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En contact avec les mouvements Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles; voici les liens de leur page FB, de leurs sites officiels et de leur chaîne youtube :
A l’affiche : Proxima, un film franco-allemand d’Alice Winocour, avec Eva Green (Sarah Loreau, l’astronaute), Zélie Boulant-Lemesle (Stella, sa fille), et la participation de Thomas Pesquet.
"Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...
Page 1 – Coronavirus. Page 2 - Airbnb, l’universelle aragne. Page 2 – Face à Airbnb, la riposte s’organise. Page 3 – Il n’y a pas d’affaire Griveaux. Page 3 – L’Écho du net. Page 4 – Fiscalité : ruissellement ou évaporation. Page 4 – La quinzaine sociale. Page 5 – Haïti, république bananière. Pages 6 et 7 – Édouard Husson et la crise allemande (sur son livre “Paris-Berlin. La survie de l'Europe”). Page 8 – Vers une nouvelle guerre idéologique ? Page 9 – George Steiner – La haute culture pour vivre. Page 10 – Le portrait d'une Angleterre déchirée (sur le livre Jonathan Coe “Les Enfants de Longbridge”). Page 10 – Règlement de comptes à Lutèce (sur le livre de Benoît Duteurtre “Les dents de la maire. Souffrances d'un piéton de Paris”). Page 10 – Le Carnet (André Suarès – Service littéraire). Page 11 – Le mouvement royaliste. Page 12 – Éditorial : Servir l'État.
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
Et voilà ! C'est la treizième année, aujourd'hui, que paraissent des notes sous cet intitulé : lafautearousseau...
C'est l'occasion de vous donner quelques informations rapides sur l'état de votre quotidien, de faire le point avec vous et de récapituler les derniers événements d'importance que nous avons vécus, avant de continuer pour une nouvelle année - et puis autant qu'il en faudra !... - au service de notre Cause commune : le service de la France et du Bien commun.
Oui, nous voulons continuer à proposer sans relâche - à temps et à contre-temps - la seule solution de salut public qui existe pour notre pays : la ré-instauration de la Royauté, le régime qui a fait la France et, de nous, les héritiers de ce qui était, sous Louis XVI, la première puissance du monde; "le plus beau royaume après celui du Ciel", selon le mot de Grotius∗.
Et, oui, nous voulons continuer à proposer à nos compatriotes de se joindre à nous pour mener la seule action politique qui vaille, "étant réellement d'opposition, c'est-à-dire prêchant ouvertement la subversion du régime...", selon l'excellente formule de Léon Daudet.
∗ GROTIUS (1583-1645), Épître dédicatrice. De jure belli ac pacis (1625)
Ouvert, attentif, soucieux du bien commun, le nouveau comte de Paris est depuis un an un témoin actif de la vie politique française et de la vie des Français.
Il est le descendant direct du dernier roi des Français, Louis-Philippe Ier. Depuis le 21 janvier 2019, date à laquelle il est devenu l’héritier de la couronne de France, Jean d’Orléans s’est mué en véritable homme politique et médiatique. En un an, il a été sur tous les fronts, multipliant les interviews à la télévision, les déclarations à la radio ou publiant des tribunes dans divers journaux. Surnommé le « prince de l’avenir » par ses partisans, le comte de Paris surprend, intrigue, fascine et se positionne comme une possible alternative à la république.
"Je ne souhaite pas être l’homme d’un parti. Mon projet, c’est de défendre l’intérêt général".
Le Mercredi des cendres est sans doute la journée la plus discrète de l’année liturgique. Ce n’est pas un jour férié et la célébration qui intervient, le plus souvent, en fin de journée n’a pas l’éclat des grands moments de la vie chrétienne. J’ai toujours apprécié cette discrétion qui fait, par exemple, que l’on s’échappe de son lieu de travail pour rejoindre la tranquille obscurité du sanctuaire. C’est comme un signe furtif qui se communique de fidèle à fidèle pour un rendez-vous qui ne pourrait que surprendre le non-initié.
Dieu se rit des hommes qui déplorent les conséquences dont ils chérissent les causes (Bossuet).
Nous vivons l'époque de la hideuse Sainte Alliance de la Révolution et du Fric (ce que l'Action française appelait "la fortune anonyme et vagabonde"). L'une comme l'autre unies dans la volonté acharnée de noyer la France (et l'Europe) sous le flot incessant de l'immigration invasion :
- les révolutionnaires pour briser les dernières résistances qui s'opposent à leurs chimères universalistes, et qui sont culturelles, nationales, identitaires; celles qu'opposent à une utopie mondialiste révolutionnaire les anciens peuples/nations historiques de l'Europe chrétienne, ancrés dans une Histoire bi-millénaire, et partageant un socle commun de valeurs gréco-romaines et judéo-chrétiennes...
- les serviteurs de l'Argent (devenu Roi par la Révolution française et la république idéologique qui en est issue) afin de se payer une armée d'esclaves - selon le mot de Jean Raspail - et d'augmenter ainsi encore plus, toujours plus, leurs profits immédiats...
Née en Chine comme la plupart des pandémies qui ont ravagé le monde, depuis la fameuse grippe de 1918 injustement appelée « grippe espagnole » parce que les Espagnols ont été les premiers à en signaler le danger, passant par le SRAS ou le H1N1, la propagation du coronavirus Covid-19 met en relief tous les effets pervers de la mondialisation.
Au vu des crises sociales qui ravagent une partie du monde ( notamment le vieux monde de l’Europe et des pourtours méditerranéens) on savait que, contrairement à ce que prétendent les niais la mondialisation n’est pas « heureuse » ; on savait aussi que les délocalisations entreprises par des sociétés (des fabricants de chaussettes aux fabricants d’aspirateurs ou d’ordinateurs), qui n’ont que le profit pour idéologie et ont cherché par tous les moyens à faire fabriquer au plus bas prix, ont précipité le chômage et la misère des classes moyennes, en particulier dans les pays industrialisés.
Le Fils d’un Roi, de Cheyenne-Marie Carron, raconte comment deux lycéens deviennent royalistes.
Orpheline kabyle adoptée par une famille française chrétienne, Cheyenne-Marie Carron explore la société française depuis plusieurs films, avec un regard bien à elle : L’Apôtre traitait de la conversion d’un jeune musulman, Jeunesse aux cœurs ardents relatait l’engagement dans la Légion étrangère d’un jeune gauchiste.
Sa dernière pellicule nous invite à nouveau dans l’univers de la banlieue. Elle met en scène l’amitié entre Kevin, un fils de prolétaire qui se débrouille vaille que vaille dans la brocante, et un jeune enfant d’émigrés, Elias, vivant chez sa mère, Marocaine de cœur et Française d’adoption.