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  • Le Tour, Auray et ... le Roi et Cadoudal

    Georges_Cadoudal2.jpg          Dimanche 6 juillet, une dizaine de minutes avant le départ de la deuxième étape du Tour, qui est donné à Auray, en Bretagne. Gérard Holtz, qui commente, rappelle d'abord que Franklin est venu à Auray, "pour demander au Roi de l'aide pour l'indépendance américaine...". C'est en effet en 1776 que Benjamin Franklin a débarqué au port de Saint Goustan, pour aller à Versailles rencontrer Louis XVI...

              Et Gérard Holtz poursuit: "Auray, c'est aussi Cadoudal... et les Chouans; quand les royalistes... l'armée des Vendéens... les catholiques se battaient contre la république...". C'est en effet le 1er janvier 1771 qu'est né "Georges", dans la ferme familiale de Kerléano-en-Brech, à Auray.

              C'est aussi cela le Tour : la possibilité d'évoquer -fût-ce brièvement- telle ou telle page de notre Histoire, au hasard des villes traversées, des monuments et des lieux rencontrés... Merci à Gérard Holtz d'avoir été le lecteur d'un jour.

              Le Tour 2008 commence bien: c'est normal, partant de Bretagne !...

     

     

     

  • Ainsi va le monde: une mosaïque ? nos Racines....

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              Une mosaïque datant de 50 avant notre ère, exceptionnelle par sa taille et la polychromie de ses motifs, a été mise au jour lors de fouilles sur une colline dominant la ville d'Alès.

              La mosaïque date de l'époque de César et de la conquête de la Gaule, une période qui correspond au début de la réalisation de mosaïques en Gaule et dans cette région alors en voie de romanisation, a expliqué Fabienne Olmer, chargée de recherches au CNRS, à Lattes, près de Montpellier.

              Avec ses quelque 36m2, "c'est la plus grande jamais découverte datant de cette période-là", dans ce qui fut la Gaule selon Fabienne Olmer.

              La mosaïque se trouvait sans doute dans la maison d'un particulier, un Gaulois certainement très riche et possédant un grand pouvoir, a-t-elle souligné.

              Autre particularité qui rend cette composition exceptionnelle: ses motifs polychromes. Les petits cubes de calcaire local utilisés pour sa réalisation présentent en effet cinq couleurs différentes.

             "On a des décors sur la moitié" de l'oeuvre. Ceux-ci représentent des caissons rectangulaires, avec des motifs - deux aigles, une rosace, des poissons - à l'intérieur. La mosaïque présente aussi un motif central composé de carreaux et de petits triangles. Des rinceaux végétaux - des feuilles de vigne - entourent le motif central.

     

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  • La palme d'or du ”grand n'importe quoi” !...

              Interrogé par Europe 1 sur la "répression" des manifestations au Tibet, un certain Xu Qing, représentant de l'ambassade de Chine à Paris a comparé les violences au Tibet à une série d'arrestations menée en février par la police à Villiers-le-Bel (Val-d'Oise).

              Il n'a pas craint d'affirmer : "Il y a quelques mois à Villiers-le-Bel il y a eu des émeutes. 1.000 policiers ont été envoyés... pour une petite ville de 26.000 habitants".

    460912883.jpg          Alors que le journaliste objectait qu'il était impossible de comparer le Tibet et Villiers-le-Bel où "on n'a pas envoyé les chars", l'officiel chinois a répondu que les autorités chinoises avaient dépêché des "voitures anti-émeutes blindées". "Je pense que ça existe en France", a-t-il ajouté.
     

              On rétorquera juste à ce monsieur que Villiers-le-Bel c'est la France envahie, à qui on a imposé une immigration sans lui demander son avis, et qui est rejetée par les rejetons de cette immigration non souhaitée (un comble !). Le Tibet c'est la Chine envahisseuse qui génocide une culture et un peuple différent: où ce rigolo-de-mauvais-goût de l'ambassade de Chine voit-il une ressemblance ?...

  • Fadela Amara pas soumise, mais soumise quand même...

              ....au conformisme ambiant, aux diktats du groupe de pression pro-gay, au terrorisme qu'il fait régner.

