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  • Et si, pour redresser la France, on restaurait la monarchie ? C'est sur Boulevard Voltaire que la question est posée

     

    Par Laure Fouré
     
    « À quoi bon confier le pouvoir à un gouvernant qui ne dispose pas des moyens juridiques de l’exercer ? » C'est cette question que pose Laure Fauré dans un article pertinent de Boulevard Voltaire [28.01]. La citation finale de Patrick Buisson démontre d'ailleurs amplement que ce ne sont pas seulement des moyens juridiques qui manquent au régime actuel pour être un Etat digne de ce nom, en tout cas digne de la France, adapté à elle. Cette citation atteste aussi de la profonde imprégnation de la pensée de Patrick Buisson par les doctrines contre-révolutionnaires. Quant au Prince lui-même, il devra, en effet, disposer du consentement des Français - quel que soit le moyen de l'exprimer. Sans-doute ne pourra-t-il être qu'un prince pleinement français. Français de droit et, plus encore, français de fait. Ainsi sont les princes d'Orléans dont on rappellera pour finir qu'ils sont des Bourbons.  Lafautearousseau

     

    3632260486.jpgAlors que la campagne électorale en vue du prochain scrutin présidentiel bat déjà son plein à travers le lamentable spectacle des « primaires » de la droite comme de la gauche, dont les candidats rivalisent de médiocrité, comment ne pas se prendre à rêver d’un changement de régime puisque celui-ci, depuis des décennies, ne cesse de défaire la France ?

    Certes, le fondateur de la Ve République entendit restaurer notre cher et vieux pays en le dotant d’une Constitution propre à redonner une certaine autorité au chef de l’État, mais ses successeurs s’appliquèrent tant à dégrader la fonction, jusqu’à abandonner la souveraineté dont ils disposaient au profit de l’oligarchie européenne, qu’il ne nous reste aucun espoir de redressement sans un renouvellement profond des institutions qui nous régissent.

    Malgré l’affirmation incantatoire des « valeurs de la République », au contenu jamais défini mais qu’il faudrait respecter comme de nouvelles Tables de la Loi, les Français assistent impuissants à la décadence d’une nation dont le rayonnement illumina pourtant le monde jusqu’aux heures funestes de la Révolution de 1789, matrice des idéologies totalitaires qui ensanglantèrent le siècle dernier.

    Face à ce désastre, la France ne se redressera qu’en renouant avec la tradition multiséculaire qui correspond le mieux à la nature particulière de son peuple et aux vicissitudes de son histoire, selon la méthode de l’empirisme organisateur brillamment développée par Charles Maurras, à savoir une monarchie héréditaire garante d’un État fort délivré de l’emprise des partis qui divisent les citoyens en factions rivales et destructrices de l’unité nationale.

    Bien sûr, le retour du prince, que les Français pourraient désigner par référendum parmi les héritiers des Bourbons et des Orléans, ne constitue qu’un moyen et doit s’accompagner impérativement de la mise en place de nouvelles institutions, après dénonciation des différents traités qui ont progressivement confisqué les principaux attributs de notre souveraineté politique. 

    En effet, il est indispensable de recouvrer notre indépendance, sans laquelle aucune réforme ne saurait être conduite efficacement : à quoi bon confier le pouvoir à un gouvernant qui ne dispose pas des moyens juridiques de l’exercer ?

    Grâce à cette nouvelle liberté d’action, le roi pourra redevenir le fédérateur des intérêts particuliers en vue du bien commun de l’ensemble des citoyens, incarner la continuité de l’État par la transmission héréditaire de la fonction et permettre au peuple français de reconquérir son identité à un moment de son histoire où celle-ci se trouve gravement menacée, tant par l’invasion migratoire de populations exogènes que par la colonisation culturelle et linguistique du monde anglo-saxon, plus particulièrement de l’empire américain.

    Comme le rappelle Patrick Buisson dans son dernier ouvrage,« l’idée que l’autorité politique ne constitue pas un dominium, un droit de propriété rapporté à un individu, mais un ministerium, un office exercé au nom de tous, est au cœur de la pensée occidentale. […] Cette vision de l’administration de la Cité aura d’abord été en France le propre de la monarchie, pour qui elle semble inséparable de la conception organiciste de la société qu’exprime Louis XIV dans son Mémoire pour l’instruction du dauphin rédigé en 1661 : “Car enfin, mon fils, nous devons considérer le bien de nos sujets bien plus que le nôtre propre”. » Seul un roi puisant sa légitimité dans l’Histoire est véritablement capable de servir « la cause du peuple ».  •

    Juriste
  • Patrick Buisson : « la démocratie, rien d'autre qu'un pis-aller, une forme de résignation, un expédient pour basse époque ? »

     

    Pas plus que l'article qui précède n'émane de Lafautearousseau, les lignes qui suivent, puissantes et pénétrantes, toutes marquées d'authentique esprit contre-révolutionnaire, ne sont de Charles Maurras, venues de temps lointains  ... Mais du premier des conseillers du précédent président de la République française, Patrick Buisson. « Le doute n'habite-t-il pas le système lui-même ? » demande-t-il. Il en fut l'un des rouages les plus hauts placés de 2007 à 2012. Sans illusion et sans abandon ni de ses convictions de fond ni de sa lucidité critique. Est-ce folie de supposer possible qu'en certaines circonstances déterminées un tel régime pourrait s'effondrer sur lui-même, se défausser, laisser la place ? A méditer. Lafautearousseau 

