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1562 : date possible du départ de France de Jean Goujon (ici, sa Fontaine des Innocents, à Paris)
1396 : Mort de Jean de Beaumetz
Il est à la fois l'un des plus talentueux et des derniers représentants de ce gothique tardif des XIVème et XVème siècles (que l'on appellera, en architecture, « flamboyant ») qui sera, peu de temps après, remplacé par l'art nouveau : celui de la Renaissance.
Après avoir travaillé en Artois, puis à Paris, Jean de Beaumetz devint, de 1375 à sa mort, peintre en titre de Philippe le Hardi à Dijon.
Il décora les châteaux ducaux et l'église de la chartreuse de Champmol, y peignant des retables et 26 tableaux pour les cellules des chartreux. La Révolution ayant totalement démantelé la Chartreuse, et dispersé la totalité des ouvres d'art qui s'y trouvaient, Beaumetz n'est plus connu que par deux de ces tableaux, deux Calvaires avec un donateur chartreux (l'un au Louvre et l'autre au Musée de Cleveland).
Au Rassemblement Royaliste des Baux, Pierre Debray a dit, un jour, que la royauté française était "la flèche du progrès".
A Versailles, en 2010, s'est tenue une remarquable exposition : "Sciences et Curiosités à la Cour de Versailles".
Cette exposition "dit" l'Histoire, mais la vraie : oui, sous Louis XV et Louis XVI, aboutissement de mille ans d'efforts de quarante rois qui firent la France, la royauté était "la flèche du progrès" dans tous les domaines : intellectuels, artistiques, scientifiques...
Une authentique politique de civilisation, voilà ce qu'ont mené nos Rois : il faut le faire savoir et/ou le rappeler à tous, à temps et à contretemps...
Probablement sur le territoire de la commune de Moussais (rebaptisé depuis Moussais-la-Bataille), les Francs commandés par Charles Martel ont repoussé une razzia menée par Abd el Rahman, lors de la bataille de Poitiers :
Partis de Pampelune, les musulmans - qui ont envahi l'Espagne en 711 - ont conquis le Sud-ouest et ravagé Bordeaux; ils ont aussi fait des incursions dans le Sud-est : des légendes locales (comme celle de la Cabro d'Or, aux Baux-de Provence) et la toponymie en gardent quelques souvenirs (le massif des Maures ; la Garde-Freinet...).
Ils remontent maintenant vers le Nord-ouest, pour y piller les riches monastères. C'est là que Charles Martel - y gagnant son surnom... - stoppera définitivement leur avancée.
Charles Martel mourra neuf ans plus tard, en 741 : sur son importance et le rôle politique qu'il a joué, voir l'Ephéméride du 22 octobre.
Au printemps 2019 arrivait devant la Justice le premier « contentieux climatique contre une entreprise » de notre histoire. Un collectif mené par l’ONG Sherpa (dirigée par Cécile Duflot) mettait Total en demeure de « prendre les mesures nécessaires pour prévenir les risques majeurs liés au changement climatique ».
Voilà qui ressemblerait à une « fake news », pour reprendre l’actuelle sémantique médiatique, mais ne peut tout à fait en être une, puisque publiée, ce 20 octobre, dans Le Monde, arbitre des élégances démocratiques : « Insultes, dégradations, refus de l’autorité municipale… Pour le maire de Clairac [en Lot-et-Garonne, NDLR] comme pour ceux de communes voisines, l’air du temps a changé, sans qu’ils aient les moyens d’y remédier. »
Alors que l’Assemblée nationale a donné, mercredi soir, son feu vert pour un prolongement du passe sanitaire jusqu’à l’été 2022, Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, revient sur ce qu’il appelle « le vote de la honte ». Le texte, voté dans un Hémicycle à moitié vide, aurait selon lui pu être contré si l’opposition avait rassemblé ses troupes.
17 octobre 1961-17 octobre 2021 : 60 ans ! Emmanuel Macron s’apprête à reconnaître « une vérité historique » lors de la commémoration officielle du massacre, à Colombes (Hauts-de-Seine). Il déposera une gerbe sur les quais de la Seine, respectera une minute de silence et s’entretiendra avec les familles des victimes.
Anne-François-Louis Janmot né à Lyon le et mort dans la même ville le est un peintre et poète français de l'École de Lyon.
Louis Janmot était né de parents catholiques profondément religieux. Il fut extrêmement ému par la mort de son frère en 1823 et de sa sœur en 1829. Élève au collège royal de Lyon, il y fit la connaissance de Frédéric Ozanam et d'autres disciples de son professeur de philosophie, l'abbé Noirot. En 1831, il fut admis à l'École des beaux-arts de Lyon et un an plus tard, y obtint la plus haute distinction, le Laurier d'or. En 1833, il vint à Paris pour suivre des cours de peinture auprès de Victor Orsel et Jean-Auguste-Dominique Ingres. Avec d'autres Lyonnais, il entra à la Société de Saint-Vincent-de-Paul. En 1835, il se rendit à Rome en compagnie de Claudius Lavergne, Jean-Baptiste Frénet et d'autres étudiants, et il y rencontra Hippolyte Flandrin.