              Interrogée par le mensuel homo-bobo "Têtu", la Secrétaire d’Etat à la Politique de la Ville se déclare "favorable à l’adoption pour les couples homosexuels,.. [et] pour le mariage homosexuel aussi", même si "c’est un peu l’embourgeoisement du mouvement gay, c’est clair".

              C'est son problème, et à vrai dire on s'en fiche un peu, et même beaucoup. C'est la raison de cette affirmation qui nous a surpris, et qui mérite qu'on s'y attarde quelques instants: elle avoue au journaliste: "Mais je ne veux pas m’opposer à ça, sous peine d’être traitée d’homophobe."

              Sic! La ministre Amara admet donc à demi-mot le terrorisme intellectuel du lobby homosexuel, qui traite quiconque s’oppose à ses revendications ahurissantes d’ "homophobe" et finalement elle s'y soumet, par peur de l'insulte qui tue ! Que devient son slogan fondateur, dans tout ça ?...

  • Le grain de sel de Scipion : Le courage ou la raison

    grain-sel-jpg.jpgNos gouvernants socialistes ont imposé la date du 19 mars pour commémorer la fin de la guerre d’Algérie, cédant en cela aux caprices de la FNACA, la très communisante association d’anciens combattants d’AFN et la seule à exiger le choix de cette date.

    Comment peut-on considérer que le 19 mars 1962 marqua la fin d’une guerre qui fit encore, dans les mois qui suivirent, énormément de morts : 100 000 Harkis massacrés et près de 2000 Pieds-Noirs assassinés ou disparus à jamais.

    Quelques maires ont eu le courage de faire savoir qu’ils ne célèbreraient pas cet anniversaire. Certes, ces maires comptent un fort pourcentage de Français d’Algérie parmi leur électorat, comme celui de Nice qui doit, en outre, trouver le moyen de se faire pardonner son initiative aussi sotte que grenue d’avoir inauguré, il y a deux ans, une statue de De Gaulle au cœur de sa ville. Mais bon, en cette période de relâchement généralisé et de perte de repères, rendons tout de même hommage à ces édiles et reconnaissons avec eux que cette commémoration, en France, du 19 mars 1962 est honteuse et indigne.

    Il en est un qui doit se retourner dans sa tombe, c’est le père de Kader Arif, ministre des anciens combattants… et fils de Harki.

  • Les lumières de Dreux • Par Francesca

    Dreux.jpg Pour ceux qui n'ont pas eu encore le plaisir de visiter le Domaine royal de Dreux, il est nécessaire de donner une idée des lieux ; sur l'emplacement d'un château féodal et entouré de remparts  : un immense parc, merveilleusement entretenu sur lequel s'élève la Chapelle royale, mausolée de la famille d'Orléans. Là reposent, aux côtés du roi Louis-Philippe, les descendants de la Famille de France. Plus loin, s'élève l'Évêché bâtiment destiné à recevoir l'évêque, et juste à côté,  la demeure de nos Princes, Le Duc et la Duchesse de Vendôme et leurs trois enfants. 

    En ce 8 décembre, imaginez tout le domaine scintillant, et dans la nuit de Dreux, une fois les lumières de la ville éteintes, seules brillent les fenêtres de tous nos bâtiments royaux auxquelles la Princesse a mis des quantités de bougies. Dans l'obscurité de cette république finissante, les habitants de Dreux auront été les premiers à voir les lumières d'espoir que nous apporte notre gentil Dauphin. 

     

    Images des Princes, à Dreux ...

     

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    Photo de la Chapelle Royale : Ahmed Taghza  ♦  Photos des Princes : David Nivière

  • Le duc et la duchesse de Vendôme reçoivent les parachutistes au Domaine Royal de Dreux

     

    Samedi 12 septembre 2015, LLAARR le duc et la duchesse de Vendôme ont ouvert les portes du Domaine Royal de Dreux et de la Chapelle Saint-Louis aux anciens paras de la région Centre pour une messe en hommage à Saint-Michel, leur saint patron et à leurs camarades morts pour la France.

    Lors de cette messe, les anciens soldats, certains le revers du veston couvert de médailles, ont souhaité rendre un hommage  particulier au Prince François d'Orléans  mort pour la France le 11 octobre 1960 à Imzouagh, en Algérie, en allant se recueillir devant son tombeau et en lui offrant l'honneur de leurs drapeaux,  avant de se rendre en cortège au monument aux morts du centre-ville de Dreux . 