     

    bv buisson.jpg« Il y a quelque chose de particulièrement sinistre dans l'atmosphère qui nimbe les heures crépusculaires d'une fin de règne en régime démocratique. Au sentiment d'inachevé, que souligne l'impuissance à s'inscrire dans le temps long de l'histoire, se mêle la sourde aversion que suscite chez tout esprit épris d'unité la perspective d'être de nouveau confronté au fanatisme mou d'une campagne électorale, au mimodrame d'une guerre civile. Telle est ma fracture intime : avoir développé une expertise au sujet d'un processus dont la résultante collective ne me paraît pas toujours ordonnée au bien commun. Car si l'élection présidentielle est bien ce moment où l'on confronte les projets, c'est aussi le moment où s'accomplit un rituel de séparation qui dresse les Français d'abord en plusieurs factions rivales, puis en deux camps apparemment irréconciliables. Là est la malédiction du nombre abstrait, anonyme, informe, que Victor Hugo résuma en une formule fulgurante : « Je suis le Médiocre immense. [...] Je suis Tous, l'ennemi [...] de Tout. » Là est aussi la critique la plus aiguë de la démocratie : la multitude opposée à l'unité, la fragmentation à l'indivisibilité, le dénombrement contre le rassemblement. Le doute n'habite-t-il pas le système lui-même ? La célèbre sentence de Churchill qui fait de « la démocratie le pire régime à l'exclusion de tous les autres » ne semble-t-elle pas nous dire que, finalement, la démocratie n'est rien d'autre qu'un pis-aller, une forme de résignation, presque un expédient pour basse époque ? Dans le feu de l'action, le gérant démocratique ne se pose que rarement ce genre de question. Sauf à l'heure des comptes. Alors, il vacille, titube, se perd dans une interminable introspection traversée par un fort sentiment d'injustice dès lors qu'il en vient à envisager la défaite. » 

    Patrick Buisson

    La Cause du peuple - Perrin - 2016 [Pages 283-84]

  • Corruption, actualité la plus immédiate : Rousseau vient d'écrire à d'Alembert...

     

    Mur-bleu gds.jpgDe Cahuzac et Thévenoud hier (vous savez, ces deux pourfendeurs PS de la fraude fiscale, qui appelaient les galeux à « faire repentance »), à Fillon aujourd'hui - et encore, pour ne parler que d'eux, dans l'immense foule qu'il faudrait citer ! -  prenons le temps d'être court, comme le conseillait Pascal ; et lisons les mots que Jean-Jacques vient d'envoyer à Jean Le Rond (plus connu par la suite de son nom : d'Alembert).

    Ils semblent écrits d'hier, non ? :

    « Jamais, dans une monarchie, l’opulence d’un particulier ne peut le mettre au-dessus du Prince ; mais, dans une république, elle peut aisément le mettre au-dessus des lois. Alors, le gouvernement n’a plus de force, et le riche est toujours le vrai souverain »

    Jean-Jacques Rousseau, Lettre à d’Alembert sur les spectacles, 1758.

    Comprenne qui pourra, comprenne qui voudra ... 

  • La Belle et la Bête

     

    par Louis-Joseph Delanglade

     

    Il devait s’agir d’une « élection primaire ouverte » organisée par le Parti socialiste. Mais, avant tout soucieux de communication, M. Cambadélis, en a fait des « primaires citoyennes » (notez le pluriel, sans doute emphatique mais on se demande pourquoi; et l’adjectif en voie de dépréciation, tout de nos jours étant « citoyen » - sauf peut-être la lecture du présent article), et désormais organisées par une certaine « Belle Alliance populaire » (sans doute une antiphrase). Qu’importe qui de MM. Valls ou Hamon l’aura finalement emporté : vu la tournure des événements, il est fort peu probable que le candidat de la « Belle, etc. » fasse bonne figure à l’élection présidentielle. Cette primaire était manifestement à usage interne : il s’est agi ni plus ni moins de prendre la main sur le parti, ou ce qu’il en reste, en vue d’échéances plus lointaines. On voit bien la dérive…

     

    Qui dira en effet les torts de toute «  primaire » ? Qu’elle concerne la droite ou la gauche, ce type d’élection constitue un dévoiement des institutions, en ce qu’elle contribue à contourner la constitution de 1958, conçue pour minimiser le rôle des factions. Déjà malmenée par le quinquennat, voici cette constitution en butte à la réinstallation sans vergogne par les partis d’un jeu politicien jusque là plus ou moins contenu : la bête reconquiert son territoire. Certes, ne sont concernés dans les faits que les deux grands partis, adoubés par les médias puisque dits « de gouvernement ». Il s’agit cependant bien d’une simple imitation destinée sans aucun doute à accentuer l’américanisation de notre vie « politique » (guillemets de rigueur). Tout le petit monde des appareils politiciens et médiatiques y trouve son compte, faisant mine d’ignorer que ce qui fait sens aux Etats-Unis, où depuis deux siècles le clivage démocrate-républicain structure la vie électorale, confine chez nous au non sens pur et simple.

