l’Azerbaïdjan…
Vivre, malgré la théorie du genre, le transhumanisme, le wokisme, la déconstruction…
Vivre, malgré les 210 000 avortements annuels en France, le mariage homo, la PMA. la GPA, l’eugénisme et l’euthanasie…
Vivre, malgré le pass sanitaire, le pass énergétique et le pass climatique…
Vivre, malgré le masque, la diminution des lits d'hôpitaux, les déserts médicaux… et la disparition du timbre rouge, des ticket de caisse avec celle annoncée de la bouteille de 75cl de vin... mais la gratuité du préservatif !
Vivre quoi !
Vivre – retour au film - ne montera pas sur le podium et ne sera pas dans le palmarès 2023, mais, comme premier long-métrage de l’année, c'est quand même une bonne pioche, qui traite des derniers mois à – précisément - Vivre. Nous avons déjà vu sur ce sujet difficile, en août dernier, Rumba la vie et surtout Les Volets verts que j’aurais pu inscrire dans un « top 13 » 2022 , et j’ai évoqué à l’époque le roman – Le jour où j’ai appris à vivre - de Laurent Gounelle : « On ne réalise la valeur de la vie que lorsqu’elle est menacée » ; de même le documentaire Le Fil de la vie m’avait fait citer le bûcheron de La Fontaine qui demande à la Mort de… « (l’)aider à recharger ce bois », et je pense encore au Malheureux du même fabuliste :
Qu’on me rende impotent,
Cul-de-jatte, goutteux, manchot, pourvu qu’en somme
Je vive, c’est assez, je suis plus que content ».
On le voit, la ville de Londres n’avait que l’embarras du choix pour l’épitaphe de son fonctionnaire, sans oublier la chanson de Léo Ferré, popularisée par Les Frères Jacques » :
« C'était vraiment un employé modèle Monsieur William
Toujours exact et toujours plein de zèle Monsieur William
Il arriva jusqu'à la quarantaine sans fredaine ».
Notre grande amie Annie Laurent, toujours fidèle, vient de me faire parvenir son dernier article, Remises en cause sur le Coran.
Vous en prendrez connaissance dès demain, toujours avec le même plaisir, j'en suis certain, car, avec les réflexions et précisions d'Annie Laurent on est sûr de ne pas (de ne plus...) se tromper sur ce sujet si vaste de l'Islam, qui est maintenant devenu central dans nos sociétés européennes en général, et, bien entendu, en France en particulier...
À demain, donc, pour une nouvelle lecture enrichissante !
Et merci à Annie Laurent !...
"Je ne pouvais venir à Paris sans vous saluer personnellement"
Fait unique dans l’histoire, comme l’était l’élection d’un membre de l’Institut au souverain pontificat, le pape Benoît XVI s’était rendu sous la Coupole en septembre 2008 :
https://www.institutdefrance.fr/actualites/le-pape-emerite-benoit-xvi-sest-eteint/
Cliquez sur l'image pour l'agrandir, et utilisez le zoom...
Bonne année cinématographique (et plus si possible) 2023
C'est seulement le 14 mars que nous avons entamé l'année cinématographique 2022, devant un film nul - Les Bodin's en Thaïlande - mais il fallait bien mettre un terme à plusieurs mois d'abstinence due à l'im"pass"e sanitaire à laquelle nous avons refusé de nous soumettre.
Nous avons d'ailleurs, depuis, boycotté Maria rêve avec karin Viard qui, sans davantage de compétence que moi, refusait que l'hôpital prenne en charge ceux qui ne voulaient pas se faire vacciner contre le Covid. Ils devaient, disait-elle, "assumer leur position jusqu'au bout". Nous l'avons "assumée" en nous refusant d'aller rêver avec Maria.
Nous avons aussi renoncé à Avatar dont les 3h1/4 étaient au-delà de nos capacités. Déjà nous avions trouvé "beaucoup trop long" le premier Avatar de 2h3/4...
6h d'avatar, et ce n'est pas fini... J'ai lu que, sauf avatar, "la saga Avatar s'étalera sur 5 films" (!) d'ici 2028 !
Le palmarès ci-dessous est néanmoins établi à partir des 103 films vus en 2022 et précisément 95 sorties de 2021, 2022 ou avant premières 2023.
N'en déplaise à certains qui me reprochent d'être trop souvent négatif, j'ai émis un avis favorable pour 43 d'entre eux, dont 19 très favorables.
Sur le podium, j'élève d'abord Reste un peu pour son originalité et le courage de Gad Elmaleh.
En 2ème position, presque dans le même registre, Notre-Dame brûle dont j'avais aimé l'envers du décor, les aléas, les grains de sable, les "tourbillons" en quelque sorte, du sauvetage.
Sur la 3ème marche Novembre, qui met à l'honneur les forces de l'ordre à la suite de l'acte de guerre islamiste du 13 novembre 2015.
Le classement dans lequel j'inscris les 7 autres du "top 10" est évidemment plus arbitraire
1. Les Harkis, qui dénonce la trahison gaulliste avec l'abandon raciste et la livraison à la barbarie FLN de ceux "qui, sous (nos) couleurs, qu'ils croyaient les leurs, se battaient pour la France".
2. A plein temps, qui dénonce l'individualisme de notre société libérale-libertaire dont on dit qu'elle "libère" la femme
3. Le sixième enfant qui traite du désir de maternité
4. Tempête pour surmonter, même à cheval, les accidents et autres "tourbillons" de la vie
5. Le Tourbillon de la vie, précisément sur les hasards de l'existence
6. Maestro(s) quand les chiens ne font pas des chats, et la problématique du disciple, et du fils, qui dépasse le maître
7. Revoir Paris, à nouveau sur le terrorisme vu cette fois avec les yeux des rescapés
Et puis encore 2 en bonus
• Les Miens, à savoir un portrait de la famille de Roschdy Zem, bien assimilée, qui ressemble de ce fait à n'importe quel portrait de famille avec ses discussions, ses disputes et ses joies
• Et enfin la comédie Citoyen d'honneur qui est, par le biais d'un hommage à la littérature française, un véritable hommage à la colonisation française. Merci Kad Merad.
On observera que ces douze "meilleurs" films sont, "divine surprise", français !
Bravo
Souhaitons nous une bonne production française à nouveau en 2023, si, après le covid, les coupures d'électricité ne nous ferment pas définitivement les salles obscures.
Bonne année quand même, et que Dieu nous garde.