    Avant de partir, les anciens bérets rouges ont proposé au prince de poser avec eux pour une photo de groupe des anciens combattants pour la France, un honneur que le prince a souhaité saluer en se joignant à eux coiffé de son béret du 7e régiment des chasseurs d'Arras .(Texte: La Couronne / Photo: Jean Cardoso)

    Nous reviendrons, ce weekend, sur cette cérémonie et mettrons en ligne le reportage photographique qui en a été donné par la Mairie de Dreux.  

     

  • LIVRES • Un futur best-seller

     

    par Grégoire Arnould

    Les derniers jours de nos pères, son premier roman, fut un succès d’estime. Son deuxième, La vérité sur l’affaire Harry Quebert, est devenu un best-seller couronné par le Grand prix de l’Académie française…

    Le livre des Baltimore est la confirmation du talent du tout juste trentenaire Joël Dicker et la consécration d’un style dont l’efficacité redoutable ne gêne en rien de jolies trouvailles littéraires. Le narrateur Marcus Goldman est de nouveau de la partie. Il conte l’histoire de sa famille, scindée en deux : les Goldman de Montclair, petite ville middle-class qu’il habite avec ses parents, et ses cousins, les Goldman de Baltimore, habitants les quartiers aisés de la capitale du Maryland. Markie, comme il est surnommé, ne souhaite qu’une chose : devenir « un Baltimore ».

    Il passe donc ses week-ends et ses vacances, chez son oncle et sa tante avec lesquels il nourrit des relations filiales. Fasciné par le luxe et l’apparente facilité de leur vie, il ne voit pas le drame qui se joue quand deux personnages s’incruste dans cet univers à l’équilibre de façade… Plus ambitieux que le précédent roman de Dicker, Le livre des Baltimore est mieux qu’un bon polar.

    C’est la fresque d’une certaine Amérique, celle du déclassement social, aux conséquences désastreuses, d’une partie de sa population frappée par la crise économique. Pour ne rien gâcher, l’habileté narrative de Joël Dicker prend le lecteur en otage dès les premières pages… avec son consentement, comme un pur syndrome de Stockholm. A coup sûr, un nouveau best-seller. Vivement le prochain ! 

    Le livre des Baltimore, de Joël Dicker, éditions de Fallois, 480 p., 22 euros.

     

  • 11 novembre 1918 : le défilé de la victoire, vu par Léon Daudet


    18135919.jpg« Le 11 novembre 1918, ce fut l'armistice de la Grande Guerre, attirée sur nous par le désarmement, l'incurie démocratique et l'aveuglement de tous les gouvernements de la République, auxquels cette terrible épreuve, du reste, n'a pas servi.

     L'Action Française prit place dans le vaste défilé qui s'organisa de la place de l'Etoile aux Tuileries, au milieu d'un enthousiasme délirant.

     Il n'y en avait que pour Clemenceau, qui faillit être étouffé et écrasé, en se rendant à une estrade, sise place de la Concorde, non loin de la rue Saint-Florentin.

    Des petites boutiques aux couleurs alsaciennes, aux noms de villes et de bourgs d'Alsace, où l'on vendait des drapeaux et des cocardes, décoraient l'avenue redevenue glorieuse, que garnissaient, de chaque côté, des centaine set des centaines de caissons et de canons, pris aux Boches par l'armée Mangin.

    Des avions traversaient l'air, volant bas, au milieu d'acclamations, de chants, de fanfares.

    C'était le débordement de la joie, le déliement de l'angoisse immense, aussi vaste que la nuit, et que l'océan.

    Tout avait la couleur, le goût, le tressaillement de l'aube. Un puissant espoir se levait au-dessus du charnier le plus pathétique de l'histoire moderne, charnier voulu par toute l'Allemagne et par toutes les créatures de l'Allemagne, par malheur insuffisammment châtiées.

    La France brillait tel un beau fruit, au sommet de l'arbre dur de la dure victoire. Mais le ver, la République, restait dans le fruit. On allait le voir.»