     

    Du coup, on ne peut s’étonner qu’une primaire devienne l’occasion des propositions les plus utopiques, autant dire démagogiques (l’abolition des frontières, le revenu universel, le droit à l’enfant, etc.). ce que M. Valls lui-même a le mérite de dénoncer clairement : « promettre n’importe quoi pour gagner » (Alfortville, vendredi 27). Au mieux aura-t-on droit à un catalogue de mesures relevant de la simple bonne (ou mauvaise) gestion ministérielle, très nettement en deçà de ce qu’il faut bien appeler le sens et l’intérêt de l’Etat. Ainsi, et à titre d’exemple, MM. Valls et Hamon n’ont fait qu’effleurer dans leur débat du 26 ce que devrait et pourrait être une politique étrangère conforme à nos intérêts et à notre légitime ambition. Mais n’est-il pas déraisonnable d’attendre du politicien qu’il se transforme en politique ?

     

    Les primaires ne font que participer d’un mouvement plus général. Minée de l’intérieur, la Ve République montre ses limites. Sa décomposition peut aller très vite. Ainsi, certains, dont M. Mélenchon, réclament une sixième république, aux antipodes de l’actuelle « monarchie républicaine ». Retour au funeste parlementarisme garanti. Pour le coup, c’en serait fait de ce qui reste d’un Etat souverain plus ou moins capable d’assurer ses missions régaliennes. 

  • Politique magazine, numéro de février : « Le nouveau monde »

     

    Découvrez le numéro de février !

    DOSSIER : Le réveil des nations

    Printemps des peuples, retour des nations, permanence des états. La prise de pouvoir de Donald Trump et le choix d’un Brexit « dur » par Theresa May annoncent une nouvelle donne mondiale. En France, un souffle d’espoir, porté par le retour du peuple, est-il en train de se lever ? 

    Et aussi dans ce numéro…  54 pages d’actualité et de culture !

    Sommaire

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  • Élections : 2 + 2 = 5

     

    par Ph. Delelis

    En principe, le comptage des voix dans une élection ne fait appel qu’aux quatre opérations élémentaires (additions, soustractions, multiplications, divisions), mais, visiblement, certaines ne sont pas connues des organisateurs. 

    Un petit récapitulatif n’est donc pas superflu en vue notamment des scrutins futurs (le passé a ceci d’irritant qu’il ne peut pas être changé).

    1. Le nombre de bureaux de votes au début et à la fin du scrutin doit être identique. Si ce n’est pas le cas, il y a plusieurs explications possibles mais une fracture spatio-temporelle ou, plus généralement, un phénomène spontané de physique quantique, ne sont pas les plus probables.

    2. La somme des voix recueillies par un candidat dans tous les bureaux de vote doit être égale au nombre de voix recueillies par ce même candidat au niveau national.

    Si ce n’est pas le cas, il y a peu explications rationnelles mais peut-être l’usage de l’algèbre non commutative. Toutefois, il devrait être admis que si le règlement de l’élection n’a pas permis le recours à cette forme particulière d’algèbre, alors on ne devrait pas l’employer. D’une façon générale, le cadre mathématique conceptuel ne devrait pas être laissé à l’appréciation des présidents de bureaux de vote. Au centralisateur des résultats non plus, d’ailleurs.

    3. La « participation » n’est pas un concept abstrait mais le nombre concret des électeurs déposant un bulletin dans une urne (matérielle ou électronique).

    Si, au fur et à mesure du dépouillement, la participation ne suit pas une progression globalement linéaire mais au contraire subit des fluctuations, alors il est probable que le centralisateur des résultats, au lieu de pratiquer une addition qui le fatiguait par sa simplicité, a suivi une suite de Collatz. Celle-ci consiste, pour la détermination du chiffre suivant à prendre, ou bien la moitié du terme précédent si celui-ci est pair, ou bien le triple du terme précédent augmenté de 1 s’il est impair. Cette suite restant encore une énigme pour les mathématiciens, il est peu recommandé, là encore, d’y avoir recours.

    4. En divisant le total des voix obtenues par un candidat par le nombre de suffrages exprimés (le total des bulletins moins les bulletins blancs et nuls), et en multipliant par cent, on obtient le « pourcentage » de voix de ce candidat. Cette notion, un peu subtile il est vrai (quoique figurant au programme du CM2), permet une comparaison rapide des scores. Si le numérateur ou le dénominateur change, et hors le cas où ils se modifient dans une proportion identique, alors le pourcentage change.

    Si ce n’est pas le cas, alors il est probable que l’on ait encore quitté l’arithmétique des Hussards de la République et que l’on ait glissé, par exemple, vers la géométrie hyperbolique. Elle a certes permis les voyages dans l’espace mais n’est pas spécialement adaptée aux processus électoraux. Sauf, bien sûr, à vouloir envoyer le scrutin dans un trou noir. 

