Violences ordinaires/Paris : d'accord avec Collard et Goldnadel...
UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Certes, les "Cagoules noires" existent et cassent depuis longtemps. Mais on les connaît, il y en a entre 2 et 300 à Paris, et environ 3.000 dans toute la France. Pourquoi la police ne reçoit-elle pas (jamais) d'ordres pour les mettre hors d'état de nuire ?
J.S., de Sainte-Foy, bien reçu le versement par Paypal : toute la Rédaction se joint à moi pour vous remercier...
Encore merci à ceux qui vous ont précédé, et, d'avance, merci à ceux qui nous témoigneront leur amitié, leur soutien, leur encouragement...
François Davin, Blogmestre
1. Une écoute objective des propos d'Emmanuel Macron sur Brut ne peut qu'amener à cette conclusion : le semble-Président a "couru après" ce qu'il croit être "l'électorat jeune", qu'il a cru pouvoir appâter avec un à-plat-ventrisme qui ne le servira pas. Bien au contraire.
"On appelle ça un fiasco."
© Hannah Assouline
"Les policiers méritent mieux que ce rôle de rempart contre le changement, qu’on essaye de leur faire jouer", affirme Natacha Polony, directrice de la rédaction de "Marianne", dans son édito.
Ô surprise, le gouvernement découvre que les « emmerdes » volent en escadrilles. Il est vrai que la vie politique n’a jamais été un long fleuve tranquille et ne le sera jamais.
Néanmoins, il y a une grande différence entre des événements fortuits qui tracassent le politique, l’interpellent et l’alarment en survenant de manière inopinée et ceux qui s’inscrivent dans la logique de l’action gouvernementale et en sont les conséquences directes.
Tout a été dit sur la démagogie et l’opportunisme communautariste des propos d’Emmanuel Macron à Brut. C’est lamentable, mais inévitable de la part d’un homme politique qui n’est guidé que par le « en même temps ». Cela ne serait pas très grave si cet homme n’était pas président de la République, dans les circonstances actuelles dont il nous dit, le matin, mesurer la gravité tout en s’emballant, le soir, dans ce qui ressemble à une énième humiliation de la police.
En matière de lutte contre l’islamisme, quelque chose serait-il en train de bouger ? On aimerait le croire. Ainsi, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, vient-il de tweeter : « Conformément à mes instructions, les services de l’État vont lancer une action massive et inédite contre le séparatisme. 76 mosquées soupçonnées de séparatisme vont être contrôlées dans les prochains jours et celles qui devront être fermées le seront. »
Près de 800 incidents ont été enregistrés dans les établissements scolaires, lors de l’hommage à Samuel Paty, le professeur d’histoire-géographie décapité le 16 octobre dernier, à la sortie de son collège, par un islamiste tchétchène âgé de 18 ans. Tel est le bilan communiqué par le ministère de l’Éducation nationale, le jeudi 3 décembre, relate CNews.
L’interpellation (trop) musclée de Michel Zecler, ce producteur de musique rap au passé judiciaire déjà chargé, ne pouvait pas mieux tomber pour les délateurs de la loi sécurité globale. En particulier pour celles et ceux qui contestaient, au nom de la liberté de la presse, les termes de son article 24 relatif à la protection renforcée des forces de l’ordre en cas de diffusion d’images les concernant.
Voici la traduction intégrale de l’article de Steve Mosher publié vendredi par LifeSiteNews, où vous trouverez la synthèse des procédures en cours pour fraude électorale. L’auteur, est le président du « Population Research Institute », premier sociologue américain à visiter la Chine communiste où il découvrit l’horreur des avortements forcés.