     

    Léon DAUDET

    Paris vécu, Première série, rive droite, pages 195/196

     

  • Zemmour : « Le premier ministre est le reliquat du monde d'avant »

     

    Zemmour pointe ici, de fait, une contradiction jamais résolue des Institutions de la Ve république. La répartition et l'équilibre des pouvoirs entre le président et le premier ministre a toujours été un problème depuis l'origine de la constitution de 1958. Les légistes d'ancien régime savaient que la souveraineté n'est pas plus divisible que le point en géométrie.   LFAR

     

     

     Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    « Et si on arrêtait les faux-semblants ? Et si on arrêtait l’hypocrisie ? Et si on débranchait l'hôtel Matignon ? Et si on renvoyait Édouard Philippe dans sa bonne ville du Havre ?», interroge Éric Zemmour. « Et si on prenait acte que le premier ministre ne sert plus à rien, qu'il est inutile, superflu ?», poursuit-il. Une question qui n'est pas nouvelle sous la Ve République. « Mais elle a pris une acuité nouvelle depuis l’instauration du quinquennat qui prive le président de ce temps long qui lui donnait de la hauteur et laissait l'espace de la gestion au premier ministre », analyse Zemmour.

    « Macron revient à la pratique de Sarkozy qui, selon le mot célèbre de Jean-Louis Borloo, s’était fait élire président pour devenir premier ministre », note Éric Zemmour. Pourquoi cette confusion ? « Le premier ministre est le reliquat du monde d'avant, celui d'un régime parlementaire qui s'identifiait jadis avec la République », répond-il. « Pour le meilleur et pour le pire », constate-t-il. 

    Éric Zemmour

  • Activités • Marseille : Retour en images sur l'excellente réunion du 21 janvier avec Jacques Trémolet de Villers

     

    Samedi 21 janvier, l'Action française Provence, la Fédération Royaliste Provençale, et Lafautearousseau, ont organisé conjointement une journée d'hommage au Roi martyr Louis XVI.

    Après la traditionnelle messe de Requiem, une centaine de personnes venues de toute la Provence s'est retrouvée autour d'un vin chaud, en attendant la conférence de l'excellent Jacques Trémolet de Villers.

    Un cocktail « déjeunatoire » s'en est suivi, dédicaces, échanges entre les générations, chants de tradition ! Un beau succès ! Merci à tous !

    Pour que vive la France, vive le Roi !  •

    Repris de Action française Provence (Facebook).

    Photographies (12)

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    16265614_1076621439114614_2814401314204488030_n.jpgAccueil des participants autour d'un vin chaud à Notre-Dame du Liban

     

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    Diverses vues de l'assistance dans une salle comble

     

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    Images de la tribune où ont pris place : Jean Gugliotta, Guy Bertran, Antoine de Crémiers, Jérémy Bizut et Jacques Trémolet de Villers. En arrière plan, les drapeaux de l'Action française, dont ceux historiques de Marseille.

    A lire aussi dans Lafautearousseau ...

    A Paris, Marseille, et des dizaines de villes de France ou de l'étranger, ferveur d'un 21 janvier patriotique

  • Aix-en-Provence : Café d'actualité avec José d'Arrigo, mardi 7 février ... A ne pas manquer, c'est ce soir !

    18h45 : accueil. Entrée libre.

    19 h : conférence et débat animé par Antoine de Crémiers

    20h30 : fin de la réunion.

    Participation sous forme de consommation. Renseignements : 06 16 69 74 85

    Consommations à commander et régler au bar en arrivant. Merci !

    Café d'Actualités d'Aix-en-Provence : généralement, le premier mardi de chaque mois.

    José D'ARRIGO parlera de sa passion pour Marseille et de son dernier livre.
    Journaliste professionnel depuis 1973. Après avoir travaillé à «Var-Matin», puis au « Méridional », il a été correspondant régional du Figaro à Marseille (1981-2002) et envoyé spécial permanent du Dauphiné-Libéré (1981-2009) puis professeur de journalisme et communication à l'Isefi (Luminy) et à Aix-en-Provence (Institut supérieur de la finance) et au sein du magistère de Journalisme-Communication-Economie dirigé par Jean-Yves Naudet.
    Il est l'auteur de plusieurs ouvrages : Pouzzolane un roman paru en 1997 ; un document biographique sur la vie de Zampa ; Un essai : La maison qui brûle (Denoël) ; Marseille Mafias en 2012 (Editions du Toucan) ; Et en 2016 : Faut-il quitter Marseille ? (Editions de l'Artilleur), résultat d'une enquête minutieuse réalisée dans tous les quartiers de la ville. 