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  • La Semaine de Magistro, une tribune d'information civique et politique

     

    La  Semaine de MAGISTRO - Adossée à des fondamentaux politiques avérés, Magistro, une tribune critique de bon sens, raisonnée et libre, d'information civique et politique. [29.01] 

    A tout un chacun

    Aude MIRKOVIC   Maître de conférences en droit privé et porte-parole de l'association Juristes pour l'enfance  GPA : "La Cour européenne des droits de l'homme protège enfin les droits des enfants !" 

    Du côté des élites    

    Jacques BICHOT   Economiste, démographe, Professeur émérite à l'Université Lyon 3 - Ancien président de Familles de France  Retraites : qu’attendent Fillon et Les Républicains pour se doter d’un programme digne de ce nom ?

    Paul RIGNAC  Romancier, essayiste   La guerre de Tromelin n’aura pas lieu…

    Ivan RIOUFOL   Journaliste politique    Macron, l’homme du Système

    En France

    Maxime TANDONNET   Haut fonctionnaire  Cette révolution silencieuse qu’ignore la "France d’en haut"

    Vincent DESPORTES   Ancien directeur de l’Ecole de Guerre, professeur de stratégie à Sciences Po   La politique de Défense de la France

    Avec l'Europe

    Charles GAVE   Economiste financier   Pour avoir un pays bas, votez Hollande

    François JOURDIER  Officier, amiral (2S)   L’Europe selon Trump

    De par le monde

    Renaud GIRARD    Journaliste, reporter de guerre, géopoliticien    La nouvelle vision américaine du monde

    N.B. :  cf. Maxime TANDONNET  Précisions de M. Julien Aubert, député

    Faites suivre à vos amis, dans votre famille et partagez ...  MAGISTRO  vous invite aussi à vous rendre sur son site et y (re)lire tous les écrits depuis son origine (2008).  MERCI. 

  • Culture • Loisirs • Traditions

  • Rire ou sourire un peu ... même s'il n'y a pas vraiment de quoi

     

    A la façon de Luchini, un humour d'actualité.

    La vidéo ne dure que 1'45'' et se termine par une citation de La Fontaine particulièrement bienvenue.

    Lafautearousseau 

     

     Merci à Ariane !

  • Famille de France • La princesse Antoinette de France a fêté hier ses cinq ans ... Joyeux anniversaire !

     

    La princesse Antoinette, Léopoldine, Jeanne, Marie, fille de Leurs Altesses Royales le Duc et de la Duchesse de Vendôme, a célébré hier en famille son cinquième anniversaire.

    La petite princesse est née le 28 janvier 2012 à Vienne en Autriche dans un hôpital dont la création avait été décidée par l’empereur Joseph II d’Autriche, frère de la reine Marie-Antoinette.

    La princesse Antoinette de France vit avec ses parents le Dauphin et la Dauphine de France dans leurs résidence du domaine royal de  Dreux, en compagnie de ses frères le prince Gaston de France et le prince Joseph de France, ainsi que sa petite sœur la princesse Louise-Marguerite de France.

    Nous lui souhaitons un Joyeux Anniversaire. Lafautearousseau 

    Source La Couronne

  • Mémoire [Vidéo] • A Marseille, ferveur de la messe du 21 janvier pour Louis XVI et les victimes de la Révolution

     

    Ce sont des dizaines de messes pour le roi Louis XVI qui ont été dites en France, aux Etats-Unis, en Belgique, en Roumanie, en Pologne et en bien d'autres lieux, samedi 21 janvier.

    Nous en avons annoncé ici près de quatre-vingt, auxquelles s'ajoutent toutes celles dont certainement nous n'avons pas eu connaissance. Des messes nombreuses et recueillies, mais aussi beaucoup de rencontres, conférences, débats et manifestations de diverses sortes. En ces temps de trouble et d'inquiétude, le besoin de racines, de retour aux sources, nationales et historiques, apparaît ainsi bien plus prégnant qu'aux époques d'insouciance. Ainsi ces évocations du roi Louis XVI, du martyre de la famille royale et des horreurs révolutionnaires, prend-il un tour très actuel.

    A Marseille, samedi dernier 21 janvier, à 11h30, une très belle messe, fervente et recueillie, merveilleusement chantée, a été célébrée par Mgr. Jean-Pierre Ellul, en la basilique du Sacré-Coeur en présence d'une très nombreuse assistance, et ce avant la rencontre enrichissante et réussie qui devait se tenir ensuite à Notre-Dame du Liban.

    Voici, en ce dimanche, le reportage réalisé par nos soins, sur cette très belle célébration. L'homélie qui y a été donnée - par le Père Olivier SALMERON, curé de l'ensemble paroissial Notre-Dame de La Salette à Marseille, s'y trouve intégralement. Lafautearousseau

    Messe pour le Roi LouisXVI 21 01 17 à Marseille... from Lafautearousseau on Vimeo.

    A lire aussi dans Lafautearousseau ...

