Sur Sud Radio, fallait-il relâcher des djihadistes pour libérer Sophie Pétronin ?
Philippe David avec Philippe Bilger, Pablo Pillaud-Vivien et Caroline Pilastre.
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Philippe David avec Philippe Bilger, Pablo Pillaud-Vivien et Caroline Pilastre.
Journaliste à Marianne Louis Hausalter, dresse dans son livre un portrait politique et personnel de Marion Maréchal, ancienne figure du Front national et membre de la famille Le Pen, aujourd'hui directrice de l'ISSEP. "Sous haute surveillance" du RN et très suivie par des courants allant de la droite buissonnière aux Républicains, Marion Maréchal est devenue un enjeu et un fantasme pour de nombreux entrepreneurs politiques qui veulent s'accaparer les réseaux et l'aura de l'ex-député du Vaucluse. Interview menée par Tugdual Denis.
Ancien préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, la plus haute autorité doctrinale de l'Eglise, de 2012 à 2017, le cardinal Gerhard Müller vient de publier un ouvrage sur la crise politique, morale et culturelle que traverse l'Occident : "La force de la vérité. Les défis posés à la foi catholique dans un monde qui n'est plus chrétien". Il répond aux questions de Jean-Pierre Maugendre sur le rôle de la Congrégation pour la Doctrine de la foi dans l'Eglise, la crise des catéchismes, les ambiguïtés de certaines déclarations magistérielles (Amoris Laetitia), la notion de "pleine communion", les rapports de la foi et de la raison, la crise de la modernité...
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Mais elle est aussi ouverte à d'autres groupes, pas forcément royalistes, ou exclusivement royalistes, qui mènent des actions allant dans le sens de la défense du Bien commun : le Collectif Nemesis / Jeunesse, si tu savais-Poussières d'étoiles / Baguette Musette / le Cercle d'Artagnan / Les Chemises blanches...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
On a libéré 100 à 200 terroristes (et payé des millions) pour la libérer. Mais Sophie Pétronin est du côté de ceux qui tuent nos soldats : "Pour le Mali, je vais prier et implorer la bénédiction d'Allah, parce que je suis musulmane. Vous dites Sophie, mais c'est Mariam que vous avez devant vous".
Et maintenant, en plus, elle dit qu'elle veut repartir au Mali : renégate et inconsciente à la fois, doublement dangereuse...
A.L., d'Annecy, bien reçu le versement par Paypal : toute la Rédaction se joint à moi pour vous remercier...
Encore merci à ceux qui vous ont précédé, et, d'avance, merci à ceux qui nous témoigneront leur amitié, leur soutien, leur encouragement...
François Davin, Blogmestre
Identitaires de droite et de gauche, féministes qui détestent les hommes, gauchistes totalitaires... Les tenants de l’islam politique ne sont pas les seuls à fracturer la société française. Les mesures annoncées par le chef de l’État sont salutaires, mais il reste tant à faire pour préserver notre héritage commun issu des Lumières.
Je sais, c’est l’honneur de la France. Et son talon d’Achille, aussi. La France ne laisse pas tomber ses otages, et va les chercher… quoi qu’il en coûte. En mai 2019, au Burkina Faso, sans même évoquer les transactions financières probables, il en a coûté la vie de deux militaires. Cette fois, pour Sophie Pétronin, ce sont plus de 100 djihadistes qui ont, à titre de contrepartie, été libérés… officiellement par le Mali.
À peine Emmanuel Macron évoquait-il le « séparatisme » dans un discours prononcé, vendredi dernier, aux Mureaux (Yvelines), que, déjà, l’intitulé du texte de loi censé le mettre en œuvre était modifié. Il s’agira donc désormais, plutôt que de lutter contre le « séparatisme » en question, de « renforcer les principes républicains », principes qu’évoquent généralement les politiciens quand ils n’ont plus rien à dire.
Saint François d’Assise
© Julian Kumar / Godong
Une encyclique papale constitue toujours dans l’Église un événement, qui se répercute d’ailleurs souvent au-delà de ses frontières visibles. C’est à un moment de réflexion intense qu’invite l’évêque de Rome, hors du forum de la vie publique habituelle. Et lorsqu’il s’agit de questions qui concernent l’organisation de la cité et la justice sociale, il faut s’attendre à une attention toute particulière, non seulement des responsables politiques, mais aussi d’une large part de l’opinion.
Il y a ceux qui ont peur de la Covid, et puis il a ceux qui ont peur de Zemmour. Ces derniers traquent le chroniqueur sur les rares plateaux télé où il a encore accès, dans l’espoir de s’indigner à peu de frais et organiser le tollé (A mort ! Relâche Barabbas ! Crucifie-le ! Crucifie-le !) Et le CSA de s’émouvoir et l’administration judiciaire de se mobiliser. On nous a déjà fait le coup avec Valeurs actuelles et madame Obono. Notre très digne garde des sceaux, quant à lui, oubliant qu’il n’exerce plus la fonction d’avocat des meurtriers les plus abjectes, n’a même pas l’attitude de Pilate, mais crie à mort avec les grands prêtres.