  • Rencontre : Quand l'Histoire de France transcende la vie politicienne ...

     

    3578948983.jpgLa rencontre qu'illustre cette photographie date de 2008 et se situe à Québec où le prince Jean de France s'était rendu pour le 400e anniversaire de la fondation de la ville, comme descendant des rois de France.

    Le Prince y avait rencontré l’ensemble de la délégation française présente aux cérémonies. En particulier, Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin, Jean-Paul Huchon alors président du Conseil Régional d’Ile de France, Bernard Accoyer, président de l’Assemblée Nationale et Ségolène Royal. Mais aussi François Fillon, premier ministre,  qui lui a présenté les personnes qui l’accompagnaient.

    Il faut dire que lors de ces rencontres, c’est vers le Prince que convergent les regards et le mouvement de tous ceux qui veulent venir le saluer.  

    Ainsi, l'Histoire de France transcende toujours la vie politicienne, à plus forte raison en la présence du Prince qui l'incarne plus et mieux que tout autre.

    Les choses ne nous semblent guère changées aujourd'hui que François Fillon brigue la présidence de la République, lui qui constatait il n'y a pas si longtemps « toute l’ambigüité d’un pays qui a guillotiné un roi et qui n’a qu’une envie : le remettre sur le trône  » [Entretien au JDD  en septembre 2015]. Nous lui laissons la responsabilité de son propos.  LFAR  •

  • FILM • « DUNKERQUE» : DES ANGLAIS PARLENT AUX ANGLAIS

     

    L'AVIS DE JEAN-CHRISTOPHE BUISSON*


    XVMdf34f3a6-67e2-11e7-8c12-a695e61ec102.jpgLe nouveau film de Christopher Nolan, Dunkerque, bat des records de fréquentation aux Etats-Unis.

    En France aussi, la victoire semble acquise : son démarrage en salles équivaut à celui d'un autre film de guerre narrant les exploits de troupes anglo-saxonnes en France durant la Seconde Guerre mondiale : Il faut sauver le soldat Ryan. Succès mérité ? Au regard de ses qualités cinématographiques (mise en scène, rythme, interprétation, thème musical somptueux de Hans Zimmer...), aucun doute. D'un point de vue historique, en revanche, il y a motif à agacement. Voire colère. Tout à son point de vue anglo-centré, le réalisateur omet purement et simplement de montrer ce que la réussite inespérée de cette évacuation de plus de 300 000 soldats alliés coincés entre la Wehrmacht et la mer du Nord en mai-juin 1940 doit aux Français. Pire : non seulement, on ne voit aucune image de l'héroïque couverture matérielle et humaine de l'opération Dynamo par l'armée du général Weygand (et ce au prix de pertes supérieures à celles de leurs homologues anglais), mais rien non plus des bombardements terribles de la ville par l'aviation allemande. Et aucune image, non plus, des 140 000 Français qui traversèrent aussi la Manche à cette occasion. Des Français à Dunkerque ? Et puis quoi encore !  

    * LE FIGARO MAGAZINE - 28 JUILLET 2017

  • Famillle de France • Le prince Jean de France en audience avec le Pape François

     

    Les 20 ans de la FAFCE à Rome

     

    « Du 30 mai au 1er Juin avaient lieu à Rome les 20 ans de la Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe (FAFCE). Cette organisation européenne, membre de la Plateforme de l’Union Européenne pour les Droits Fondamentaux, fédère un certain nombre d’associations familiales catholiques dans plusieurs pays européens. Elle agit essentiellement auprès du Conseil de l’Europe dans le cadre de la Charte Sociale Européenne.

    A l’occasion de cet anniversaire deux rendez-vous majeurs avaient été prévus dans la ville éternelle. Une après midi d’interventions à l’Ambassade de France auprès du Saint Siège pour présenter aux ambassadeurs accrédités par le Vatican les différentes actions menées par la FAFCE et une rencontre avec Sa Sainteté le Pape François. A chaque fois ont été soulignés de part et d’autre l’importance des familles, leur rôle bénéfique pour la société et la nécessité pour les Etats de les défendre afin qu’elles puissent encore continuer à être des instruments de vrai développement et de paix. »   

     
    Rome, le 2 juin 2016
    Jean de France, Duc de Vendôme