    A Paris, Marseille, et des dizaines de villes de France ou de l'étranger, ferveur d'un 21 janvier patriotique

    Retour en images sur l'excellente réunion du 21 janvier avec Jacques Trémolet de Villers

    [Vidéo] J. Trémolet de Villers parle de Jeanne d'Arc et Louis XVI, deux martyrs français

  • Société • 0% Femen… 100% féministe et 100% féminine

    Thérèse Hargot 

     

    Par Péroncel-Hugoz

    Notre confrère a observé, en Europe occidentale, les polémiques inédites déclenchées par le « féminisme différencialiste » d’une nouvelle venue, originaire de Belgique…

     

    peroncel-hugoz 2.jpgC’est une « vraie blonde », comme on en voit, par exemple, à Tournai, Liège ou Bruxelles; et d’ailleurs c’est du royaume de Belgique qu’elle vient. Elle a ensuite exercé le très risqué métier de « sexologue » aux Etats-Unis mais c’est en France qu’une partie du grand public a commencé à entendre parler d’elle, en 2016, avec son essai-choc : Une jeunesse sexuellement libérée (ou presque)*. Cette jeune femme, qui se définit comme « alterféministe », plutôt que « féministe » tout court, se nomme Thérèse Hargot. 

    Ceux qui l’ont approchée, notamment dans les radios, télévisions ou salles de presse, disent, en général, qu’ils ont été frappés par ses manières « avenantes, simples, aimables mais sans excès ». « Rien à voir », note un journaliste bruxellois, avec « vos Chiennes de garde » françaises ou avec les Femen internationales, qui se montrent « agressives » ou « véhémentes » et voient « en tout homme », un « macho en puissance », qu’il faut « combattre »…

    Qu’on se rappelle seulement, ces dernières années, le cas de ce député français qui fut taxé d’une forte amende à Paris pour avoir donné du « Madame LE Président de commission » à une élue féministe exigeant d’être appelée « Madame LA Présidente, etc. », cette dernière formule étant pourtant contraire à la grammaire française actuelle, telle qu’elle est défendue par l’Académie française, prestigieuse gardienne suprême du langage depuis le XVII° siècle… 

    Néo-puritanisme 

    Les détracteurs de Thérèse Hargot ne sont pas tendres avec elle non plus : « Une fille bon chic bon genre qui, sous ses manières douces, cache un néo-puritanisme », selon Radio Zinzine, une radio française privée ultra-libertaire. Ce que reproche justement la sexologue belge à la « libération » des femmes issues de la révolution de mai 68, c’est d’avoir imposé, codifié une pratique sexuelle excluant tout « devoir de procréation » au profit d’un « consumérisme érotique » ou la sexualité est devenue une «denrée de consommation» parmi d’autres. Et cela, au détriment de la femme, de la féminité, de leur épanouissement. Au fil de ses enquêtes, parmi ses pareilles, en Amérique du Nord ou en Europe occidentale, Mme Hargot, affirme avoir rencontré un grand nombre de femmes, mariées ou pas, insatisfaites de leur vie privée, et n’osant pas en parler, de peur d’être moquées. 

    Simone de Beauvoir sur la sellette 

    Notre essayiste sociologue ne manque pas de reprocher à la fameuse romancière féministe du milieu du XXe siècle, Simone de Beauvoir, d’avoir « diabolisé la maternité », traitant de « pondeuses » les mères de plusieurs enfants… Le professeur Marc Calvini-Lefebvre, historien du féminisme à l’université d’Aix-Marseille, sans adhérer, loin de là, à tous les constats de Thérèse Hargot, reconnaît volontiers que « Simone de Beauvoir a eu des mots très durs pour la maternité ». Sur cette pente, on vit plus tard des ministres français socialistes, comme la martiale Yvette Roudy ou l’ambigu Laurent Fabius, ironiser sans fard sur la « progéniture » (quatre enfants) de la socialiste Ségolène Royal, première compagne officielle du non moins socialiste François Hollande… 

    Liens avec le féminisme arabo-musulman ? 

    En écoutant, en lisant Thérèse Hargot, j’ai retrouvé dans ses propos sur le « vrai féminisme », sur le « féminisme différentialiste » qui reconnaît les « spécificités et de l’homme et de la femme », certains accents déjà entendus chez des féministes arabo-musulmanes (Egypte, Syrie, Maroc, etc.). Ces dernières ne nient pas les caractéristiques propres à chacun des deux sexes, contrairement à la plupart des féministes françaises ou tunisiennes, ces dernières ayant catégoriquement refusé la prise en compte de la « complémentarité » hommes-femmes, qui n’est pourtant pas contradictoire avec la sacro-sainte notion d’« égalité » entre les sexes. Autre concept cher à Mme Hargot, celui de la « fidélité » dans le couple qui, outre la morale, offre une garantie réelle contre les maladies vénériennes ». 