Après son retour à Lyon en 1836, Janmot voulut attirer sur lui l'attention des critiques du Salon de Paris en réalisant des peintures de grand format et d'inspiration religieuse telles que La Résurrection du fils de la veuve de Naïm (1839), Le Christ au Jardin des Oliviers (1840), ou La Cène (1845) peinte pour l'hôpital de l'Antiquaille. Après 1845, il s'attira l'intérêt de Charles Baudelaire avec son tableau Fleur des champs, ce qui lui permit d'accéder au Salon de 1846. Théophile Gautier fut impressionné par son Portrait de Lacordaire (1846). Mais l'insuccès de son Poème de l'âme à l'occasion de l'Exposition universelle de 1855 le déçut fortement. En décembre de cette même année, il épousa Léonie de Saint-Paulet, d'une famille noble de Carpentras. En 1856 Janmot obtint la commande d'une fresque (disparue) représentant la Sainte-Cène pour l'église Saint-Polycarpe. D'autres commandes suivirent, notamment pour la décoration de la coupole de l'église Saint-François-de-Sales et pour l'hôtel de ville de Lyon qui venait d'être rénovée par son ami l'architecte Tony Desjardins. Il fut alors nommé professeur à l'École des beaux-arts de Lyon.
À la surprise générale, Janmot s'installa à Paris en 1861 après avoir reçu la promesse d'une commande pour l'église Saint-Augustin, projet qui fut cependant abandonné trois ans plus tard. En proie à d'importants problèmes de famille et financiers, Janmot accepta un poste de professeur à l'École des Dominicains d'Arcueil. Il réalisa à cette époque dans sa propriété de Bagneux de nombreux portraits, en fresques, de membres de sa famille — dont ne subsistent que des photographies.
À la suite de la naissance de son septième enfant en , son épouse mourut à Bagneux. Alors que les troupes prussiennes se rapprochaient et investissaient son logement, il s'enfuit à Alger chez son beau-père et y réalisa des tableaux paysagers. Il revint en juin de l'année suivante à Paris et y mena une vie solitaire. Sa maison à Bagneux avait été pillée. En 1878, il réalisa une fresque dans la chapelle des Franciscains en Terre Sainte, cependant ce travail ne fut suivi d'aucune autre commande.
Confronté à des difficultés familiales et financières croissantes, Janmot partit pour Toulon ou malgré quelques commandes (nouveau Portrait de Lacordaire (1878, château de Versailles), Rosaire (Saint-Germain-en-Laye, 1880), Martyre de sainte Christine (Solliès-Pont, 1882) il mena une vie retirée. Il termina la seconde partie du Poème de l’âme que le mécène et ancien industriel Félix Thiollier s'était déclaré prêt à publier.
En 1885, Janmot épousa une ancienne élève, Antoinette Currat, et revint s'établir à Lyon. Il y réalisa des dessins au fusain sur le thème de L'Au-delà, qui peuvent être considérés comme une sorte de continuation du Poème de l’âme, parmi lesquels Le Purgatoire (1885) et La Fin des Temps (1888). En 1887 fut publié à Lyon et Paris un ouvrage de plus de 500 pages intitulé Opinion d’un artiste sur l’art et comprenant des articles précédemment rédigés par Janmot. Il mourut cinq années plus tard, le .
Comme Hippolyte Flandrin, autre peintre de l'école lyonnaise et élève d'Ingres, Louis Janmot réalise un grand nombre de commandes pour la décoration des églises. Dans sa peinture, le dessin et le fini d'Ingres se combinent avec un mysticisme dont le parallèle se retrouve dans l'œuvre de ses contemporains du mouvement nazaréen et chez les préraphaélites.
Janmot est considéré comme un artiste de transition entre le romantisme et le symbolisme, préfigurant le versant français du préraphaélisme.
Son œuvre est admirée par Pierre Puvis de Chavannes, Odilon Redon et Maurice Denis.
Quelques-unes de ses œuvres sont conservées au musée des Beaux-Arts de Lyon. Son œuvre majeure est Le Poème de l'âme, ensemble formé de 18 tableaux et 16 dessins qui l'occupe entre 1835 et 1880. Un long poème composé par Janmot lui-même sert d’argument aux tableaux.
Cette série de 34 tableaux est l'œuvre la plus connue de Janmot. Il écrivit à cet effet un poème cyclique dont la première partie fut publiée en 1854 à Lyon par l'éditeur Vingtrinier. Dans l'édition de 1881 à Saint-Étienne, Janmot enrichit le poème d'une seconde partie, tout en corrigeant quelque peu la première, remplaçant quelques strophes et en ajoutant de nouvelles.
L'œuvre picturale comprend 18 peintures et 16 dessins (musée des Beaux-Arts de Lyon) :
C’est une initiative enchanteresse, à en croire les propos élogieux du Monde et de France Info qui fêtent son vingtième anniversaire. Son nom : la Bibliothèque humaine.
L’idée est née à Copenhague, nous dit-on ; elle a germé dans l’esprit de quatre Danois membres du groupe « Stop the violence ».
OPINION. Doreur d’orgues, notre lectrice déplore la disparition progressive de nombreux métiers artisanaux. Mais avec le regain d’intérêt des Français pour la préservation de leur patrimoine, cette dynamique n’est pas forcément inexorable.
Chaque semaine, Jean-Baptiste Giraud, journaliste économique et coauteur de Dernière crise avant l’Apocalypse (Ring), livre aux lecteurs de Boulevard Voltaire son décryptage d’une actualité. Aujourd’hui, les fameux « sous-marins australiens »…
Depuis que court cette pandémie de Covid-19, le monde scientifique n’a cessé de se déconsidérer, mettant au ban tous ceux ou presque qui osent remettre en doute la doxa officielle.
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
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Elu Roi en 987, il n'aura pas régné bien longtemps !
Et pourtant Jacques Bainville - qui écrit avec raison "...les premiers règnes furent sans éclat..." - affirme que l'année 987, qui l'a vu accéder au trône, est néanmoins la date la plus importante de notre Histoire.
Ci dessous, en orangé, on voit ce qu'était réellement ce qui allait devenir "la France" à l'avènement d'Hugues Capet :