    Un chercheur musulman en économie maritime mais s’intéressant à la vie intime de ses coreligionnaires, Si Mokhtar Ahmed-Taleb, a demandé sur la Toile « qu’on fasse de la place » à la sexologue belge dans le débat universel actuel sur la sexualité, « que ladite sexualité ait ou non la religion pour arrière-plan. Les tenants (et tenantes) des thèses « relativistes » ou « différentialistes », présents dans les sociétés arabo-islamiques, ont sans doute intérêt à comparer leurs constatations en islam avec celles de Mme Hargot en Occident. On dit cette dernière politiquement proche de François Fillon, qui sera candidat de la droite néo-gaulliste à l’élection présidentielle française, en 2017. Les études de terrain de la chercheuse non-conformiste auront-elles bientôt des prolongements concrets en Europe francophone et latine ? 

    Déjà, les « Chiennes de garde », à Paris, Bruxelles ou Barcelone, commencent à montrer les dents … 

    * Albin Michel

    Péroncel-Hugoz

    Repris du journal en ligne marocain le360 du 27.01.2017

  • BD • Mystère à Cordouan

     

    par Anne Bernet

     

    938307326.pngDepuis quelques années, tout en poursuivant sa collaboration à la série à succès Le Sang de la vigne, Jean-Pierre Alaux a entamé un autre cycle romanesque qui met en scène non plus un œnologue mais un conservateur employé, dans les années 70-80, par le ministère de la Culture et en charge de la sauvegarde du patrimoine.

    Séraphin Cantarel, bon vivant rondouillard, n’a pas le chic de Benjamin Cooker et les romans sont, en vérité, un peu légers, un peu décevants. Ces défauts n’ont pas empêché, à défaut d’une adaptation télévisuelle, d’en tenter le passage à la bande dessinée.

    Voici donc mise en planches la première enquête de Cantarel et du jeune Trélissac, son assistant, expédiés, en 1975, mesurer l’état de dégradation du phare de Cordouan, qui menace ruines.
    Très vite, cependant, la splendeur du monument, et son délabrement, vont moins inquiéter le conservateur que les étranges événements dont le phare semble le théâtre. Qui, la veille des noces, a tué Killiam, le fils d’un des gardiens, puis sa fiancée ?

    La clef de l’énigme serait-elle dans les caves mystérieuses de Cordouan qui ont abrité de bien curieux visiteurs ? Tandis qu’une terrible tempête se lève sur l’estuaire de la Gironde, Cantarel risque de se retrouver piégé en pleine mer en compagnie d’un assassin …

    L’on ne peut espérer mieux de la bande dessinée que du roman d’où elle est tirée. Cela se laisse lire sans déplaisir, rien de plus. Et, s’il donne, comme tant d’autres dessinateurs, dans la caricature dès qu’il s’agit d’esquisser un visage, Suro trace de belles images de Courdouan, Talmont ou Royan. C’est le charme principal de l’album. 

    Avis de tempête sur Cordouan, Corbeyran et Suro, Delcourt, 56p, 12,50€.

  • Louis XVI 2OI7 ! Une très, très longue liste ...

     

    « On est près du grand mouvement de l’inversion ». Lequel ? Celui qui mettra en cause la Révolution, la Révolution historique (« La terreur est dans son ADN ») mais aussi la Révolution agissant aujourd’hui. « Il y a des signes du sursaut ; des gens qui bougent ; des voix qui s’élèvent et qui parlent de plus en plus fort ». Philippe de Villiers 

    Vous trouverez ici, au fur et à mesure qu'elles seront annoncées, les messes et activités prévues dans votre région - du moins, toutes celles dont nous aurons eu connaissance. Vous aurez certainement à cœur d'y prendre part. Il ne s'agit pas de simples commémorations et votre présence, nombreuse, leur donnera leur plein sens actuel.  

    Annonces

    Nous publierons ici la liste des messes, conférences, débats et manifestations dont nous aurons eu connaissance. Une très très longue liste ...

    Les organisateurs de messes et manifestations autour du 21 janvier 2017 peuvent, d'ores et déjà, nous en communiquer les détails, pour être publiés ici. Courriel : lafautearousseau@outlook.fr]

    On se reportera en fin de liste pour atteindre les dates encore à venir. 

    DIMANCHE 15 JANVIER

    Nice : 10h,  Chapelle des Pénitents rouges, rue Jules Gilly (extrémité Est du Cours Saleya). A 12h, Déjeuner à l'Hôtel Aston, 12 Avenue Félix Faure. A 15h, conférence de Philippe Pichot-Bravard : « Louis XVI, sa personnalité, ses idées politiques, son attitude face à la révolution française ».

    VENDREDI 20 JANVIER

    •Bruxelles : 18h30 : Messe de Requiem uivie de la lecture du Testament de Louis XVI, Eglise Saints Jean et Etienne aux Minimes, rue des Minimes n°27, 1000 Bruxelles.

    Tournai [Belgique] : 11h, Cathédrale Notre-Dame de Tournai (Chapelle du Saint-Sacrement).

    SAMEDI 21 JANVIER

    Paris : 11h, Saint-Germain-l'Auxerrois, paroisse des Rois de France, Messe célébrée à la demande de l’Oeillet Blanc pour le repos de l’âme du roi Louis XVI, en présence des Princes de la Maison de France. 

    - A 10h, cérémonie et dépôt de gerbe Place de la Concorde, devant la statue de Rouen et l'Hôtel Crillon. Participation du Choeur Montjoie Saint Denis.

    - 11h : Eglise Saint Eugène - Sainte Cécile, 4 Rue du Conservatoire, 75009.

    - 18h30 : Messe de Requiem avec Absoute à Saint Nicolas du Chardonnet, 23 rue des Bernardins (5ème).

    Marseille : - 11h30 , Basilique du Sacré-Coeur, 81 avenue du Prado. La Messe, dite à la demande de la Fédération Royaliste Provençale et Action Française Provence, ainsi que du Souvenir Bourbonien, sera célébrée par Mgr. Jean-Pierre Ellul, recteur de la basilique. Une rencontre suivra, dont le programme est donné par ailleurs. 

    - 16h30, Monastère Orthodoxe du Saint Archistratège Michel de Marseille, 2, rue Briffaut, pannichyde (Office des défunts http://fraterniteorthodoxe.blogspot.fr/).

    Saint Denis : 12h, Basilique royale.

    Bruxelles : 11h, Eglise du Couvent Sainte Anne, Avenue Léopold Wiener, 28, Bruxelles (1170).

    Bucarest : 12h, Chapelle du Sacré-Coeur, Str. Cpt Demetriade 3.

    Lyon : - 10h30, Eglise de la Rédemption, Place Puvis de Chavannes (6ème).

    - 11h00, Eglise St Georges (5ème).

    18h30: Prieuré Saint Irénée, 23 quai Perrache (2ème).

    Bordeaux : - 12h, Eglise Saint Bruno.

    - 18H30, Eglise Saint Eloi de Bordeaux, 1 Rue Saint-James (près de la Grosse Cloche).

    - 18h30 : Eglise Notre-Dame du Bon Conseil, 62 rue de Lisleferme.

    Bayonne : 12h, Cathédrale de Bayonne, Messe célébrée par Monseigneur Marc Aillet pour le roi Louis XVI et pour la France.

    Toulouse : 11h30, Chapelle Saint Jean Baptiste, 7 rue Antonin Mercié.

    Strasbourg : 17h30, Cathédrale Notre-Dame.

    Versailles : 19h à la  chapelle Notre Dame des Armées, Impasse des gendarmes.

    Lille : 11h, Chapelle Notre-Dame-de-la-Treille, 26 rue d'Angleterre.

    Amiens : 11h30, Chapelle Saint Vincent de Paul, 54ter rue Jules Barni.

    Grenoble : 11h, Collégiale Saint-André, Place Saint André.

    Dijon : 11h, Basilique Saint-Bernard-de-Fontaine-lès Dijon. A 17h, conférence à l'Hôtel Ibis Dijon Gare : « La personnalité et la modernité du roi Louis XVI », par le Prince Alexandre de Kisseley.

    Metz  : 18h, Eglise de l'Immaculée-Conception, 47 rue des Trois-Évêchés, Metz Queuleu.

    Montpellier : 18h, Chapelle des Pénitents bleus, 11 rue des Etuves.

    Toulon : - 18h30, Eglise Saint-François de Paule, Place Louis Blanc.

    - 11h, Eglise Saint Pierre des Moulins, Lotissement des Oliviers, Route du Val d'Ardennes.

    Fontainebleau : 18 h, Eglise du carmel, 8 Boulevard  du Gal. Leclerc.

    Limoges : - 10H30. Chapelle Saint Martial. 7 rue Guillaumin.

    -10H45, Chapelle Saint Antoine des Papillons, rue des Papillons.

    -11H15, Eglise Saint Michel des Lions, 15 Place Saint-Michel.

    Nimes : 11h, Chapelle Sainte Eugénie, rue Sainte Eugénie.

    Béziers : 17h30, Chapelle des Pénitents, rue du 4 septembre. Le dimanche 22, Fête des Rois à Nissan (renseignements : association.louisXVI@gmx.fr - Tel : 04 67 28 26 78 ; 06 70 32 65 88).

    Carcassonne : 10H, Basilique St Nazaire & St Celse.

    Saumur : 11h45, Eglise de Saint Lambert des Levées, 32 Avenue de la Croix de Guerre.

    Louailles : 11h, Eglise de Louailles (72.3000, à 8,5km de Sablé-sur-Sarthe, route de La Flèche-Tours). La Messe sera suivie, à 12h30, d'un Déjeuner-Débat, Salle Polyvalente de Vion (à 3,5km de Louailles) : « Transhumanisme, la fin de l'espèce humaine », par le Docteur Jean-Pierre Dickès. 

    Bazas (Gironde) : 15h, Cathédrale Saint Jean Baptiste, Place de la Cathédrale.

    Boulogne : 18h, Eglise Saint Louis, , rue Félix Adam.

    Nice : 11h, Eglise Saint Paul, Paroisse Saint Jérôme, Boulevard Pessicart.

     Nancy : - 11H, Chapelle du sacré Coeur, 65 rue Maréchal Oudinot.

    - 18H30, Chapelle du sacré-coeur, 65 rue du Maréchal Oudinot.

    Coligny (Ain) : 10h, Eglise Saint Martin, rue Saint Martin.

    La Gaubretière (Vendée) : 18h30, Chapelle Notre-Dame de la Sainte Famille, Ramberge (à 30 km à l'ouest de Mauléon, 10 km au nord-ouest des Herbiers).

    Vichy :  - 9h, Eglise Saint-Louis, 33 rue Sainte Cécile.

    - 19h, Chapelle du Sacré-Coeur de l'école Jeanne-d'Arc de Vichy, 12 rue du Maréchal-Joffre.

    La Roë (Mayenne) : 11h, Eglise de La Roë.

    Le Planquay (Eure) : 11h, Eglise du Planquay.

    Tarbes : - 18h30. Cathédrale Notre Dame de la Sède, Place du Général de Gaulle.

                   - 11h30, Chapelle Sainte Bernadette, Maison Saint Paul, 51 rue de Traynes.

    Butry-sur-Oise (Val d'Oise) : 10h00, Église du Cœur Immaculé de Marie.

    Troyes : 10h30, Eglise Saint Rémy, rue Pithou.

    Perpignan : 10H30, Eglise Saint-Matthieu.

    Tours : 18H, Chapelle Saint Grégoire des Minimes, 3 bis rue de la Préfecture.

    ​• Compiègne : 9H, Église Saint Jacques.

    ​• Montauban : 18H30, Eglise Saint-Jacques.

    La Chapelle d'Angillon : 18h30, Chapelle du château de la Chapelle d'Angillon. 

    Faye-d'Anjou (Maine-et-Loire) : 11, Eglise de Faye. (A 14h30n Conférence de M. Xavier MARTIN « Utopie médicale, eugénisme et Lumières : aux sources historiques de la bioéthique du XXIème siècle » renseignements : Cercle Paul Barillon 02 41 57 84 30).

    Poitiers : 9h30, Eglise Notre Dame la Grande.

    Saint-Etienne : 10h30, Chapelle Saint Bernard, 9 rue Buisson.

    Nantes : - 9h45, Eglise Saint Clement.

    - 11H, Le Christ Roi 88 rue d'Allonville. Lecture du Testament Place Louis XVI à 12h15.

    ​• Roullet (Charente): 11h, Église de Roullet. (Suivie d'un Repas à 13h, au Restaurant « la Vieille Étable », sur réservation (06 13 82 62 94)

    Bouloire (Sarthe) : Messe à 11h Place de l'église.

    ​• Massais (Deux-Sèvres) : 11h00 Église St Hilaire.

    Vannes (Morbihan) : 11H, Eglise Saint Patern à Vannes. (A 14 h 30 : Conférence à la Maison du Diocèse : « Louis XVI, sa personnalité, ses idées politiques, son attitude face à la révolution française ». par Philippe Pichot-Bravard et le Cercle Jean-Pierre Calloc'h).

    Chambéry (Savoie) : 19h, Cathédrale de Chambéry. (Attention : les portes de la cathédrale seront fermées pendant l’office. Arrivez entre 18h45 et 19h).

    Saint-Rémy-sur-Creuse (Vienne) : 18h30 Chapelle notre Dame de Lourdes, 60 rue du Val de Creuse.

    DIMANCHE 22 JANVIER

    Paris : 10h30, Chapelle Expiatoire, 29 Rue Pasquier (8ème). 

    Calais : 8H45, Chapelle Sainte Victoire, Hames Boucres (entre Calais et Guines).

    Saint Quentin : 1Oh45, Chapelle de la Charité, 38 rue des Patriotes.

    Limoges : 10H30, Chapelle Saint Martial, 7 rue Guillaumin.

    Belloy-en-France (Val d'Oise) : 11h. Église St-Georges.

    • Noyon : 10h, Cathédrale Notre-Dame.

    • Le Port-Marly : 11h, Eglise Saint-Louis du Port-Marly.

    Nuits-Saint-Georges : 10h30, Eglise Saint Denis.

     • Chemillé (Maine-et-Loire) : 10h30, Chapelle Saint-Joseph, 14, rue du Presbytère.

    La Nouvelle Orléans (Louisiane) :   9h30, Eglise Saint Patrick, 724 Camp Street.        

    LUNDI 23 JANVIER

    Mulhouse : 18h30, Eglise Saint-Etienne, Place de la Paix.

    Les Sables d'Olonne : 18h30. Chapelle du Sacré Coeur Place Jules Ferry.

    • Aixe-sur-Vienne (Haute Vienne) : 18h30, Eglise Sainte-Croix.

    VENDREDI 27 JANVIER

    Epinal : 18h30, Eglise Saint Antoine, 12 rue Armand Colle.

    SAMEDI 28 JANVIER

    Tarascon : 17h30, Abbaye saint Michel de Frigolet (en présence de S.A.R le prince Sixte-Henri de Bourbon Parme).

    DIMANCHE 29 JANVIER

    Nancy : 10h30 : Eglise Marie Immaculée, 33 avenue du Général Leclerc. Ensuite, à partir de 12h15, Fête des Rois de La Lorraine Royaliste : repas, suivi de la Galette traditionnelle (restaurant « Chez Maître Marcel », au coin des rues Raymond Poincaré et de l'Armée Patton, à Nancy).

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